Neuvaine à Notre-Dame de la Trinité

La Basilique Notre-Dame de la Trinité, consacrée à Blois en 1949, fut construite pour incarner la dévotion des Trois Ave Maria et rendre Gloire à la Sainte Trinité à travers Notre-Dame.

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Chers amis, le week-end prochain, les 15 et 16 juin, la basilique Notre-Dame de la Trinité à Blois fête les 70 ans de sa consécration. À cette occasion, et en l'honneur de la Sainte Trinité fêtée le dimanche 16, nous vous proposons de vous joindre à nous pour dire la neuvaine à Notre-Dame de la Trinité avec l'intention suivante : 


"Pour tous les couples qui traversent des difficultés (nommer ceux que nous connaissons) : qu'ils découvrent en Jésus le seul capable de les sauver et qu'ils parviennent à prendre les moyens de se laisser sauver par Lui."


Note sur la dévotion des trois Ave : la dévotion des Trois Ave, reçue par sainte Mechtilde au XIIIè siècle et propagée par de nombreux saints dont saint Léonard de Port-Maurice et saint Alphonse de Liguori, consiste à réciter chaque matin et chaque soir 3 Je vous salue Marie en l'honneur de la Toute-Puissance du Père, de la Sagesse du Fils et de la Miséricorde du Saint-Esprit. Trois qualité que la Sainte Trinité confère à Notre-Dame.

Une neuvaine y est associée, récitée avant les principales fêtes mariales. Le pape Benoît XV reconnu la neuvaine à Notre-Dame de la Trinité et la qualifia d'efficace.

Prière de la neuvaine

Neuvaine à Notre-Dame de la Trinité

Ô Marie, Vierge Puissante, Vous à qui rien n'est impossible, par cette Puissance même dont vous a gratifiée le Père Tout-Puissant, je vous en conjure, assistez-moi dans la nécessité où je me trouve, Puis donc que vous pouvez me secourir ne m'abandonnez pas, ô vous qui êtes l'Avocate des causes les plus désespérées! Il me semble que la gloire de Dieu, votre honneur et le bien de mon âme sont attachés à l'acquisition de cette faveur. Si donc, comme je le pense, elle est conforme à la très aimable et très sainte Volonté de Dieu, je vous en prie, ô toute puissance suppliante, intercédez pour moi auprès de votre Fils qui ne peut rien vous refuser. Je vous le demande de nouveau, au nom de la Puissance sans borne que le Père céleste vous a communiquée, à Vous sa Fille bien-aimée, et en l'honneur de laquelle je vous dis, en union avec sainte Mechtilde, à qui vous avez révélé la salutaire pratique des Trois « Ave Maria » : Je vous salue, Marie, etc... Divine Vierge, qui êtes appelée le Trône de la Sagesse, parce que la Sagesse incréée, le Verbe de Dieu, a résidé en vous... vous à qui cet adorable Fils a communiqué toute l'étendue de sa science divine, dans la mesure où vous etes la créature la plus parfaite qui pouvait la recevoir, vous connaissez la grandeur de ma misère et quel besoin j'ai de votre assistance. Confiant dans votre divine Sagesse, je m'abandonne entre vos mains, afin que vous disposiez tout avec force et douceur, pour la plus grande gloire de Dieu et le plus grand bien de mon âme. Daignez donc me venir en aide, par les moyens que vous savez être les plus propres à atteindre cette fin. 0 Marie, Mère de la divine Sagesse, daignez, je vous en supplie, m'obtenir la grâce Précieuse que je sollicite ; je vous le demande au nom même de cette sagesse incomparable dont le Verbe, votre Fils, vous a illuminée, vous sa Mère très aimée, et en l'honneur de laquelle je vous dis, en union avec saint Léonard de Port-Maurice, le plus zelé prédicateur de vos Trois « Ave Maria »: Je vous salue Marie, etc... O bonne et tendre Mère; vraie Mère de Miséricorde, vous dont l'Esprit d'Amour embrasa le cœur d'une tendresse sans limite pour les pauvres humains, je viens vous supplier d'user envers moi de votre bonté compatissante. Plus ma misère est grande, plus elle doit susciter votre compassion. Je le sais, je ne mérite aucunement la grâce précieuse que je désire, moi qui vous ai si souvent contristée en offensant votre divin Fils. Mais, si j'ai été coupable, très coupable, je me repens sincèrement d'avoir blessé le Cœur si tendre de Jésus et le vôtre. D'ailleurs, n'êtes-vous pas, comme vous l'avez révélé à l'une de vos servantes, sainte Brigitte, « la Mère des pécheurs repentants » ? Pardonnez-moi donc mes ingratitudes passées, et considérant uniquement votre Bonté miséricordieuse, ainsi que la gloire qui en reviendra à Dieu et à vous, obtenez-moi, de la miséricorde divine, la grâce que j'implore par votre intercession. O vous qu'on n'a jamais implorée en vain, « ô clémente, ô miséricordieuse, ô douce Vierge Marie », daignez, daignez me secourir, je vous en conjure, par cette miséricordieuse bonté dont le Saint-Esprit vous a remplie pour nous, vous son Épouse tendrement aimée, et en l'honneur de laquelle je vous dis, avec saint Alphonse de Liguori, l'apôtre de votre miséricorde et le docteur des Trois Ave Maria » : Je vous salue, Marie, etc...