2.Guéri par la foi des autres

Je viens rendre grâce à Dieu car il m’a guérie par le Père Laval.

Voici mon témoignage : en 2000, le docteur avait dû m’opérer car sous ma mâchoire poussait un os qui provoquait des douleurs terribles à mon oreille gauche.

La douleur avait disparu, mais en 2017 les douleurs réapparaissent alors que j’étais dans le bus à côté d’une femme indienne d’Henrietta que je connaissais et nous étions un peu amies. Celle-ci me dit qu’il ne faut pas rester comme cela, mais qu’il faut aller prier le Père Laval.

Père Laval, j’y venais à pieds, une fois par an, depuis Beau-Bassin, car Vacoas est trop loin. Depuis ma maladie, j’y viens tous les mois, de préférence au début du mois… S’il y a des roses, je prends quelques pétales pour laisser des fleurs aux autres. J’avais un rosier devant chez moi qui ne rapportait pas ; un jour, j’ai pris des fleurs du Père Laval et un nouveau rosier a poussé, très haut et qui me donne beaucoup de roses ; j’en apporte toutes les fois au Père Laval et je suis heureuse quand je vois que les gens en prennent pour eux. Mais, à la maison, personne n’y touche : c’est pour Père Laval.

Avant j’avais peur que le mal revienne ; maintenant, je suis dans la paix.

5 décembre 2017,G. M.

Prière

 

Veillez !

 

Père Laval, me voici devant toi,

amené par un ami, un voisin,

et j’ai la tête vide, le cœur un peu sec.

Viens prier en moi :

« Mon Dieu, si tu m’apprenais à veiller,

à veiller sans crainte, à veiller sans peur,

sans inquiétude des lendemains ».

Je suis malade et mes amis m’ont amené

près de ton serviteur

leBienheureux Jacques Désiré Laval …

Ils m’ont dit de lui parler

comme les autres savent te parler.

« Mon Dieu, si tu m’apprenais à veiller,

un peu comme ceux qui attendent,

une attente calme ou peut-être tourmentée.

Le docteur me dit que c’est grave, que peut-être …

Je ne sais ni le jour ni l’heure,

je ne sais surtout pas le « COMMENT »,

mais, Mon Dieu,

ce que je sais, ce dont je suis sûr,

c’est que Tu es là, c’est que le Père Laval me soutient ;

je n’aurai pas veillé en vain »