GLOIRE À LA DIVINE MISÉRICORDE, NATHALIE, CONVERTIE, GUÉRIE ET COMBLÉE DE GRÂCES

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PRÉPARATION DE LA FÊTE DE LA DIVINE MISÉRICORDE 2020

Dimanche 19 avril 2020


Nous sommes à deux jours de la Fête de la DIVINE MISÉRICORDE, voulue par Jésus et qu'il a demandé à l'Eglise d'instituer le premier dimanche suivant Pâques.

Pour cela il a choisi de s'adresser à une humble et obscure religieuse polonaise, Sœur Faustine Kowalska, à qui il est apparu pendant plusieurs années.

Dernière grande dévotion connue et reconnue par l'Eglise, la Divine Miséricorde est, avec le Sacré Cœur, une des dévotions les plus chères au Seigneur Jésus. À l'aube du XXe siècle, il a voulu rappeler aux hommes de la Terre que bien avant d'être juge et justice, il est d'abord AMOUR et INFINIE MISÉRICORDE.

Il a notamment dit à Sœur Faustine (1905-1938) : "Qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate. Ma miséricorde est si grande que, pendant toute l'éternité, aucun esprit, ni humain ni angélique, ne saurait l'approfondir."

Brûlant d'amour le cœur de Sœur Faustine, comme ceux, avant elle, de Marguerite-Marie Alacoque (1647-1690) – dévotion du Sacré-Cœur à Paray-le-Monial –, de Josefa Menendez (1890-1923) – livre Un Appel à l'Amour –, Jésus a demandé à Sœur Faustine d'être sa messagère auprès de l'Eglise Catholique Romaine pour que :

1) soit instaurée cette Fête de la Divine Miséricorde

2) soit prié, si possible à 15 heures (heure de la mort de Jésus sur la croix), le chapelet de la Divine Miséricorde (téléchargez de quoi prier le chapelet de la Divine Miséricorde et/ou la neuvaine de la Divine Miséricorde : cliquez sur https://www.dropbox.com/s/mwjrzo43j1jjmw5/Chapelet-et-neuvaine-Misericorde-Divine-apercu.pdf?dl=0

3)  vénérée l'image de son apparition à Sœur Faustine, qu'elle a fait peindre par un artiste :


Ayant moi-même été convertie par Notre Seigneur Jésus Christ durant la semaine de la Divine Miséricorde 2018, cette fête a une très grande importance dans mon cœur, aussi j'ai le plaisir de vous présenter le témoignage d'une personne qui a été convertie par le Seigneur durant la semaine de Divine Miséricorde 2019. Je connais personnellement la personne qui vous livre le témoignage ci-dessous et assiste, depuis un an, émerveillée, et dans la joie, au merveilleux travail que réalise le Seigneur dans cette âme, qui rayonne à présent Sa lumière et la diffuse autour d'elle, sur ses proches.


Parmi les points de départ de cette conversion, les lectures de 2 témoignages publiés dans cette communauté de prières Jésus allume le feu de la foi :

-  de Nathalie Saracco, publié le 8 avril 2019 :

https://hozana.org/publication/49226-natalie-saracco-vous-serez-juges-sur-l-amour/

- de Stanley Villavicencio, publié le 27 avril 2019

 https://hozana.org/publication/51039-stanley-villavicencio-la-divine-misericorde-du-xxie-siecle/


« Je m'appelle Nathalie, mon prénom est dérivé du latin Natalia qui est synonyme de natalité. Il est aussi interprété comme le "jour de naissance de Jésus-Christ"... J'ai attendu 52 ans pour le savoir. Et la semaine de la fête de la Divine Miséricorde.

Baptisée dans les premières semaines de ma naissance, père athée et mère catho non pratiquante.


BAPTÊME OUBLIÉ ET LIGNES DE FRACTURE
Je n'ai pas reçu d'enseignement catholique, ni de près ni de loin. Tout au long de ma vie, lorsque j'entrais dans une église pour un décès, un mariage ou pour une visite touristique, il y avait une forme de foi dans mon cœur, mon cœur débordait d'émotion, les chants m'émouvaient sans trop en comprendre les raisons...

