Stanley Villavicencio, la Divine Miséricorde du XXIe siècle
« En ce jour les entrailles de ma Miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s’approcheront de la source de ma Miséricorde ; toute âme qui se confessera et communiera recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur punition ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s’écoulent les grâces ; qu’aucune âme n’ait peur de s’approcher de moi, même si ses péchés sont comme l’écarlate. »
Image d'illustration : La résurrection de Lazare
Parmi les miracles les plus marquants qu'Il a réalisés au cours de Sa vie publique, Jésus a ressuscité trois personnes qui étaient mortes : le fils de la veuve de Naïm, la fille de Jaïre et son ami Lazare. Ces miracles ont plusieurs buts, dont celui de montrer le pouvoir de Jésus sur la vie, et Son triomphe sur le mal et la mort, pour l'édification de ceux qui en sont témoins et de ceux à qui l'Évangile est annoncé.
Si certains peuvent penser que les miracles appartiennent au passé, il n'en est rien : Jésus continue aujourd'hui encore à guérir les malades à rendre la vue aux aveugles, à chasser les démons et à ramener les morts à la vie.
Le miracle – reconnu par l’Eglise – du retour à la vie de Stanley Villavicencio, après trois jours de mort clinique, présenté aujourd’hui, nous démontre clairement cette réalité. Et l'intervention surnaturelle de Dieu, qui a bouleversé la vie de ce catholique philippin, ne s'arrête pas là : Jésus s'est manifesté à lui et Stanley donne depuis un témoignage sur la Foi et la Miséricorde Divine qui se révèle à la fois simple, profond et authentique.
A savoir que l’impact de ce qu’il est arrivé à Stanley est tel que l’un des médecins, un ponte local, ayant constaté son décès, est devenu prêtre.
Demain est grand jour de fête particulièrement lié à ce retour de la mort à la vie, que ce soit celle du corps ou celle de l’âme ! C’est la fête de la Divine Miséricorde. Que tous les hommes s’approchent de Jésus, comme il les en prie, pour que tous leurs péchés, sans exception, leur soient pardonnés.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas la Divine Miséricorde : le 22 février 1931, à Plock, en Pologne, le Christ Miséricordieux se manifeste à Sœur Faustine,
première apparition suivie de plusieurs autres pendant lesquelles Il lui précise Son message de Divine Miséricorde pour le monde. Plus tard, les apparitions sont reconnues par l’Eglise et Sœur Faustine est canonisée. La Divine Miséricorde devient un culte à l’échelle mondiale représenté par une image – sur les instructions mêmes de Jésus – bien connue.
Stanley Villavicencio, objet, donc, de notre publication très dense aujourd’hui, a, lui, reçu un renouvellement du message de la Divine Miséricorde :
- premièrement lors de sa mort clinique, médicalement constatée, du 2 mars 1993
- puis, depuis 1993 jusqu’à ce XXIe siècle, par de nombreuses apparitions durant des songes.
L'authenticité du témoignage de Stanley Villavicencio reproduit ici a été officiellement reconnue par le cardinal Vidal, le cardinal Sin et 22 évêques catholiques des Philippines.
« Dieu nous a si généreusement renforcés dans nos efforts de diffusion de la dévotion à Sa Divine Miséricorde à travers le témoignage de Stanley Villavicencio, membre de la Croisade pour la Divine Miséricorde dans l'Archidiocèse de Cebu ; son témoignage et son partage ont touché de nombreuses personnes et les ont ramenées vers Dieu et vers les sacrements.
Dans notre désir d'offrir à d'autres personnes la possibilité de bénéficier du témoignage de Stanley Villavicencio, nous approuvons votre demande de permettre à Stanley Villavicencio de témoigner en divers lieux et occasions, à condition qu'ait été obtenue la permission de l'autorité ecclésiastique appropriée. »
Approbation mise à jour le 1er juin 2010, cardinal Ricardo Vidal, Archidiocèse de Cebu, Philippines
En l'an 2000, lors de la canonisation de Sainte Faustine à Rome, Stanley a été invité à témoigner devant 36 cardinaux et 38 évêques.
Afin de permettre que ce témoignage puisse être consulté quels que soient les éventuels handicaps des priants, j’ai choisi de le publier :
- en vidéo (avec sous-titres en français, traduction par mes soins : pour les voir apparaître, cliquez sur le petit bouton situé à gauche de la roue dentelée des paramètres)
- par écrit ci-dessous
Les deux ne sont pas exactement similaires, donc il peut être opportun de consulter chacun d’entre eux.
