Basilique du Rosaire de Lourdes : Chapelle de l’Ascension.

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Les apparitions de Notre Dame à Lourdes

 

• le 18 février 1858 : Troisième apparition de la Vierge à Bernadette Soubirous.

            Voulez-vous avoir la bonté de venir ici pendant 15 jours ? Bernadette précisera : Elle m’a dit vous, Elle m’a dit d’avoir la bonté de venir ! Puis elle entend la Vierge lui dire : " Je vous promets de vous rendre heureuse, non pas dans ce monde, mais dans l'autre ".Puis elle précisera : ‘’je désire y voir du monde’’

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• le 19 février 1858 : Quatrième apparition de Notre Dame à sainte Bernadette.

            Saint Bernadette vient à la Grotte avec un cierge bénit et allumé. C'est de ce geste qu'est née la coutume de porter des cierges et de les allumer devant la Grotte. Pendant que je priais, des voix m’ont appelée, on aurait dit mille personnes en colère. C’était horrible. La voix la plus forte a crié ‘’Sauve-toi ! Sauve-toi. Mais la Dame a regardé vers le gave en fronçant les sourcils et les voix se sont évanouies. Le père de Bernadette lui interdit de retourner à la Grotte. Pour confirmer l’interdiction paternelle, Notre Dame ne se montrera pas le lendemain ; Devant la tristesse de Bernadette,  cette interdiction sera levée pour les jours suivants.

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            Le 20 février 1858 : Cinquième apparition de Notre Dame à Lourdes.

            Notre Dame ‘’Eut la bonté de lui apprendre mot à mot une prière pour elle toute seule’’ Elle la récitera fidèlement chaque jour de sa vie sans jamais la faire connaître.

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•      Le 21 février 1858 : Sixième apparition de Notre Dame à Lourdes.

            Notre Dame se manifeste à Bernadette le matin de bonne heure. Une centaine de personnes l'accompagnent. La Dame en me quittant un instant de son regard, le dirigea au loin par-dessus ma tête, ensuite le reportant sur moi, qui lui avait demandé ce qui l’attristait, Elle me dit : ‘’Priez pour les pauvres pécheurs, pour le monde si agité.’’ C’était le premier dimanche de carême

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Second mystère glorieux : L'Ascension.

            Nous vous offrons, seigneur Jésus cette deuxième dizaine en l’honneur de votre triomphante ascension, et nous vous demandons par ce mystère et par l’intercession de votre sainte Mère, une ferme espérance et un désir ardent du ciel. Ainsi soit-il.

Notre-Père…

1. Pour honorer la promesse que Jésus-Christ fit assez apôtre de leur envoyer le Saint Esprit et l’ordre qui leur donna de se préparer à sa réception.
2. La réunion et l’assemblée de tous ses disciples sur la montagne des oliviers.
3. La bénédiction qu’il leur donna en s’élevant de la terre aux Cieux.
4. La glorieuse et charmante Ascension par sa propre vertu jusqu’au ciel empiré.
5. L’accueil et le triomphe divin qu’il reçut de Dieu son Père et de toute la cour céleste.
6. Les vertus triomphantes avec lesquelles il ouvrit les portes du Ciel ou aucun mortel n’est entré.
7. Sa séance à la droite de Son Père comme Fils bien-aimé égal à lui-même.
8. La puissance qu’il a reçue de juger les vivants et les morts.
9. Son dernier avènement sur la terre ou sa puissance et sa majesté paraîtront en tout leur éclat.
10. La justice qu’il y exercera au jugement dernier en récompensant les bons et en punissant les méchants à toute éternité.

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            Gloire au Père…

            Grâces du mystère de l’ascension de Jésus-Christ, descendez dans mon âme et rendez la vraiment céleste. Ainsi soit-il.

           O Mon Jésus ....

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Méthode  abrégée

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     Il faut ajouter le mot '' montant aux Cieux…   '' après ‘’Jésus,’’ au milieu de l’Ave. « Je vous salue Marie… et Jésus montant aux Cieux , le fruit de vos entrailles est béni. Sainte-Marie… etc...’’

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Le chapelet en image : L’aigle de l’ascension.

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            Si je vous disais que Notre Seigneur s’est servi de moi pour monter au ciel, je mentirais car il n’a pas eu besoin de personne, ni d’ailes, ni d’avion, pour quitter la terre. Il est le bon Dieu et il peut tout : sa Résurrection de Pâques le montre bien.

            Cette fois, c’est un grand aigle royal qui parle. Il dit encore :

            Je suis le plus fort de tous les oiseaux, mais le ciel où je plane n’est rien en comparaison du Paradis où Jésus est parti.

            On m’admire parce que je regarde le soleil en face. Que dirait-on de celui qui verrait ainsi Dieu, face-à-face et de beaucoup plus près ? C’est pourtant cela, le Paradis.

            Jésus, par le sacrifice de la croix vous a gagné une place ; il vous recevra là-haut si vous êtes sages. C’est tellement beau qu’il n’y a pas de mots pour en parler.

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             Demain dimanche 17 février, l’Eglise, suivant la forme extraordinaire du rite romain, entre dans le temps liturgique préparant le carême avec le temps dit de '' la Septuagésime.'' Nous développerons un peu plus cette période dans notre publication du 19 février

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         '' O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, et conduisez au ciel toutes les âmes, spécialement celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde''