05 juillet, premier mystère douloureux, l'Agonie de Jésus
À 16 ans, Jean Birndorfer perdit son père. Cette douleur stimula sa vie de dévotion. Il priait longuement, parfois des nuits entières, devant un petit autel qu’il avait installé dans sa chambre. Souvent, il ne mangeait rien. Ses sœurs lui demandèrent de modérer ses pénitences, mais seul son confesseur, qu’il voyait chaque semaine, pouvait tempérer son zèle.
Il allait à l’église tous les jours. S’il arrivait avant l’ouverture de l’église, il priait à la porte. Une fois à l’intérieur, il était toujours assis sur le premier banc à gauche, près du mur. Une fois la messe terminée, il était toujours le dernier à quitter l'église. Une dame qui l’avait observé raconta qu’une fois l’église vide, Jean s’agenouillait sur la marche la plus basse de l’autel et restait à prier pendant des heures.
Lorsqu’il marchait sur la route, il gardait les yeux baissés et saluait les passants en disant « Loué soit Jésus Christ » Certaines personnes l’appelait « fanatique » mais cela ne le dérangeait pas.
Notre Père, 10 je vous salue Marie, Gloire soit au Père. Amen
Dieu de bonté, par le ministère de Saint Conrad de Parzham, tu as ouvert aux croyants la porte de ta miséricorde; à sa prière, ouvre-nous l’esprit de pauvreté et l’humilité du cœur au service de nos frères. Par Jésus Christ, notre Seigneur. Amen
Priez pour nous, Saint Conrad de Parzham. Ainsi soit-il
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6