Pour voir la vidéo :
En complément, en bas de page vous trouverez :
- un lien permettant de télécharger tous les messages qu’il a reçus de Jésus lors des apparitions dans les songes et qui ne figurent ni dans la vidéo, ni dans les écrits ci-dessous, mais aussi des informations sur la Miséricorde Divine de Sœur Faustine, comment la prier, (pour ceux qui ne la connaissent pas) ;
- un lien permettant de télécharger des images de la Divine Miséricorde pêchées ici et là sur le net.
Mort et revenu à la vie le 2 avril 1993 :
le témoignage de Stanley Villavicencio
au Bronx DMC (USA), en 2009
« Ce que je vais raconter, c'est ce qui m'est arrivé, ma rencontre personnelle avec Jésus-Christ et Sa Miséricorde Divine. Lorsque vous connaîtrez mon témoignage, j'espère que cela vous permettra d'augmenter votre foi.
Ce qui m'est arrivé s'est produit le 2 mars 1993. C'était un mardi, le jour de l'anniversaire d'un de mes enfants. J'étais à ce moment-là papa de dix enfants, j'en ai treize à présent. Je suis membre du Rosaire perpétuel. Chez nous, il est d'usage de recevoir, à l'occasion d'un événement particulier, par exemple un anniversaire, une statue de la Vierge Marie. Et à chaque fois que Marie vient, c'est toujours moi qui L'accueille. Mais ce jour-là, je n'étais pas sur le pas de la porte pour attendre la Vierge Marie. C'est donc ma belle-mère qui a reçu la statue.
À huit heures du matin, ma belle-mère m'a entendu gémir. Elle m'a trouvé couché dans mon lit, tremblant très fortement. Du sang sortait de ma bouche. Une infirmière est venue me porter secours. Lorsqu'elle a pris mon pouls, elle a constaté qu'il était extrêmement faible. Et quand elle m'a ouvert les yeux, ils étaient tout blancs. Avec l'aide de nos voisins, j'ai donc été emmené à l'hôpital. Quatre médecins spécialistes m'ont examiné et ont dit que mes chances de survie étaient de une sur un million, parce que les battements de mon cœur étaient déjà très lents. J'ai été transporté aux soins intensifs et on m'a intubé afin de faciliter ma respiration. Tout mon corps tremblait et je crachais énormément de sang. Puis mes parents sont arrivés. Mon père est médecin, ainsi que ma sœur et le cousin de ma femme. Ma femme, elle, est infirmière.
Dans la nuit du mardi au mercredi, les appareils reliés à mon cœur montraient une ligne plate : mon cœur s'était arrêté de battre, j'étais mort. Mon certificat de décès fut rédigé. Le mercredi matin, les médecins ont appelé mon épouse pour l'informer que l'heure était venue et qu'il fallait débrancher les appareils de survie. Ils lui ont également dit de préparer les funérailles. Malgré la douleur, elle choisit le cercueil, le lieu de sépulture, la messe des funérailles. »
Mais Dieu avait un plan différent !
Alors que Stanley était mort au monde, il dit avoir vu une lumière blanche intense, mais qui n'éblouissait pas. Puis un épais brouillard a peu à peu révélé une silhouette lumineuse, facilement reconnaissable comme étant celle de Jésus-Christ.
Stanley décrit le Christ comme ressemblant étroitement à l'image que nous connaissons bien de Jésus Miséricordieux, reçue par Sainte Faustine.
Il a de longs cheveux, légèrement ondulés. Ses yeux sont bleus, Sa peau est comme lumineuse et Son teint clair. Jésus porte une robe blanche. Des rayons lumineux émanent de Sa poitrine. Les rayons sont rouges et blancs. En observant Jésus, Stanley ne voit aucune trace de plaies sur Ses mains. Stanley dit ensuite s'être retrouvé dans un jardin, un endroit frais et parfumé. Derrière Jésus, il aperçoit toutes sortes de fleurs, y compris de grandes et belles roses de toutes les couleurs imaginables. Puis Jésus lui montre ce que Stanley appelle le "film de sa vie" [note de la porteuse de la communauté : point commun avec le témoignage de Natalie Sarracco précédemment publié. Pour le consulter, cliquez sur l’onglet en grisé "Publications"].
