"A un certain moment, je sens la présence et la toute-puissance de Dieu m'envelopper. Et de nouveau j'évite la rencontre intérieure du Seigneur."
"Je demandai à la mère supérieure la permission d'aller à Jozefinek rendre visite aux soeurs. Elle nous l'accorda [...]Je courus à ma cellule pour prendre ma pélerine; en revenant, alors que je passais près de la petite chapelle, je vis le Seigneur Jésus sur le seuil, qui me dit ces paroles: "Vas-y, mais Moi, Je prends ton coeur" . A l'instant, je sentis que je n'avais plus de coeur dans ma poitrine. [...] Un grand mécontentement commença à me tourmenter. Une sorte de nostalgie envahit mon âme, mais personne, seulement Dieu, ne savait ce qui s'était passé dans mon âme."
11 commentaires
Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6