L'âme acquiert le tempérament de Jésus
- Prions
« Abba, par le Pouvoir de l’Esprit-Saint, que ta Volonté révélée par Jésus, règne en moi par Marie. Amen. Fiat. »
« Très Sainte-Trinité, avec Marie, je renonce à ma volonté et je Vous la donne, veuillez en échange me donner la Vôtre qui est Divine, que son Soleil se lève sur moi et anime mon agir. Amen. Fiat. »
« Ô mon Jésus, fais-Toi honneur, et en tout ce que je ferai aujourd’hui, mets-y l’empreinte de ton Pouvoir, de ton Amour et de ta Gloire. »
« Dans votre Divin Vouloir, je T’aime Abba avec tout l’Amour de ton Fils et de l’Esprit-Saint ; je T’aime Jésus avec l’Amour Infini de Abba et de l’Esprit-Saint ; je T’aime Esprit-Saint avec l’Amour Parfait d’Abba et du Fils. Amen. Fiat. »
« Viens, ô Divine Volonté avec tous les Saints Anges et tous les Saints du Ciel, spécialement ma très chère Maman, la Très Sainte Vierge Marie et son époux Saint Joseph, mettre le Sceau de ton Esprit-Saint et infuser en moi ta Divine Lumière pour que je puisse comprendre ces vérités, le bien que contiennent ces écrits et ces prières. Amen. Fiat ! »
- Prière de Luisa du 23 décembre 1900, 16 septembre 1931 et du 22 avril 1928
Oh ! Puissance de la Suprême Volonté — Vous savez comment changer l'humain en Divin, la laideur en Beauté, les douleurs en joies, devraient-ils même rester des douleurs — ne me laissez pas un seul instant, que Vos Bras de Lumières me serrent fort de telle manière que toutes les autres choses, dissipées par Votre Lumière, n'oseront plus me molester et briser mon bonheur.
Je prie la Reine Souveraine de venir à mon aide — de me prêter Son amour, afin que je puisse aimer mon doux Jésus avec Son amour de Mère.
Mon doux Jésus, je veux Te dire que je Te désire ardemment et Ta sainte Volonté, et si Tu me le concédais, Tu me rendras pleinement contente et heureuse.
- Volume 11 - 03 mars 1912 - L'âme qui vit dans la Divine Volonté acquiert le tempérament de Jésus et partage toutes ses qualités.
Me trouvant dans mon état habituel, mon aimable Jésus vint et me dit : « Ma fille, l'âme qui vit dans ma Volonté perd son tempérament et acquiert le mien. Dans mon tempérament, il y a de nombreuses mélodies qui constituent le paradis des bienheureux : ma douceur est musique, ma bonté est musique, ma sainteté est musique, ma beauté est musique, ma puissance, ma sagesse, mon immensité et tout le reste sont musique. Participant à toutes les qualités de mon tempérament, l'âme reçoit ces mélodies et, par ses actions, même les plus petites, elle émet des mélodies pour moi. En entendant ces mélodies, je reconnais une musique provenant de ma Volonté, c'est-à-dire de mon tempérament, et je m'empresse de l'écouter. Je l'aime tellement qu'elle me réjouit et me console pour tout le mal que me font les autres créatures.
« Ma fille, que se passera-t-il quand cette âme arrivera au Ciel ? Je la placerai devant moi, je jouerai ma musique et elle jouera la sienne, nos mélodies se croiseront et chacune trouvera son écho en l'autre. Tous les bienheureux sauront que cette âme est le fruit de ma Volonté, le prodige de ma Volonté, et tout le Ciel jouira d'un nouveau paradis.
« À ces âmes, je répète sans cesse : « Si le Ciel n'avait pas été créé, je le créerais pour toi uniquement. » En ces âmes, je place le Ciel de ma Volonté. Je fais d'elles mes vraies images et je me balade dans le Ciel tout rempli d'allégresse et en jouant avec elles. Je leur répète : « Si je ne m'étais pas placé dans le Sacrement, pour toi seule je le ferais, afin que tu sois une vraie hostie. » En fait, ces âmes sont mes vraies hosties et, tout comme je ne peux vivre sans ma Volonté, je ne peux vivre sans ces âmes. Elles ne sont pas simplement mes vraies hosties, mais mon Calvaire et ma vie même.
« Ces âmes me sont plus chères que les tabernacles et les hosties consacrées elles-mêmes, parce que, dans l'hostie, ma vie cesse quand les espèces sont consumées, tandis que dans ces âmes ma vie ne cesse jamais. Mieux, ces âmes sont mes hosties sur la terre et elles seront mes hosties éternelles dans le Ciel. Pour ces âmes, j'ajoute : « Si je ne m'étais pas incarné dans le sein de ma Mère, je me serais incarné seulement pour toi et, pour toi seulement, j'aurais souffert ma Passion, car je trouve en toi le vrai fruit de mon Incarnation et de ma Passion. »
- Prière
« Gloire soit à Dieu, le Père Créateur, au Fils Ressuscité des morts et à l’Esprit Consolateur, maintenant et dans tous les siècles. Amen. Fiat. »
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6