Vous tenez entre vos bras le corps de votre Fils.
Nous vous adorons, ô Christ ! et nous vous bénissons, parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.
Vous tenez entre vos bras le corps de votre Fils, ô sainte Mère ! Qui pourrait exprimer la tristesse qui vous accable en contemplant de près ses plaies et ses meurtrissures ! Permettez que je me joigne à vous pour le présenter en cet état au Père éternel pour les âmes du purgatoire : ô mon Dieu ! soyez apaisé et satisfait, et accordez-leur le céleste héritage avec le sacré corps de votre Fils, je vous offre le cœur de Marie, sa mère, percé d'autant de glaives de douleurs que son Fils a souffert d'affronts et d'injures, et qu'il a reçu de plaies : recevez, je vous en supplie, cette offrande ; il n'en est point de plus grande ni de plus agréable à vos yeux.
Et vous, sainte Mère de douleur et de miséricorde, priez, pressez vous-même ce divin juge, afin qu'en vertu de la mort de son Fils et de vos peines, il daigne délivrer vos serviteurs des flammes du purgatoire et les placer auprès de vous dans la gloire éternelle. Ainsi soit-il. Pater, Ave.
Ayez pitié de nous, Seigneur, ayez pitié de nous ; et que par votre infinie miséricorde les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Ainsi soit-il.
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6