DE L'ISLAM À JÉSUS : "CE QU'ON M'AVAIT ENSEIGNÉ ÉTAIT FAUX"

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Il a suffi d'un tableau du Bon Berger

(Jésus déclare :) « Moi, je suis le bon berger : le bon berger laisse sa vie pour les brebis. Le voleur ne vient que pour voler, tuer et détruire : moi, je suis venu afin qu'elles aient la vie, et qu'elles l'aient en abondance. »

Jean 10. 11, 10            

« Je suis né en Afrique du Nord, mais j'ai grandi en France. J'étais de culture musulmane mais en réalité j'étais athée. Passionné par la musique, je jouais de nombreux instruments et composais des chansons.

Un jour, le directeur de la compagnie qui éditait mes chansons m'a proposé d'écrire une comédie musicale. Quand je suis sorti, il s'est mis à pleuvoir, et je me suis abrité sous un porche pour réfléchir à cette proposition. C'était le porche d'une église. Je suis entré et mon regard a été attiré par une représentation de quelqu'un qui tenait un agneau dans ses bras, avec ces mots en bas du tableau : “Le bon berger donne sa vie pour ses brebis”. J'ai pensé : “Quel genre de personne serait prête à donner sa vie pour les autres ?” J'ai demandé au prêtre qui se trouvait là de me raconter l'histoire de ce tableau. Il m'a donné les quatre évangiles. Du coup, j'ai écrit une comédie musicale sur la vie de Jésus, mais elle n'a pas pu être produite. Le sujet était trop brûlant !

Cela n'était pas grave, Jésus était devenu toute ma vie. J'ai arrêté de boire et de fumer. Je n'avais plus envie de passer des heures dans les bars ou à faire la fête ; j'avais bien plutôt le désir de revenir en Afrique du Nord pour parler à mon épouse Nora de Jésus qui était entré dans ma vie. Elle aussi a été touchée par la personne du Christ car il a répondu à ses prières. Maintenant, ensemble, nous servons le Seigneur et nous composons des chants en berbère, en arabe et en français, pour la gloire de Dieu. »

Rafik

 

 

« Jésus Fils de Dieu, un blasphème… »


« Christ est mort pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui pour eux est mort et a été ressuscité. » 2 Corinthiens 5. 15

 « J'avais pratiqué la religion de ma famille, en condamnant sévèrement la chrétienté. À 18 ans, je fus contacté par une chrétienne sur un stand biblique. Je ne savais rien de la Bible, sinon qu'elle était “falsifiée”, selon ce que j'avais appris. On m'avait enseigné que les chrétiens disaient que Jésus était le Fils de Dieu, et pour moi, c'était un blasphème. Jésus n'était qu'un homme, prophète certes, mais créé, au même titre qu'Adam.

Je décidai d'étudier et de comparer la Bible avec d'autres livres religieux.

À mesure que je la lisais, je me rendais compte qu'elle était autre chose que ce que je pensais ; et surtout, l'image que je me faisais de Jésus était fausse. D'étranger et imposteur, Jésus devenait pour moi un homme unique ! Qui a, comme lui, consolé les pauvres, accueilli les personnes rejetées, soulagé des opprimés ? Qui a, comme lui, parlé avec simplicité et vérité de Dieu qui aime tous les hommes ? Et surtout, qui a, comme lui, révélé le Dieu et Père de tous ceux qui placent leur confiance en lui ? Par la suite, j'ai assisté à des réunions chrétiennes. Cela m'a aidé à comprendre l'évangile du salut. L'amour de Dieu, manifesté à la croix, m'avait bouleversé, moi qui ne connaissais qu'un Dieu puissant, sans aucun pardon pour le pécheur. Mais Jésus Christ est maintenant mon Sauveur et mon Maître. La paix a inondé mon cœur ! Je connais Dieu comme mon Père céleste, et cela grâce à Jésus, crucifié et ressuscité pour moi. »

Jamel

Les témoignages de Rafik et Jamel sont issus du calendrier de nos frères protestants La Bonne Semence https://editeurbpc.com/la-bonne-semence



"Jésus fera le plus grand miracle pour nous racheter"

"The Lost Sheep" par le peintre anglais Alfred Soord (1868-1915)

« Il y a exactement cinq ans, j'étais encore musulman. Une nuit de mars, pendant mon sommeil, j'ai fait un songe : un pigeon se posait sur ma main, je l'ai réellement senti. Sur ses ailes, un papier blanc enroulé sous forme de message m'était destiné. Soudain, une forte voix profonde me disait : « Lis la Bible, lis la Bible, lis la Bible. » Je me suis réveillé en écoutant la dernière phrase. Sans panique, je m'étais rendormi. Pendant le déjeuner, quand j'ai raconté mon rêve à ma femme, elle était très émue et rendait gloire au Seigneur Jésus-Christ. Elle m'expliquait que c'était l'Esprit Saint et que Dieu m'avait racheté et sauvé. Elle était musulmane aussi mais savait déjà bien avant moi que la vérité et le salut se trouvaient en Jésus-Christ de Nazareth. Depuis, nous avons beaucoup grandi dans la foi. Dieu lui-même s'est occupé de nous, il nous enseigne en personne, on l'a vu plusieurs fois dans des visions. Merci et gloire au Seigneur Jésus-Christ pour des siècles et des siècles. Je voudrais dire que, même si on est athée, animiste ou non-croyant, Jésus fera le plus grand miracle pour nous racheter. Amen. »

Moussa


« Dieu t'a conduit ici pour que tu le connaisses »

(Dieu dit à Moïse :) « Maintenant, va… et je t'enseignerai ce que tu diras. »

Exode 4. 12

« Tu diras tout ce que je te commanderai. »

Exode 7. 2

(Jésus dit :) « Demandez, et il vous sera donné ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et il vous sera ouvert. Car quiconque demande, reçoit ; et celui qui cherche, trouve ; et à celui qui frappe, il sera ouvert. »

Matthieu 7. 7, 8

 « J'étais là devant la petite église en briques. Mon cœur cognait dans ma poitrine. Devais-je entrer dans cette église ? Cela m'aiderait-il à trouver une réponse aux questions avec lesquelles je me débattais ?

Comme la plupart des Bengalis, j'ai été élevé dans l'Islam. Je prie cinq fois par jour, je jeûne lors du Ramadan, je vais à la mosquée mais mon cœur reste vide. Pourquoi ce sentiment d'insatisfaction ? Pourquoi ma religion ne m'apporte-t-elle pas la joie ? Pourquoi, malgré tous mes efforts pour prier et observer le jeûne, je ne sais pas si je fais bien ? Et pourquoi aussi mes frères me rejettent-ils comme ce Joseph dont j'ai lu l'histoire dans la Bible ? Alors est-ce que j'entre ou non dans cette église ?

Finalement, je suis entré. L'homme qui était en train de parler s'est interrompu brusquement au milieu d'une phrase. Il a recommencé à parler puis il s'est arrêté à nouveau. Les auditeurs commençaient à chuchoter. Pour la troisième fois il a repris son discours et s'est tu brusquement. Cet homme est fou, me suis-je dit, en reculant vers la porte, irrité. Au moment où je l'ai ouverte, l'homme s'est remis à parler et ses paroles me sont allées droit au cœur : « Je suis désolé, s'est-il excusé, chaque fois que je commence à parler, je sens que Dieu veut que je change de sujet, que je parle d'un homme de l'Ancien Testament appelé Joseph qui a été vendu par ses frères ». À cet instant j'ai lâché la poignée de la porte. Joseph ? L'homme dont l'histoire me captivait ? Je me suis assis et j'ai écouté.   Ensuite, je me suis dit : Cet homme raconte mon histoire. Aussi, dès la réunion finie, je me suis précipité et je lui ai demandé :

– Comment connaissez-vous l'histoire de ma vie ?