Je pouvais tout de même avouer, lorsque la question m'était posée, que j'étais catholique non pratiquante et que j'avais la foi, mais sans plus. J'ajoutais bien souvent que je n'étais pas pour les pratiques religieuses car j'estimais qu'elles étaient pures inventions de l'homme et que l'Église provenait d'une tradition imposée depuis la nuit des temps... J'ignorais totalement qui était Jésus, ses commandements, les Évangiles et ne connaissais aucune prière à part deux lignes du Notre Père. Ce dernier m'était totalement inconnu.


À 17 ans, en recherche de tendresse et d'amour, je rencontrais le père de mes deux garçons avec qui je me mariais, mariage civil...


En 2003, je me séparais de mon mari, le climat familial étant devenu dangereux pour l'équilibre de mes enfants, et je demandais le divorce, divorce très difficile semé de menaces, de stress, d'angoisses et j'en passe... J'étais seule face au désarroi, l'échec était cuisant... Je pardonnais en tentant de sauver le peu de ce qu'il restait du couple, mais la chute était violente et douloureuse. Seule, sans me tourner vers Dieu dans ces moments difficiles, et ignorante, j'encaissais... Aidée de mes parents chez qui je me réfugiais pour me ressourcer, j'avais tout juste la force de m'occuper de mes enfants...


MANIFESTATION SURNATURELLE INEXPLICABLE

Un soir d'hiver, je rentrais seule en voiture avec mes deux enfants, nous venions de dîner chez mes parents, il était tard, la nuit était noire. Alors que nous roulions, longeant les champs, une forme vaporeuse blanche sortit du haut de la colline, surplomba le champ que je longeais sur plusieurs mètres, à petite allure... Ce "nuage" se positionna devant mon véhicule, ce qui nous effraya, mes enfants et moi... Arrivés devant ma maison, je rentrais dans la propriété, le "nuage" restant au-dessus de la route, à 20 ou 30 centimètres au-dessus du sol, puis se positionnant devant les piliers de l'entrée de la maison... Effrayée, je faisais marche arrière pour filer tout droit chez mes parents. Le "nuage", blanc, vaporeux et transparent, d'environ la largeur d'une route de campagne, se positionna de côté, longeant la route, nous suivant, soit de près, soit en s'éloignant un peu plus à l'intérieur du champ. Roulant à une allure rapide sur deux kilomètres, je tournais subitement sur la gauche pour pénétrer sur le chemin de la maison de mes parents, le nuage filant tout droit et ne quittant pas la route. Ce qui me permit de garer rapidement la voiture dans la cour de la propriété. Saisissant le plus petit de mes enfants dans les bras et aidant le plus grand, âgé de 9 ans, à très vite sortir de la voiture, nous foncions à l'intérieur de la maison ...

Quant au "nuage", il avait eu le temps, pendant toute ma manœuvre, de faire un virage pour se retrouver en quelques secondes au-dessus de la haie de laurier fermant la propriété de mes parents ; d'un mouvement de droite à gauche, il semblait se balancer d'un côté et de l'autre... J'expliquais rapidement la situation à mes parents. Mon père, impassible, ne bougeant pas d'un poil de sa chaise, ne prit pas la peine de regarder par la porte-fenêtre... Ma mère, elle, le fit, et le vit... Nos visages collés à la fenêtre, nous l'avons vu se balancer, puis quitter la haie pour filer plus loin jusqu'à le perdre de vue. Je dormis sur place, incapable de reprendre le volant. Je n'ai jamais su ce que cela pouvait être...


Puis j'ai rencontré un autre homme, avec lequel j'ai refait ma vie.


En 2015, alors que j'étais en vacances avec lui et les enfants à Aurillac, dans le Cantal, j'entrais un jour dans une église, je demandais à la Vierge Marie la protection et la santé pour mes enfants, je brûlais un cierge. Moins d'un mois après, on diagnostiquait une maladie grave à mon fils, alors âgé de 16 ans (diabétique insulino-dépendant), je tenais pour responsable la Vierge Marie et me détournais de Dieu.


