Les pauvres ont le droit de vivre

"Je suis sur le chemin de la mort et moi j'y ai mis un accélérateur", Joseph.


On attribue aujourd'hui bien volontiers la violence aux diverses religions, comme si les dieux païens étaient remplis d'une bonhomie paisible. C'est un mauvais procès.

Quand les hommes sa ressemblent et essaient de servir les plus faibles, ils oublient leurs préjugés et dépassent leurs différences pour inventer un monde nouveau, des villes nouvelles. 

Autour des personnes qui sont mortes dans la rue ou de la rue, souvent violemment, tristement ou tragiquement, en juin, nous nous sommes rassemblés de diverses religions pour prier, et aussi pour nous retrouver, musulmans, juifs, protestants, catholiques de diverses communautés. 

Beaucoup d'entre nous ont pleuré des personnes merveilleuses, certains ont voulu honorer des personnes qu'on veut faire disparaître de notre vue, de notre ville ; nous sommes bien d'accord pour refuser de supporter la situation actuelle des gens de la rue, qui se laissent mourir, qui ne veulent plus vivre ; mais aussi la situation des personnes qu'on met de côté, qu'on disqualifie jusqu'à faire disparaître leur corps en 5 ans, après leur mort. Quel gâchis ! Quelle inhumanité !

Levons-nous. Construisons une ville où les pauvres aient le droit de vivre ! 


Père Patrick Giros, Lettre aux Amie numéro 41, septembre 2001

Prière de la communauté

Notre Père

Notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous du Mal. Amen

Merci ! 13 personnes ont prié

2 commentaires

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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Aux captifs, la libération

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