Mon interlocuteur était un peu interloqué, puis tout à coup, il s'est exclamé :

– Maintenant je comprends pourquoi Dieu ne m'a pas laissé donner le message que j'avais préparé. Je n'arrêtais pas d'entendre comme une voix qui me disait : “Ne donne pas ce message, mais parle plutôt de la vie de Joseph”. Trois fois, cette pensée m'est venue à l'esprit, et finalement j'ai obéi. Je comprends maintenant que c'était pour toi. Dieu t'a conduit jusqu'ici pour que tu le connaisses.

Nous avons passé deux heures à parler des questions qui me tourmentaient. En écoutant, j'ai réalisé que Jésus était la réponse à mes questions. Il est venu dans notre monde pour nous sauver du non-sens, de l'absurde, du rejet des autres, et surtout de nos fautes. Le soir même, j'ai incliné la tête et j'ai prié Jésus pour recevoir son salut. Par la suite j'ai été chassé de la maison familiale, mais le Seigneur est fidèle. Il ne m'a pas abandonné. Je l'ai prié avec persévérance pour avoir des occasions de faire connaître l'évangile à mes parents et mes frères et sœurs. Et, l'un après l'autre, tous sont venus à Christ. »

Pintu Hossain

Les témoignages de Moussa et Pintu Hossain sont issus de l'email Un miracle par Jour édité par nos frères protestants de Top Chrétien


Musulmane pendant 52 ans

D'origine tunisienne, Raoudha a été musulmane pendant 52 ans de sa vie. Elle en a aujourd'hui 54. Il y a deux ans, c'est une vidéo Youtube qui a provoqué chez elle une révélation. Le témoignage d'un musulman converti au christianisme l'a profondément touchée. Les églises lui étaient pourtant familières depuis longtemps. Mariée à 18 ans avec un homme chrétien qui jouait souvent de la musique dans les églises, elle accompagnait fréquemment son époux : « Pour moi, prier dans une église ou dans une mosquée n'avait pas d'importance. C'était la maison de Dieu dans les deux cas. » Raoudha dit avoir toujours été une musulmane profondément croyante, bien que non pratiquante. Si son premier mari n'a jamais tenté de la convertir, son compagnon actuel, lui, y attachait plus d'importance. « Il me disait souvent “Tu es quelqu'un de bien, mais il te manque quelque chose : le Christ !”  » Mais c'est cette fameuse vidéo qui provoque le déclic. « Il s'est passé quelque chose, explique-t-elle avec émotion. C'était comme quelque chose qui se déchire, ici, dans la poitrine. J'ai reçu le Christ. Et maintenant, je ne le quitterai plus jamais. » Cette ancienne musulmane considère que Dieu est venu la chercher avant de la mettre à l'épreuve. Deux mois après sa conversion, Raoudha reçoit un coup de téléphone : son neveu vient d'avoir un grave accident. Il a peu de chances de s'en sortir. « Je suis allée à son chevet et j'ai beaucoup prié. J'étais la seule dans la famille à être convaincue qu'il survivrait. Ma famille est peu croyante, mon neveu est d'ailleurs le seul pratiquant. » L'adolescent a depuis lors recommencé à parler et à marcher : il a recouvré 80 % de ses capacités. Une forme de miracle que cette future baptisée attribue à Dieu. Reste que la famille tunisienne de Raoudha n'est pas au courant de sa conversion. Peu de proches le sont. « Je n'ai pas peur de perdre des amis, affirme Raoudha avec sérénité. Car j'ai Christ. »

Raoudha

Le témoignage de Raoudha est issu de https://plus.lesoir.be/148679/article/2018-04-02/de-plus-en-plus-dadultes-se-font-baptiser-paques

 


« Ne crains rien. Continue ta quête, je suis avec toi »

Charbel est un musulman converti, baptisé en 2017. Visions et messages du Ciel l'ont mis sur la voie de la découverte du christianisme. Sa conversion a commencé pendant le ramadan. Alors qu'il se promenait à Beyrouth après la prière du matin à la mosquée, Charbel a entendu une voix venant du ciel, lui disant des paroles qu'il n'avait jamais entendues auparavant : « Gloire à Jésus, le Fils unique de Dieu. Et gloire à la Vierge Marie, la Mère de Dieu. » 

« Ce fut un choc pour moi », a confié Charbel au National Catholic Register (1). Ayant grandi dans une enclave sunnite de Beyrouth (Liban), il ne connaissait aucun chrétien avec lequel il aurait pu partager son expérience. La veille de Noël, il était chez lui en train d'étudier, quand il a vu la Vierge pour la première fois. Elle lui a dit : « Ne crains rien. Continue ta quête, je suis avec toi, » raconte Charbel.