PREMIERS SIGNES DE LA GRÂCE

 

Durant l'hiver 2018, sur TMC, un reportage était diffusé sur la Vierge Marie de Fatima. Il m'a fascinée, sidérée... Ayant des troubles sérieux de mémoire, je notais sur mon téléphone, dans mon répertoire, la date de la première apparition de la vierge Marie à Fatima : 13 mai 1917.


En janvier 2019, après avoir eu une dispute avec mon conjoint, je me suis mise à la fenêtre, fatiguée des conflits d'humains, toujours les mêmes au final ! La nuit tombait, le ciel était couleur ocre, le coucher du soleil était splendide ; levant la tête, je vis une croix magnifiquement dessinée dans le ciel, juste au-dessus de la maison. Pas un seul côté plus grand que l'autre, des proportions parfaites. J'ai regardé à droite puis à gauche et j'ai vu à plusieurs kilomètres un avion et un seul, très loin, à environ 3 ou 4 km. Seulement il n'y avait aucune traînée derrière cet avion. Cette croix finement dessinée était là, et pourtant je ne réagissais pas. Pour moi il y avait quand même, forcément une explication : l'avion.


J'étais donc catholique non pratiquante jusqu'au 15 avril 2019...

Quelques jours auparavant, j'échangeais au sujet de la religion avec une de mes clientes. Elle m'expliquait en détail sa conversion survenue l'année précédente lors de la Divine Miséricorde 2018 et j'en restais interloquée... Elle me conseillait de consulter, sur le site Hozana, sa communauté de prières axée sur les rencontres avec Jésus, les conversions, et m'en envoyait le lien.


LA DIGUE SE ROMPT

Je me suis connectée à la communauté de prières de ma cliente sur le site Hozana le 15 avril 2019, exactement au moment où notre dame de Paris brûlait... Le lendemain de mon anniversaire. J'ai dans un premier temps vu la vidéo du témoignage de Nathalie Saracco qui m'a interpellée. Puis le témoignage de Stanley Stanley Villavicencio et de sa rencontre avec Jésus qui m'a saisie, bouleversée.

Je m'apercevais qu'il y avait aussi, en dehors des miracles de Lourdes, des histoires, des témoignages époustouflants. Quelque chose venait de se passer dans mon cœur, qui s'était ouvert, ce qui m'a donné envie de m'interroger plus encore, de chercher, presque frénétiquement… Comme une invitation.

Expliquant mon ressenti à la porteuse de la communauté, celle-ci m'a conseillé de regarder la vidéo publiée sur You Tube par le Père Avalle, de l'église saint Nicolas-des-Champs, à Paris, de la messe des malades, durant laquelle sont constatées de nombreuses guérisons. Et là, j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps... Sans que je puisse maîtriser quoi que ce soit. Gros sanglots, grosses interrogations, et une réflexion intérieure sur moi-même ! En quelques mots : "Mon Dieu ! Qu'est-ce que j'ai fait ? Oh mon Dieu, pardonnez-moi". Etc. Après avoir pleuré toutes les larmes de mon corps, et après plusieurs jours de supplications (consciente subitement que Dieu existait vraiment), je voyais clairement mes péchés, implorant jour et nuit le Seigneur de me pardonner.


C'est à ce moment-là, lors du visionnage de de ces vidéos, que j'ai compris qu'Il était parmi nous, j'ai compris, et cela a été comme une révélation, comme si mon esprit était endormi, comme si j'ouvrais les yeux d'un seul coup après un long, très long sommeil...


LA RÉCOMPENSE DE NOTRE-DAME

Le samedi 4 mai, je décidais de fabriquer une couronne de roses rouges cueillies dans mon jardin. J'apportais cette couronne au pied d'une statue de la Vierge située en haut d'une petite montagne, près de chez moi, pour son Divin Fils Jésus, roses que j'avais débarrassées de toutes leurs épines...

