….Ne craignez point, ce n'est pas le démon….mais la Sainte Vierge.

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 Ci dessus, le père Francisco da Cruz

       Cette  publication sera consacrée à donner quelques traits du père Cruz qui intervint, si on peut dire, le tout premier dans l'histoire des apparitions de Fatima 

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                Auparavant nous rappellerons que ce jour est le premier samedi du mois de novembre, mois que l'Eglise consacre aux défunts de façon à prier pour ces âmes et adoucir leurs souffrances et/ou hâter leur délivrance. La période du premier au 8 novembre permet de gagner des indulgences plénières pour les âmes du purgatoire. (Conditions avec le lien  ) Pour en savoir plus sur les indulgence, je vous recommande le lien ( ....) et pour savoir ce qu'est le purgatoire, il y a les 3 publications de notre communauté sur le sujet avec le lien (.. )

         Il est effectivement recommandé, dans le cadre de la communion des saints, de prier pour les âmes du purgatoire, mais c'est une œuvre d'une plus grande charité chrétienne, que de prier pour la conversion des pécheurs. N'oublions pas que nous pouvons en sauver un ( tous les 5 mois) en offrant pour lui cette dévotion réparatrice. Essayons de commencer en ce premier samedi du mois !

        A une question du chanoine Barthas du 18 octobre 1946, sœur Lucie avait répondu : ‘' la Sainte Vierge nous a toujours parlé des âmes des pécheurs. Elle nous a intéressé à eux de toutes manière; elle ne nous a jamais parlé des âmes du purgatoire.''

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              '' Après avoir parcouru le monde, je puis affirmer sans hésiter que parmi tant d'excellents prêtres, je n'en n'ai jamais rencontré un aussi conforme à l'adorable modéle, un autre Christ aussi parfait que le cher père Cruz. '' ( A dit de lui l'apôtre du Sacré-Coeur  le père Matteo Crawley) 

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            Il y a 70 ans, Le 2 octobre 1948, le père Cruz rendait sa belle âme à Dieu après 68 ans d'apostolat en tant que prêtre portugais. Il avait dit un jour : « J'aime beaucoup aller Fatima. Je peux prier, souffrir, aimer à la Cova da Iria. Il y a tant d'âmes qui vont là-bas pleines de secrets et d'angoisse.  Quel bonheur plus grand, pour un cœur de prêtre, que de leur tendre la main, de les aider à se relever, de les remplir de Dieu ? »

            Le père Cruz rencontra pour la première fois les 3 petits voyants, sans doute  peu après le 13 juillet 1917. Sa venue sera d'un grand réconfort pour les trois petits bergers. On leur avait pourtant annoncé sa visite comme une menace : « Il va découvrir tous vos mensonges. » Et Jacinthe de répliquer alors : « Quand viendra-t-il ce monsieur qui devine ? S'il devine, il saura très bien que nous disons la vérité. » Lorsque Lucie le verra arriver, elle sera rassurée en reconnaissant le prêtre qui quatre ans plus tôt, avait obtenu de son curé qu'elle puisse faire sa première communion.  Apprivoisés par son sourire paternel, les enfants se confient volontiers. Les sentant malgré tout inquiet, le bon père récite le chapelet avec eux devant le chêne vert, puis les rassure : «… ne craignez point, ce n'est pas le démon qui vous apparaît, comment on vous l'a dit, mais la Sainte vierge. » Jacinthe lui dira affectueusement : ‘' Vous êtes un aimable petit vieux, vous ! ‘' en utilisant le même terme dont il aimait se désigner lui-même : ‘'velhico''

            Notre publication sera consacrée à quelques points marquants de ce ‘'vagabond de la charité'' qu'a été ce vénérable prêtre.  Il intervient très tôt dans l'histoire des apparitions de Fatima.

          Le père Cruz avait 33 ans de sacerdoce et jouissait depuis longtemps d'une grande renommée au Portugal lorsqu'il  avait accepté en 1913 l'invitation du père Péna, alors curé de Fatima. C'était pour venir l'aider pour la préparation des premières communions.   En arrivant sur place, il avait rencontré la petite Lucie en pleurs car elle venait d'apprendre qu'à 6 ans, le père Péna la considérait comme trop jeune pour faire sa première communion.  Quelques années auparavant, le pape Pie X avait publié le décret ‘' Quam singulari ‘'du 8 août 1910  où il encourageait la communion précoce des jeunes enfants. Pour en savoir plus sur ce décret, suivre le lien ( ......)


          Ci dessus ex-voto représentant St Pie X autorisant la communion précoce des enfants  

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      Avec tout ce que sa mère lui apprenait, Lucie connaissait parfaitement son catéchisme et apparut bien vite au père Cruz comme parfaitement apte à recevoir ‘' Jésus caché''. Sans doute la renommée du père Cruz facilita le revirement du père Péna. Pour sa confession Lucie précisa : ‘'Je veux me confesser au saint Missionnaire ‘'.

