10 décembre - par À Bras Ouverts
Parole de Dieu
« Votre Père, qui est au ciel, ne veut pas qu'un seul de ses petits soit perdu » Mt 18,14
Méditation
En méditant sur cette brebis égarée j'ai d'abord pensé à certaines familles sans structures d'accueil adaptée pour leur enfant porteur de handicap. Parfois esseulées, un sentiment d'abandon et de détresse peut les gagner. Et pourtant, par les épreuves qu'elles traversent, ces familles nous rappellent combien la vie n'a pas de prix. Cette vie, don gratuit du père, nous oblige, tel le bon pasteur.
Dans cette brebis, je suis aussi troublé de me reconnaître plus facilement que reconnaître chacun des jeunes porteur de handicap que j'ai eu la chance d'accompagner jusqu'alors. Combien de fois ce sont eux qui m'ont montré le chemin de la joie, qui m'ont fait voir l'essentiel, qui m'ont ramené à la vie ! Leur spontanéité m'apprend sans cesse à me concentrer sur l'ici et maintenant. Ici et maintenant il me faut aimer. Oui, le Seigneur vient nous chercher et il le fait souvent à travers les plus petits.
Action
Savons-nous reconnaître quand nous marchons dans les pas du bon pasteur ?
Savons-nous nous reconnaître perdu et dans le besoin ? Osons-nous tendre l'oreille pour entendre la brise légère nous guider ?
À Bras ouverts est une association d'inspiration chrétienne ouverte à tous, dont la vocation est de faire partir des jeunes porteurs de handicap le temps d'un week-end avec des accompagnateurs bénévoles, de 18 à 35 ans. A Lyon, 2 groupes vous accueillent : « Monts et Merveilles » et « Les Ptits Gônes ».
Chaque jour un groupe de la pastorale des jeunes de Lyon vous partagera une méditation et une action. Objectif : "marcher ensemble" jusqu'à Noël avec toute notre diversité de charismes et de sensibilités ! Voir plus dans la description de la communauté et avec la prière commune à Marie (cliquer sur "Je prie" pour la découvrir).
Merci ! 10 personnes ont prié
Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6