Veille du jeudi 9 mai, où va avoir lieu prière des malades à l'église Saint-Nicolas-des-Champs à Paris. J'avais envoyé quelques jours auparavant un email et une intention de prières au père Avalle, pour la guérison de mon fils. J'attendais cette date avec impatience et j'étais toujours tournée vers le Seigneur, implorant son pardon en ayant sans cesse à l'esprit la conscience de mes péchés, dont un grave... qui prenait tout son sens. J'étais persuadée que Dieu allait faire quelque chose pour mon garçon. D'ailleurs mon amie de la communauté de prières s'était jointe à moi pour prier à cette intention...

Dans Sa bonté, Dieu n'a pas guéri mon fils mais m'a offert Sa Présence : au matin de ce jeudi 9 mai, j'ouvre les volets de la maison et je vois, au loin, la statue de la Vierge (celle à qui j'avais porté la couronne de roses) illuminée. Le ciel était couvert, nuageux gris et menaçant, pas un seul rayon de soleil et là, je vois la statue au loin brillante, lumineuse ! J'ai eu le temps de penser : "Whouaaa ! Sa robe est bien grande aujourd'hui, bien lumineuse" ; la lumière a ensuite rapetissé en quelques minutes, 2 ou 3. Je me signais et filais à fond de train à l'église du village voisin, à quelques kilomètres de chez moi, mais la trouvais fermée...


GUÉRISON PHYSIQUE APRÈS CELLE DE L'ÂME
Le samedi suivant, le 11 mai, j'assistais à la messe sans connaître les prières et le déroulé de celle-ci.Le jour suivant, dimanche 12 mai, une demande furtive me traverse l'esprit : que le Seigneur de me rendre ma mémoire de mes 20 ans (je vivais depuis des mois des problèmes de mémoire m'emmenant à penser que j'avais un problème sérieux, je ne retenais plus rien, même pas un numéro de téléphone, encore moins une prière et me plaignais au Seigneur que jamais je ne pourrais apprendre toutes ces belles prières... Cela me gênait dans mon travail et je me critiquais intérieurement.

Dans la nuit du 13 mai, mon esprit, alors que je dormais, récitait "Je vous salue Marie" en boucle. Je tournais et retournais dans mon lit, couchée en chien de fusil, tournée du côté droit, lorsque je sentis une puissance me traverser le bras gauche, une puissance au niveau de l'épaule qui entrait en moi. J'étais paralysée, incapable de bouger, je sentis ensuite mon cerveau pris comme un rubiscube, en trois fois saisi, comme s'il avait été remué par deux mains, pris à pleine main ; j'étais incapable de bouger, je gémissais, totalement réveillée, mais incapable de réagir. Puis il m'est venu à l'esprit, sans que je le décide, les prières suivantes : "Je confesse à Dieu" et " Notre Père ". J'ai compris qu'il m'était demandé de réciter ces prières que j'avais apprises quelques jours auparavant (apprises, mais toujours avec des oublis et des accrocs). Et là, je les récitais d'un seul trait, avec une fluidité que je n'avais pas connue depuis longtemps... J'ai compris à cet instant que non, je n'avais pas fait un AVC comme j'avais pu le penser, mais que le Seigneur était venu et m'avait guérie.


13 mai, date que j'avais notée dans mon téléphone !


Je passais la fin de la nuit incapable de dormir et le lendemain, je racontais tout à mon entourage. Chacun me faisait faire des tests de mémoire. Plus du tout de problèmes de mémoire ! Extraordinaire...
Je filais le samedi suivant à la messe et prenais rendez-vous avec le prêtre pour me confesser...


