Gregory, la trentaine : « À l'arrivée de la procession mariale à l'abbaye de Bellefontaine, je n'ai vu que des gens heureux dont le visage rayonnait de bonheur. Pour moi, c'est cela avoir la foi. » Marcelle, octogénaire : « J'ai essayé de suivre 3 jours de suite et cela s'est fait sans problème. Cela restera pour moi un moment inoubliable ! » François, 28 ans, de Lyon : « Quand je vois des frères qui sont touchés par Marie, cela m'interroge et me donne envie d'aller vers la source » Elongo, 27 ans, non-croyant : « Vous rencontrer a été un très beau cadeau. J'ai maintenant décidé de suivre le pèlerinage jusqu'au bout » Béatrice, la quarantaine, mère de famille : « Magnifiques journées portées par la marche et la prière, avec de belles rencontres humaines, un accueil chaleureux, vraiment un pèlerinage merveilleux ! » Isabelle : « Quelle merveille que ce départ du M de Marie à La Salette ! Je m'en souviendrai toujours ! L'impression d'une aventure qui débute avec beaucoup d'inconnu, d'appréhension, d'enthousiasme, des rencontres toutes simples, les fleurs, l'air si pur, et toute l'équipe si fraternelle … » Luc : « Quel magnifique pèlerinage qui ne laisse personne indifférent ! Nous avons pu participer vers Ars : moments inoubliables sous le regard de Marie qui veille sur ses enfants ! » Adrien, un jeune venu marcher sur le M : « À un moment il y a eu un détour imprévu dans un village, ce qui nous allongeait la route de plusieurs kilomètres. Dans ce village, où rien n'était planifié, une femme nous entendant arriver est alors sortie de chez elle et s'est mise à genoux en pleurs en voyant la Vierge Marie. On avait vraiment l'impression d'être conduit là où on devait aller ! » Un homme participant à Cholet : « Moi je fumais 25 clopes par jour et, à une soirée de prière chez les franciscains, j'ai déposé mon paquet de clopes au pied de Marie et j'ai arrêté brutalement du jour au lendemain. Au bout de 6 mois lorsque je me mettais à toucher une clope, j'avais envie de vomir. Marie elle agit. Pour la clope, la drogue, le smartphone ... et le sexe aussi. Allez-y et demandez tout !" Et dans l'équipe : Christophe, 55 ans, de Bétharram (64) : « J'étais au chômage et je suis venu marcher juste un jour avec le M de Marie en pensant m'arrêter là. Mais, finalement, le soir, n'ayant rien à faire j'ai proposé mon aide jusqu'à l'arrivée à Pellevoisin les 12/13 septembre pour servir comme « groom » c'est-à-dire pour m'occuper chaque jour du cheval. Et, juste après j'ai reçu un appel téléphonique pour me dire que je commençais un nouveau travail le 15 septembre, soit 2 jours après la fin du pèlerinage. Incroyable ! » Maxime, 23 ans, organisateur du pèlerinage du M de Marie : « On devait partir le 1er mai mais à cause du Covid-19, on a dû reporter au 2 juin. Mais finalement on a pu avoir l'autorisation de lancer le pélé le 1er juin, lundi de Pentecôte à 19h30 à Lourdes puis à La Salette - le jour de la fête de « Marie, Mère de l'Église », instituée en 2018 par le pape François. Or, à 19h11, quelques minutes avant la première bénédiction, le recteur de la Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, ravi que le décalage permette de passer à Montmartre le 15 août prochain, appelle de manière tout à fait inattendue en proposant un programme sensationnel. Et avant de raccrocher, à 19h30 pile, il glisse qu'il y a tout juste 40 ans le Pape Jean-Paul II effectuait son premier voyage en France en nous interpellant : « France, Fille aînée de l'Église, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? » Ainsi, 40 ans après le fort appel du pape vient de nouveau retentir à nos oreilles, comme pour demander une réponse. Et nous avons tous été très émus car cette phrase guidait notre pèlerinage depuis le début ! » Monique, 62 ans, œnologue et vigneronne, qui a eu l'idée de ce pèlerinage : « Je me suis dit qu'il fallait faire quelque chose. On a perdu le nord dans notre France déchristianisée : dans la tranche 30-40 ans, il y a une ignorance totale, avec un désespoir palpable. On fait n'importe quoi, on vote des lois contre la vie, on détruit la nature. Que faire ? Ce n'est pas par la politique qu'on y arrivera. Il nous faut appeler l'aide de Dieu ! Il nous faut Marie ! Cette population en quête d'espérance doit croiser son regard. » |