« Je ressentais comme du plomb sur mes épaules »
« Alors que j'étais face à Jésus, Il a levé la main et, soudain, j'ai vu le film de ma vie, de mon enfance jusqu'à mon présent. Pendant que les scènes défilaient, je remarquais que chaque fois que j'avais fait le bien, le film se diffusait normalement. Mais j'ai aussi remarqué que chaque fois que j'avais commis un péché, le film passait soudain au ralenti, comme si Jésus voulait me montrer que ce que j'avais fait était mal. À chaque péché commis, je ressentais comme un poids, et même une douleur. Même en fermant les yeux, je pouvais toujours voir nettement les images. Pendant le déroulement du film de ma vie, l'image semblait comme s'arrêter sur chaque péché que, volontairement ou non, je n'avais pas confessé au prêtre. Et là, je ressentais comme du plomb sur mes épaules. À l'inverse, j'ai aussi remarqué que chaque fois que j'avais fait le bien, par exemple quand j'avais donné de l'argent ou à manger aux pauvres, je me sentais très léger, comme si je flottais. À ce moment-là, Jésus a dit : « Tout ce que vous faites au plus petit d'entre vos frères, c'est à Moi que vous le faites. » Mais je m'apercevais aussi que les péchés que je n'avais pas avoués à un prêtre étaient comme un poids trop lourd à porter, qui semblait m'anéantir. Puis, à la fin, Jésus a pris la parole et m'a dit : « Retourne maintenant d'où tu viens car je t'envoie en mission : va répandre la nouvelle de la Miséricorde de Dieu pour tous, afin que tous sachent que le Seigneur, Jésus-Christ a ouvert tout grand la fontaine de Sa Miséricorde Divine. » Enfin, Jésus a rajouté ceci : « Lorsque j'aurai quelque chose à te communiquer, Je le fera à travers des songes. »
« Les médecins n'arrivaient pas à croire que j'étais de nouveau en vie »
Au moment où je me suis "réveillé", le vendredi, il était huit heures du matin. Si vous comptez à partir de huit heures du matin le mardi jusqu'à huit heures du matin le vendredi, cela fait exactement trois jours. Les médecins n'arrivaient pas à croire que j'étais de nouveau en vie. De nombreux médecins, des spécialistes, étaient autour de moi pour me faire passer toute une batterie d'examens. Tous les résultats aboutissaient à la même conclusion : j'étais en parfaite santé ! Les médecins ont dit à ma femme : « Il n'y a plus rien que nous puissions faire, c'est un miracle. Vous devriez célébrer une messe. » Ma femme était à la fois tellement heureuse mais aussi tellement interloquée, qu'elle ne se sentait pas capable de conduire ; c'est donc moi qui ai pris le volant ! Je dois rajouter que l'un des médecins qui a constaté ma mort puis mon retour à la vie a démissionné de l'hôpital pour rentrer au séminaire ; il est aujourd'hui prêtre.
Nous sommes allés voir le prêtre de notre paroisse et nos amis. Les médias, télévisions, radios et journaux ont immédiatement relayé les faits. L'Église elle aussi voulait discerner. L'enquête officielle a été menée par le cardinal Vidal. De mars à septembre, l'Église m'a soumis à plusieurs interrogatoires ainsi qu'à de nombreuses analyses effectuées par des spécialistes. Il est apparu que le sang qui sortait de ma bouche reste aujourd'hui encore un mystère. Aucune hémorragie n'a été décelée.
« Mort, il fut ramené à la vie le troisième jour »
L'enquête de l'Église a conclu que ce sang qui s'écoulait de ma bouche était comme une sorte de purification avant de voir le Seigneur. À la fin de l'enquête, le cardinal Vidal a rédigé un rapport officiel reconnaissant ce miracle : « Mort, il fut ramené à la vie le troisième jour. » Le cardinal m'a remis un document officiel afin que je puisse témoigner à travers le monde.
Depuis mars 1993, Jésus continue à m'apparaître en songes. Cela est également accepté par notre Église locale. Mon directeur spirituel est Monseigneur Cris Garcia. Il est l'un des plus saints prêtres à Cebu, aux Philippines, et il a reçu le don de locution intérieure, ce qui signifie que Jésus lui parle mais qu'il ne Le voit pas. Quant à moi, je peux voir Jésus dans mes songes. Chaque fois que Jésus Se présente à moi, Il prévient mon directeur spirituel par locution ; il y a donc une confirmation.