UNE LUEUR BLANCHE ET DOUCE SUR LE MUR

Plusieurs événements me confirment que la Vierge Marie est près de moi... Le 13 octobre 1917 est le dernier jour de l'apparition de la Vierge de Fatima, date importante pour moi.
Le 13 octobre 2019, au matin, avant de partir pour l'église, j'explique à mon compagnon ce qu'il se produisit devant plusieurs milliers de personnes le 13 octobre 1917, etc. Nous filons ensuite à la messe. Pendant l'homélie, une lueur blanche douce se fixa sur le mur, derrière le prêtre. Elle était légère, personne ne semblait l'avoir remarquée. Je regardais si cela ne provenait pas des vitraux, une réverbération ou un rayon de soleil... Non, car le temps à l'extérieur était exécrable et  menaçait de pleuvoir. Je remarquais aussi qu'il n'y avait pas l'ombre du prêtre, donc s'il y avait eu rayon de soleil, diffusé au travers des vitraux, il y aurait l'ombre du Père... J'analysais et la lumière s'éteignait, sa lueur se réduisait jusqu'à ce que je dise (dans mes pensées) "Marie c'est vous ?" À ce moment-là, la lumière fut plus puissante, plus blanche et lumineuse. En quelques instants, je n'entendais plus ce que disait le prêtre, mon esprit, ma tête était comme dans un tourbillon, j'aurais pu vaciller mais j'étais assise ; saisie de ce trouble puissant, j'attrapais la main de mon conjoint assis à ma droite qui me fit un sourire, pensant qu'il s'agissait d'un geste de tendresse, mais c'était un geste pour lui dire : "Tu vois ce que je vois  ?" Mais non il ne voyait rien... il écoutait tranquillement l'homélie. Puis la lumière est rentrée en dedans d'elle-même et a disparu. C'est difficile à expliquer : elle ne s'est pas éteinte comme on éteint une lampe. Quelques jours plus tard, j'ai expliqué cela à mon prêtre, alors que nous étions chez lui, à installer au mur un tableau de Jésus Miséricordieux dans son bureau, et il me répondit que je n'étais pas la première personne qui lui expliquait ce phénomène, un autre fait similaire lui avait été relaté par un fidèle, dans une autre église, une autre paroisse...


SAINT PAUL

Le 24 janvier 2020, je regardais une série télévisée "Ad kingdom and Empire", l'histoire du Seigneur et ce que firent les Apôtres après la résurrection.
Quelques jours auparavant, ma cliente (de la communauté de prières) me demandait si j'accepterais de témoigner de ma conversion pour qu'elle en fasse la publication sur Hozana. J'acceptais difficilement. J'attendais un signe… Il me fallait être sûre de ce que voulait réellement le Seigneur.
Le 24 janvier, fatiguée, je ne regardais pas la suite de ma série.

Le lendemain, 25 janvier, je reprenais ma série... Son titre: "Sur la route de Damas". Dans cet épisode, il était question de la conversion fulgurante de Saül, qui deviendra Saint Paul, lequel aura la mission de diffuser la Parole du Seigneur. Voir en image ce très important passage des Évangiles m'a parlé bien plus que lorsque je l'ai lu dans les Évangiles ! La diffusion de la Parole ! Dire, parler, expliquer… témoigner. Mais oui ! J'ai donc annoncé à mon amie de la communauté de prières que j'acceptais de témoigner.
Comme par hasard, le 25 janvier est la fête de Saint Paul…


Quelques jours après, ma meilleure amie m'annonçait le décès de sa maman et me demandais de lire un texte. À l'église, devant des dizaines de personnes ! Comment faire ? Je ne pouvais refuser ni à mon amie ni au Seigneur, moi qui suis timide et me faufilerais dans un trou de souris à la moindre occasion. Ne pouvant faire volte-face, je décidais de tout raconter à ma meilleure amie à propos de ma conversion, lui expliquant que c'est un message d'espoir et que sa maman est au ciel avec Jésus. Et j'acceptais de lire.
Les jours suivants, le stress m'a envahie peu à peu à l'idée d'être devant des personnes qui seraient là, suspendues à mes lèvres, attentives à ce j'allais dire. J'avais peur, peur de ne pas savoir lire comme il faut, de bégayer, peur de mal faire, tremblante et angoissée au possible.
La nuit précédant les obsèques, qui avaient lieu le 1er février 2020, j'étais au milieu d'un rêve et je consolais une personne (qui n'était pas mon amie), son visage était défiguré par la douleur, je tendais la main pour la rassurer, la serrer dans mes bras, lorsque j'entendis très clairement dans ma tête ces mots "Je suis à vos côtés", ce qui me fit bondir dans mon lit et m'asseoir un instant. Je compris que c'était la voix du Seigneur qui me rassurait. Sa voix était claire, forte et venait de l'"en dedans" de ma tête et pas du dehors où là, les oreilles captent la provenance du son venant de l'extérieur... De plus, si j'avais moi-même imaginé ces paroles, je n'aurais jamais dit "Je suis à vos côtés", mais "je suis avec vous".

