Battons-nous !

Faire le Signe de Croix.

Réciter le CREDO.


Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Écriture.
(Jean 7 : 38-39) 

MERCI à Béatrice

PRIERE :

Je vois bien, dit Dieu, que, pour vous, 

la vie n'est pas facile à vivre tous les jours. 

Je vois bien aussi 

que dans votre société de consommation, 

ce n'est pas facile de vieillir ! 

Mais, vous savez, ce n'est pas non plus facile 

d'être jeune aujourd'hui ! 

D'ailleurs, ce n'est pas la facilité qui est essentielle, 

l'essentiel, c'est d'aimer. 

Et vous savez bien 

que l'amour n'est jamais facile. 

Je vois bien vos ennuis de santé, 

vos soucis de famille, vos problèmes de fin de mois 

et vos inquiétudes concernant l'avenir... 

Rien de ce qui vous arrive ne me laisse indifférent !


Je vois bien toutes vos souffrances, 

mais, je vous en supplie, 

arrêtez de penser que c'est moi qui vous les envoie ! 

Mon cadeau à moi, c'est la vie ! 

Ce que j'aime, dit Dieu, c'est ce qui fait du bien, 

ce n'est pas ce qui fait du mal !

Je vois bien que beaucoup d'entre vous 

prennent sur eux avec beaucoup de courage 

pour m'offrir leurs souffrances 

en croyant me faire plaisir. 

Quand vous m'offrez votre souffrance, 

je la reçois, non pas comme un cadeau que vous me faites, mais comme le fond d'une détresse 

où vous m'appelez au secours. 

Vous savez, dit Dieu, moi non plus, 

je n'aime pas la souffrance, 

elle m'a trop fait souffrir en faisant souffrir mon Fils ! 

Je vous en prie, dit Dieu, 

n'allez pas imaginer que je puisse y trouver un plaisir ! 

S'il vous plaît, ne me laissez pas seulement 

le choix entre n'être qu'un Dieu cruel qui fait souffrir 

ou n'être qu'un Dieu impuissant 

qui est incapable d'empêcher la souffrance ! 

Je vous en supplie, 

ne transformez pas le Ciel en musée de la souffrance. 

Vos souffrances me font souffrir, 

justement parce qu'elles vous font souffrir. 

Avant même que votre souffrance 

vous ait déchiré le coeur, 

elle m'a déjà blessé dans ma tendresse de Père. 

Je suis malade de votre mal avant même

que vous le ressentiez ! 

Je n'aime pas plus les sacrifices de la souffrance 

que je n'aime les sacrifices des taureaux, 

des béliers et des agneaux gras 

qu'on m'offrait autrefois dans le Temple. 

La seule offrande que j'aime, dit Dieu, 

c'est celle du coeur. 

Le sacrifice qui me plaît, c'est la justice et la vérité. 

L'offrande que je guette, c'est celle de votre amour.

Ce n'est pas votre souffrance que j'aime, 

c'est votre tendresse. 

Si je vous ai envoyé mon Fils, 

ce n'est pas pour vous faire souffrir, 

mais pour vous guérir de la souffrance. 

Ne m'offrez plus votre souffrance, 

offrez-moi plutôt le courage et la dignité 

avec lesquels vous vous battez contre la souffrance 

et surtout n'attendez pas de souffrir 

pour commencer à vous battre contre la souffrance ! 


Père Jean Debruynne (1925-2006), Prêtre de la Mission de France, aumônier général des guides de France et des scouts de France, écrivain, poète et éditorialiste.

Extrait de la revue ''Vermeil'', décembre 2000 & janvier 2001 


Une dizaine de chapelet, un chapelet, votre prière du Cœur....


Je vous invite à rejoindre la Neuvaine à Notre-Dame de Lourdes (Neuvaine de l'Assomption) du 7 au 15 août à laquelle est associée Sainte Bernadette (2019 année Bernadette) avec ce lien https://hozana.org/communaute/7230-neuvaine-a-notre-dame-de-lourdes

Une première publication le 5 août vous proposera des prières à ajouter, suivant votre choix, aux prières du jour.

Venez nombreux, partagez, inviter....

Un grand MERCI à vous Tous.


En union de prières. Claudie





Prière de la communauté

Prière pour les malades

Toi seul, ô Christ, peux secourir promptement tes créatures : nous t'en supplions, viens visiter ton serviteur (ta servante) N…. malade, délivre-le (la) des souffrances et de l'excès de douleur. Relève-le (la) pour qu'il (qu’elle) te chante et te glorifie sans cesse, par les prières de la Mère de Dieu, et de tous les saints, ô toi seul ami des hommes. Ô Sauveur, qui releva de leurs lits de douleur la belle-mère de Pierre consumée par la fièvre ardente et le paralytique porté sur son grabat, viens aujourd'hui visiter et guérir, dans ta compassion infinie, ce malade étendu, atteint dans sa chair. Car rien ne t'est impossible, toi qui seul portes les souffrances et les maladies de tous les hommes en ta grande miséricorde.

Merci ! 252 personnes ont prié

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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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Prions pour les malades !

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