L'Église m'a souvent posé cette question : « Pourquoi vous ? Pourquoi Jésus vous a-t-Il choisi ? » J'ai alors répondu : « Peut-être parce que je ne suis rien. Peut-être parce que je n'ai rien dont je puisse me rendre fier. » J'ai moi-même posé cette question à Jésus : « Pourquoi moi ? Je suis un homme pécheur, il y a tellement de gens beaucoup plus dignes que moi. Pourquoi moi ? » Et Jésus m'a répondu : « Vous ne pouvez pas apprécier la beauté de Ma Miséricorde si vous n'avez pas expérimenté la misère du péché. » J'ai donc accepté la mission qu'Il m'a confiée.
« Je n'ai bien sûr pas la prétention de remplacer Sainte Faustine »
Celle de propager sans cesse la dévotion à Sa Sainte et Infinie Miséricorde. Je n'ai bien sûr pas la prétention de remplacer Sainte Faustine. Je ne fais que ce que Jésus m'a demandé : parler de Sa Miséricorde. Jésus m'a montré qu'actuellement, la porte de la Miséricorde est grande ouverte. Mais un jour, Il ouvrira la porte de la Justice. Nous ne pouvons entrer au Ciel que par Sa Miséricorde, par Son Amour. Sans la Miséricorde de Dieu, sans l'Amour de Dieu, il est impossible d'entrer au Ciel. C'est pourquoi Jésus vient comme un mendiant d'amour, afin que nous allions proclamer Sa Miséricorde, qui est insondable. Mais Jésus dit aussi : « Proclamer Ma Miséricorde n'est pas suffisant, vous devez aussi mettre la Miséricorde en pratique. » Comment ? En vivant comme un exemple de Sa Miséricorde. Jésus m'a montré une image Le représentant avec des rayons rouges et blancs, encore plus grands que ceux que Sainte Faustine a vus.
Le cardinal Vidal a autorisé officiellement la vénération de cette image. De nombreux miracles s'opèrent devant cette image. On peut dire que cette image devient une image miraculeuse, car il y a tellement de guérisons instantanées et aussi, quand je témoigne, il arrive que les gens voient des lumières qui sortent du corps de Jésus. Parfois, des personnes voient même le Christ sortir de l'image, comme s'Il était dans la salle. Cela est déjà arrivé aux Philippines, mais également à Hong Kong, à Macao, en Chine, au Japon, aux États-Unis, en Europe… J'ai été invité à donner mon témoignage au Vatican, devant des évêques, des cardinaux et des prêtres. J'ai même été reçu par Jean-Paul II, qui m'a dit : « Moi, je vous crois, mais attendez-vous à ce que certains ne vous croient pas, y compris dans l'Église. »
Jésus m'a également demandé de parler de Sa Mère, notre Mère, Marie, la Mère de la Miséricorde. Il demande qu'à chaque fois que je témoigne de Lui, je n'oublie jamais Marie. De même, Il souhaite que soit exposée une image de Marie à côté de Son image. Jésus m'a dit : « Partout où le Fils est présent, là est la Mère ; où la Mère est, là est le Fils. »
Enfin, Jésus m'a dit de toujours prendre soin d'autrui. Il nous demande à tous de nous occuper de notre prochain, des petits, des pauvres. Et je terminerai ce témoignage avec une autre phrase de Jésus, qui m'a dit : « Celui qui sauve une âme, se sauve lui-même. »
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Liens :
- lien permettant de télécharger :
- tous les messages que Stanley a reçus de Jésus lors des apparitions dans les songes et qui ne figurent ni dans la vidéo, ni dans les écrits ci-dessus :
- plus d’informations sur la Miséricorde Divine de Sœur Faustine, comment la prier… :
Cliquez ici pour télécharger les messages reçus de Jésus par Stanley et le dossier complet
- lien permettant de télécharger des images de la Divine Miséricorde pêchées ici et là sur le net : Cliquez ici pour télécharger des photos de la Divine Miséricorde
Quelques beaux hymnes à la gloire du Seigneur pour terminer :
Dieu Règne et grandes orgues de Notre-Dame de Paris
Aujourd’hui c’est jour de fête et grandes orgues de Notre-Dame de Paris
Gregorio Allegri - Misere Mei - Oxford Choir of New College
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6