Le jour des obsèques le prêtre m'a préparé le texte à lire, installée au pupitre. Pour la première fois de ma vie, j'allais lire en public la Parole du Seigneur ; 250 personnes me faisaient face, attentives à ce que j'allais dire, seule à ce pupitre. Je me rappelais ces mots qui résonnaient dans mon cœur : "Je suis à vos côtés". Je le me mis à lire, sereine, tranquille : "Lecture de la première lettre de Saint Paul"…


"VOICI QUE JE FAIS TOUTES CHOSES NOUVELLES" Ap. 21, 05

Voilà l'histoire de ma conversion, qui n'en est qu'à ses débuts.

Ma vie a connu de nombreuses secousses, je me débrouillais seule, j'avançais mais il y avait un vide en moi, je construisais pour ne pas tomber et ne pas sombrer dans les moments difficiles. Quand on ressent des envies de mettre fin à ses jours et qu'une petite lumière en vous vous en empêche et vous dit " tu n'en as pas le droit !". Qui peut vous souffler cela pour t'empêcher de sombrer et te permettre d'avancer ? Qui ?

Lorsque j'ai vu ces vidéos, j'ai enfin compris. JÉSUS. Il m'avait poussée et relevée.

Jamais il ne m'avait laissée seule, mais auparavant, j'étais si fermée, si cadenassée, que je m'étais endurcie, avec une robuste coquille autour de moi, pour que personne ne puisse m'atteindre.

Mais Jésus, avec tendresse, patience et délicatesse, m'attendait… Cette coquille a volé en éclat.

Depuis, plein de grâces qui me sont offertes par le Seigneur qui m'accompagne... Je ne rate pas une seule messe le dimanche, j'ai appris des dizaines de prières, prie le Rosaire, j'ai lu les Évangiles, plusieurs livres de Saints, j'ai un besoin immense d'apprendre, de connaître Jésus, je ne peux rattraper 52 ans mais suis attirée, aspirée dans une spirale de savoir, de connaissance mais je veux en savoir davantage, encore et encore ...

Ma vie à totalement été transformée, mon compagnon catholique non pratiquant est devenu pratiquant et ne rate pas une messe le dimanche lui non plus. Il est passé du dernier rang au fond de l'église au premier rang et arrive même à l'avance pour ne pas être au fond...


Je prie pour la conversion de mes enfants afin qu'ils deviennent pratiquants eux aussi, mais je sais que Jésus "travaille" leur cœur. Récemment, mon fils cadet a vu sa chaîne tour de cou, avec croix et médaille d'un ange, se casser. Il m'a pressé de la faire réparer car sans cette croix, me disait-il, c'est comme s'il se retrouvait nu...


Je ne suis plus la même qu'hier. Aujourd'hui, mon cœur est plein, mon âme est satisfaite, elle recherche le contact, le lien, la connexion avec Jésus. Plus je m'approche de Lui  et plus je fais attention aux autres... J'étais tournée exclusivement sur moi-même et mes proches, sur les moyens d'avancer, je disais haut et fort qu'il ne fallait jamais faire confiance à l'être humain, qu'il fallait s'en méfier. À présent, je ne vois plus les choses de cette manière. Quand je suis à l'église, je les regarde et je dis au Seigneur "Regarde-les, Seigneur, ces pauvres âmes, elles ont tellement besoin de toi ".