            Sur le chemin du retour, Maria-Rosa, l'excellente maman, voulut savoir ce que le confesseur avait dit à sa fille. Mais l'enfant savait se taire. La mère se heurta à un mutisme complet. Beaucoup plus tard, Lucie, devenue religieuse, consignera par écrit ce qui s'était passé. Après l'accusation de ses fautes, elle écouta attentivement : « Mon enfant, lui dit son confesseur, votre âme est le temple de l'Esprit-Saint. Gardez-la toujours bien pure, afin que le Seigneur puisse continuer à agir en elle. »
Lucie imagina, à sa manière enfantine, cette habitation de Dieu dans son cœur, et se sentit pénétrée de respect pour cette divine présence. « Que dois-je donc faire ? » demanda-t-elle.
« Allez-vous agenouiller aux pieds de la Très Sainte Vierge et demandez-lui avec une grande confiance qu'elle se charge de votre cœur, qu'elle le prépare Elle-même à recevoir dignement son divin Fils, et qu'elle le garde pour Lui seul. »

            Au matin du grand jour, Lucie, conduite par sa sœur aînée, vint demander pardon à ses parents et reçut leur bénédiction. La maman, un peu émue, mais toujours avisée, fit ses dernières recommandations, énumérant les grâces que la fillette devait solliciter lorsque Jésus serait présent dans son cœur : « Surtout, ma petite, demande à Notre-Seigneur qu'il fasse de toi une sainte. »
« Ces paroles, rapporte Lucie, se gravèrent dans mon âme de manière indélébile, en sorte que ce furent les premières que je dis à Jésus après l'avoir reçu. »

            Parvenue à l'église, l'enfant court à la statue de Notre-Dame et renouvelle sa demande, récompensée comme la veille par un beau sourire.
Au moment de la communion, lorsque l'hostie eut été déposée sur ses lèvres, Lucie se sentit pénétrée d'une paix profonde, imprégnée d'une atmosphère surnaturelle, si bien que la présence de Dieu lui devint aussi sensible que si elle l'avait vu ou entendu. Elle lui adressa alors sa prière : « Seigneur, faites de moi une sainte. Gardez mon cœur toujours pur, gardez-le pour vous seul ! » A ce moment, il sembla à l'enfant que Notre-Seigneur lui disait au fond du cœur ces paroles distinctes : « La grâce qui t'est faite aujourd'hui demeurera toujours vive dans ton âme, produisant des fruits de vie éternelle. »

            L'ange de Fatima, à sa dernière apparition de l'automne 1916 marquera cette spécificité de Lucie par rapport à ses cousins en lui donnant l'hostie d'où s'écoulaient des gouttes de sang qui tombaient dans le calice.

             Revenons au premier contact du père Cruz avec les voyants : Il récita le chapelet avec les enfants, puis, monté à califourchon sur son ânesse, si petite que ses pieds frôlaient le sol, il se fit conduire par les pastoureaux au lieu des Apparitions. « Chemin faisant, rapporte Lucie, il nous conseilla de demeurer bons, de fuir les mauvaises compagnies, et nous rassura, nous disant de ne pas craindre : que ce n'était pas le démon, mais bien Notre-Dame qui nous apparaissait. Il nous enseigna, de même, quelques oraisons jaculatoires. »
Deux, en particulier, ravirent Jacinthe :
« O mon Jésus, je vous aime ! »
« Doux Cœur de Marie, soyez mon salut ! »
            Désormais, dans les champs, lorsqu'elle gardera ses brebis, l'enfant les redira sans cesse. Elle les modulera, les chantera sur des airs improvisés par elle.



           En février 1918, au Palais Patriarcal de Lisbonne, un prêtre venait de raconter à des confrères le fameux prodige du soleil, lorsqu'il fut pris à partie et critiqué par un journaliste catholique de renom. Survint le Père Cruz. Notre journaliste lui baisa la main, puis, d'un ton où perçaient l'ironie et la suffisance : « Père, est-ce que vous avez vu, vous aussi, le soleil « danser » à Fatima, le 13 octobre dernier ? ». Quelque peu anxieux, tous gardèrent le silence. Le Père esquissa un sourire discret : « Monsieur, lui dit-il, je n'ai pas vu le soleil « danser » à Fatima, pour la bonne raison que je n'y étais pas. Mais il y a une chose certaine : Jésus-Christ, dans son Évangile, affirme qu'il est plus facile à un chameau de passer par le chas d'une aiguille qu'à un pécheur de se convertir. Or, croyez-moi, j'ai séché des larmes, beaucoup de larmes qui « dansaient » — puisque vous tenez à cette expression — qui dansaient dans les yeux d'une foule de pécheurs touchés de repentir par le prodige de Fatima. Or, il y a moins de difficulté, selon moi, à croire que le soleil ait dansé, qu'à admettre qu'une pareille multitude se soit convertie sans y avoir été poussée par une cause qui dépasse la nature ».

