Béni soit le Seigneurqui entend la voix de ma prière !

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Chers amis, samedi dernier, lors d'une mission de marché avec ma paroisse, il me fut donné une grande grâce, une très belle rencontre !


Un Monsieur venait à moi, rejetant mon "tract électoral pour Jésus" mais...il me donnait une gifle spirituelle, comme aurait dit un ami diacre. 


" Un jour, vous vous êtes cassé la figure, et vous avez compris beaucoup de choses sur la simplicité, mais aujourd'hui, vous devez allez plus loin, car vous n'avez pas encore tout saisi."


Eh bien voyez vous, c'est cette simplicité, cette humilité, qui nous sont données à contempler aujourd'hui. 

Cette humilité qui amène à un acte de foi. 


« Seigneur, ne prends pas cette peine, car je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit. C’est pourquoi je ne me suis pas autorisé, moi-même, à venir te trouver.Mais dis une parole, et que mon serviteur soit guéri ! Moi, je suis quelqu’un de subordonné à une autorité, mais j’ai des soldats sous mes ordres; à l’un, je dis : “Va”, et il va; à un autre : “Viens”, et il vient; et à mon esclave : “Fais ceci”, et il le fait. »


Chers amis, il y a plusieurs points intéressants chez ce centurion qui pourraient nous aider dans notre propre vie. 


Le centurion, malgré sa position sociale, se reconnaît indigne de recevoir Jésus, s'humilie, ne se reconnaît même pas digne de déranger le Maître.

Il ne surévalue pas sa position mais au contraire, reconnaît sa propre subordination. 


Le centurion pose un acte de foi, et il est intéressant de noter, que nous reprenons ses paroles au moment de l'eucharistie, juste avant la communion:

"Je ne me suis pas autorisé, moi-même, à venir te trouver.Mais dis une parole, et que mon serviteur soit guéri."


Enfin,le centurion a su mettre Dieu en bonne place dans sa vie, puisqu'il est allé jusqu'à construire une synagogue !


Frères bien aimés, nous pouvons peut-être nous laisser interpeller par ce beau texte, et voir comment il peut nous rejoindre dans nos propres vies, tâcher de faire un travail de vérité sur nous même. 

Où en suis-je dans cette marche à la suite du Christ. 

Est-ce que je sais grandir en abaissement, reconnaître que la foi, c'est aussi reconnaître ma dépendance, dépendance de Jésus Christ ?


"En effet, il n’y a qu’un seul Dieu, il n’y a aussi qu’un seul médiateur entre Dieu et les hommes: un homme, le Christ Jésus, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous. Aux temps fixés, il a rendu ce témoignage, pour lequel j’ai reçu la charge de messager et d’apôtre– je dis vrai, je ne mens pas –moi qui enseigne aux nations la foi et la vérité. Je voudrais donc qu’en tout lieu les hommes prient en élevant les mains,saintement, sans colère ni dispute."


Frères bien aimés, faisons notre cette prière de Paul.


Prions pour l'Église, missionnaire, pour le Pape, le collège épiscopal, les prêtres, les diacres et tout le peuple des croyants. 


Prions tous ceux qui ne croient pas, ne croient plus, afin qu'ils parviennent à la lumière de la Vérité. 


Prions pour les chefs d'état, les dirigeants, afin que le message du Christ, puisse être un ferment de développement, qui prennent en compte les aspirations des hommes et les intérêts plus grand nombre, tout en préservant notre maison commune.


Prions aussi pour un monde de justice et de paix. 


Et que Dieu vous bénisse et vous garde en sa Paix. 


Amen !


https://youtu.be/IXG5pj0P2Hk

Prière de la communauté

Acte d'amour du Curé d'Ars

Je vous aime, ô mon Dieu, Et mon seul désir est de vous aimer Jusqu’au dernier soupir de ma vie. Je vous aime, ô Dieu infiniment aimable, et j’aime mieux mourir en vous aimant que de vivre un seul instant sans vous aimer. Je vous aime, ô mon Dieu, et je ne désire le ciel que pour avoir le bonheur de vous aimer parfaitement. Je vous aime, ô mon dieu, Et je n’appréhende l’enfer que parce qu’on y aura jamais La douce consolation de vous aimer. Ô mon Dieu, Si ma langue ne peut dire à tout moment que je vous aime, Du moins, je veux que mon cœur Vous le répète autant de fois que je respire. Ah ! Faîtes-moi la grâce de souffrir en vous aimant, De vous aimer en souffrant, Et d’expirer un jour en vous aimant en sentant que je vous aime. Et plus j’approche de ma fin, Plus je vous conjure d’accroître mon amour et de le perfectionner. Ainsi soit-il.

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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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