Une autre vie, oui, l'autre vie n'est plus... C'est une véritable renaissance, à 52 ans, que je vis aujourd'hui... À mes 40 ans, lors d'une soirée d'anniversaire d'une amie, un homme (que je ne connaissais pas du tout) avait lu les lignes des mains des convives. À mon tour de présenter ma main, il m'a annoncé que je mourrais à 52 ans.


Avec mon nouveau compagnon, nous nous marions en septembre prochain.


Oui, je suis morte à celle que j'étais, et Jésus a fait de moi une nouvelle personne.

Gloire à toi Seigneur de ma vie. Je t'aime. Chaque battement de mon cœur est un souffle pour te dire merci, pour ce que tu as fait pour nous.

NATHA »


Pour en savoir plus Sainte Faustine, cliquez sur :

https://www.dropbox.com/s/sq9poqgy0kl5h39/Biographie-sainte-Faustine.pdf?dl=0

Pour lire gratuitement le livre retraçant les apparitions de Jésus à Sœur Faustine "Le Petit Journal de Sœur Faustine" (500 pages) : https://www.dropbox.com/s/mdktldtc24l5tuz/le_petit_journal_s%C5%93ur_faustine.pdf?dl=0

Prière de la communauté

Prières de conversion au choix de vos besoins et inspirations

Choisissez la prière qui vous convient et vous inspire parmi celles-ci : Incroyants, voici une prière pour demander à Dieu de vous faire connaître Jésus : "Jésus, Tu as dit " Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira." Aujourd'hui, je suis là et je frappe à ta porte, je te cherche, je veux te connaître, viens, je t'en prie, envoie-moi ton Esprit Saint et révèle-moi puissamment ta présence. Par Jésus-Christ, Fils du Dieu vivant". Croyants, voici une prière pour demander à Dieu de vous rendre plus saints et demander la conversion des hommes qui ne connaissant pas Jésus : Ô Dieu, montrez-nous votre visage qui n'est autre que celui de votre Fils, puisque c'est par Lui que vous vous faites connaître, de même que l'homme tout entier est connu par son seul visage. Et par ce visage que vous nous aurez montré, convertissez-nous, convertissez les morts que nous sommes des ténèbres à la lumière, convertissez-nous des vices aux vertus, de l'ignorance à la parfaite connaissance de vous. Ainsi soit-il. (Saint Bruno le Chartreux) Croyants, ajoutez la Prière de l'Ange à Fatima Mon Dieu, je crois, j'adore, j'espère et je vous aime. Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, pour ceux qui n'adorent pas, qui n'espèrent pas et ne vous aiment pas. Prière de conversion des pécheurs obstinés de Sainte Thérèse d'Avila Ô Seigneur mon Dieu, Ô créateur, ayez compassion de Vos créatures. Considérez que nous ne nous entendons pas nous-mêmes, que nous ne savons pas ce que voulons et que nous nous éloignons infiniment de ce que nous désirons. C'est ici, Ô mon Dieu, que doit se montrer Votre miséricorde ! Qu'elle est grande, Dieu de mon cœur, la demande que je vais Vous faire lorsque je Vous prie d'aimer ceux qui ne Vous aiment pas, d'ouvrir à ceux qui ne frappent pas, de guérir ceux qui non seulement prennent plaisir à être malades, mais qui travaillent même à augmenter leur maladie. Vous dites, très doux Sauveur Jésus, que Vous êtes venu sur la terre chercher les pécheurs. Les voilà, mon Dieu, les véritables pécheurs. Oh donc, ayez pitié de ceux qui n'ont pas pitié d'eux-mêmes ; et puisque dans l'excès de leur égarement, ils ne veulent point aller à Vous, venez Vous-même à eux. Je Vous le demande en leur nom, et ces morts, j'en suis sûre, se lèveront de leurs tombeaux dès qu'ils commenceront à rentrer en eux-mêmes, à se reconnaître, à Vous goûter. Et vous Père Céleste, ne considérez point notre aveuglement, mais jetez les yeux sur les ruisseaux de sang que votre Fils a répandus pour notre salut. Sainte Thérèse d'Avila (1515 - 1582)

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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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