« Tout ce que je sais, c'est que c'est la plus belle chose que j'aie jamais vue. Dès que je l'ai vue, j'ai senti la paix dans mon cœur. Je me sentais comme chez moi. » Il revoit la Vierge Marie la veille de Noël pendant trois années de suite. « Elle répétait les mêmes mots à chaque visite », se souvient-il. Ce n'est qu'après la dernière vision que Charbel est devenu ami avec un chrétien rencontré lors d'une fête… Charbel a été baptisé lors de la fête de la Sainte-Croix huit mois plus tard et a choisi le nom de Charbel en l'honneur du saint Charbel du Liban.

 

(1) Périodique catholique américain. Site internet : https://www.ncregister.com/ 

Le témoignage de Charbel est  issu de www.mariedenazareth.com. Source : National Catholic Register

 


Prière de la communauté

Prières de conversion au choix de vos besoins et inspirations

Choisissez la prière qui vous convient et vous inspire parmi celles-ci : Incroyants, voici une prière pour demander à Dieu de vous faire connaître Jésus : "Jésus, Tu as dit " Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira." Aujourd'hui, je suis là et je frappe à ta porte, je te cherche, je veux te connaître, viens, je t'en prie, envoie-moi ton Esprit Saint et révèle-moi puissamment ta présence. Par Jésus-Christ, Fils du Dieu vivant". Croyants, voici une prière pour demander à Dieu de vous rendre plus saints et demander la conversion des hommes qui ne connaissant pas Jésus : Ô Dieu, montrez-nous votre visage qui n'est autre que celui de votre Fils, puisque c'est par Lui que vous vous faites connaître, de même que l'homme tout entier est connu par son seul visage. Et par ce visage que vous nous aurez montré, convertissez-nous, convertissez les morts que nous sommes des ténèbres à la lumière, convertissez-nous des vices aux vertus, de l'ignorance à la parfaite connaissance de vous. Ainsi soit-il. (Saint Bruno le Chartreux) Croyants, ajoutez la Prière de l'Ange à Fatima Mon Dieu, je crois, j'adore, j'espère et je vous aime. Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, pour ceux qui n'adorent pas, qui n'espèrent pas et ne vous aiment pas. Prière de conversion des pécheurs obstinés de Sainte Thérèse d'Avila Ô Seigneur mon Dieu, Ô créateur, ayez compassion de Vos créatures. Considérez que nous ne nous entendons pas nous-mêmes, que nous ne savons pas ce que voulons et que nous nous éloignons infiniment de ce que nous désirons. C'est ici, Ô mon Dieu, que doit se montrer Votre miséricorde ! Qu'elle est grande, Dieu de mon cœur, la demande que je vais Vous faire lorsque je Vous prie d'aimer ceux qui ne Vous aiment pas, d'ouvrir à ceux qui ne frappent pas, de guérir ceux qui non seulement prennent plaisir à être malades, mais qui travaillent même à augmenter leur maladie. Vous dites, très doux Sauveur Jésus, que Vous êtes venu sur la terre chercher les pécheurs. Les voilà, mon Dieu, les véritables pécheurs. Oh donc, ayez pitié de ceux qui n'ont pas pitié d'eux-mêmes ; et puisque dans l'excès de leur égarement, ils ne veulent point aller à Vous, venez Vous-même à eux. Je Vous le demande en leur nom, et ces morts, j'en suis sûre, se lèveront de leurs tombeaux dès qu'ils commenceront à rentrer en eux-mêmes, à se reconnaître, à Vous goûter. Et vous Père Céleste, ne considérez point notre aveuglement, mais jetez les yeux sur les ruisseaux de sang que votre Fils a répandus pour notre salut. Sainte Thérèse d'Avila (1515 - 1582)

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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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