"Caritas Christi urget nos "

" l’amour du Christ nous saisit quand nous pensons qu’un seul est mort pour tous, et qu’ainsi tous ont passé par la mort.
Le Christ est mort pour tous, afin que les vivants n’aient plus leur vie centrée sur eux-mêmes,mais sur lui, qui est mort et ressuscité pour eux."

"Caritas Christi urget nos", telle est la devise épiscopale d'un ami évêque, missionnaire au Cambodge.
Son engagement, sa vie avec les plus pauvres, sa proximité avec eux, m'ont toujours animé d'une joie profonde.
C'est cela ce que j'appelle l'évangélisation globale, lorsque l'un homme, animé d'un profond amour de Jésus Christ, est capable de tout inventer pour faire connaître Jésus.

Et si une telle ardeur soudaine anime un coeur, ce n'est pas par désir de prosélytisme soudain, c'est parce qu'un jour, il a découvert une perle de grande valeur, d'une valeur inestimable et plutôt que de la déposer dans un coffre à l'abri des regards, cet homme comme tant d'autres, se risque à faire découvrir et partager cette perle de grand prix.
Et cette perle a un Nom : Jésus Christ, mon Roi, mon Sauveur.
Aujourd'hui encore, des hommes et des femmes se mettent en marche pour faire découvrir Jésus Christ.
C'est le cas à Notre Dame des Champs à Paris, où se déroule à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 23 juin, une neuvaine missionnaire, l'occasion de découvrir Jésus au travers de forums, expositions, concerts, etc.

Ne soyons pas centrés sur nous-mêmes mais sur Jésus, cette source d'Amour intarissable, capable de transformer nos coeurs, nos vies, de leur donner un sens nouveau.

Alirs viens et vois, il t'attend.

Notre Dame des Champs
91, boulevard du Montparnasse
Paris 6ème

https://youtu.be/2yOFQNvQHPc

Prière de la communauté

Acte d'amour du Curé d'Ars

Je vous aime, ô mon Dieu, Et mon seul désir est de vous aimer Jusqu’au dernier soupir de ma vie. Je vous aime, ô Dieu infiniment aimable, et j’aime mieux mourir en vous aimant que de vivre un seul instant sans vous aimer. Je vous aime, ô mon Dieu, et je ne désire le ciel que pour avoir le bonheur de vous aimer parfaitement. Je vous aime, ô mon dieu, Et je n’appréhende l’enfer que parce qu’on y aura jamais La douce consolation de vous aimer. Ô mon Dieu, Si ma langue ne peut dire à tout moment que je vous aime, Du moins, je veux que mon cœur Vous le répète autant de fois que je respire. Ah ! Faîtes-moi la grâce de souffrir en vous aimant, De vous aimer en souffrant, Et d’expirer un jour en vous aimant en sentant que je vous aime. Et plus j’approche de ma fin, Plus je vous conjure d’accroître mon amour et de le perfectionner. Ainsi soit-il.

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6