               Le Père Cruz revint de la Cova da Iria gagné intérieurement à la cause de Fatima. Mais il était trop prudent, trop respectueux de l'Autorité ecclésiastique pour ne pas garder une sage réserve. Les événements de Fatima ne devaient recevoir l'approbation officielle qu'en 1930 et 1931.
Néanmoins, au témoignage de Monseigneur Freitas Barros, dans le recueil de ses « Souvenirs » publié en 1954, cette visite du Père Cruz à Fatima eut un immense retentissement et donna un élan nouveau au mouvement favorable aux Apparitions. Qu'un prêtre aussi vertueux, aussi digne, aussi connu, ait manifesté ostensiblement sa conviction intime, fut en quelque sorte une « consécration officieuse » de ces manifestations. Le Père Cruz, en effet, s'était fait conduire à la Cova da Iria, et là, devant une assistance nombreuse, avait récité le chapelet à haute voix avec les trois Voyants ; il avait même rappelé à ceux qui l'entouraient comment Notre-Dame avait protégé leur patrie au cours des huit siècles de son existence. « Je me souviens, écrit encore Monseigneur Freitas, qu'en mai 1921, le Père Cruz prêcha à Fatima sur les recommandations faites par Notre-Dame à la Cova da Iria, mais sans faire la moindre allusion aux Apparitions ni aux Voyants.  

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                          « N'avez-vous jamais douté des Apparitions de Fatima ? » demandera-t-on au Père Cruz longtemps plus tard. « Dès que les autorités légitimes se furent prononcées, ma certitude fut complète et j'ai couru à la Cova comme pèlerin et comme pénitent. J'aime beaucoup y aller. On y prie si bien ! Et puis, il y a tant d'âmes, qui y vont chargées d'angoisse et de secrets. Leur prendre la main, les aider à se relever, les remplir de Dieu - je vous le demande - y a-t-il consolation plus douce pour un cœur de prêtre ? »

            Ayant entendu les doléances de pèlerins de Fatima, qui n'avaient pas pu y communier faute de confesseur, le Père Cruz invita, par la voix de la presse, dans un vibrant appel, tous les prêtres visitant Fatima, à ne jamais repartir sans y avoir exercé leur ministère, adjurant chacun d'eux d'entendre au moins quinze confessions en l'honneur des quinze mystères du Rosaire.

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       Un soir, à la fin d'une réunion des Enfants de Marie à Setubal, le père est abordé par un homme à la mine peu engageante qui lui demande de le suivre pour confesser un malade dans un faubourg éloigné. Les âmes avant tout : le père le suit. Ils arrivent au seuil d'une masure ; l'homme fait entrer le prêtre, restant lui-même à la porte. Le père Cruz aperçoit un lit, il s'approche et découvre un homme, au front glacé, qui ne respire plus. Il prie quelques instants à son chevet puis revient vers son compagnon : « je ne suis malheureusement pas arrivé à temps. Votre ami est mort. » Celui-ci pâlit, se met à trembler et tombe à genoux au pied du Père. « Pardon ! Mon camarade et moi nous avions décidé de vous tuer. Je suis allé vous chercher, et lui devait vous frapper avec le poignard qu'il avait caché dans son lit. » « C'est à Dieu qu'il faut demander pardon, par une bonne confession » dit simplement le père.

            Sa grande dévotion à Notre Dame mène régulièrement le serviteur de Dieu dans les divers sanctuaires mariaux du Portugal, mais il effectuera également plusieurs pèlerinages à Lourdes. Alors qu'il prêche devant la Vierge de Massabielle aux pèlerins portugais, un français reste à l'écouter et déclare ensuite : « ce prêtre me touche l'âme. » On lui rétorque : « Mais vous ne comprenez pas le portugais ! » « Non, pas un mot. Mais son attitude, son regard suffise à me faire du bien. »

         Le père Cruz a dû se réjouir de l'institution de la fête du Christ roi. Lui qui travaillait pour sauver le plus d'âmes possible, avait dû découvert avec beaucoup de joie le passage suivant de la préface de cette fête ou s'adressant à Dieu, parlant de Notre Seigneur il disait: ‘' ….après avoir soumis à son pouvoir toutes les créatures, remettre à votre majesté infinie, un royaume universel et éternel…..''  Lors de la postcommunion, il priait avec ce souhait : ‘' …..puissions-nous Seigneur, fiers d'avoir combattu sous l'étendard du Christ Roi, régner à jamais dans le ciel avec lui………'' 


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Prière au Cœur Immaculé de Marie composée par le Père Cruz


            « Doux Cœur de Marie, soyez mon salut. Obtenez-moi de la Très Sainte Trinité le pardon de tous mes péchés, la grâce d'avoir toute ma vie une foi vive, une espérance ferme et une charité ardente, et aussi le don de communiquer ces vertus à beaucoup d'âmes ; obtenez-moi les secours pour penser, dire, écrire, discerner et exécuter toujours et uniquement ce qui est conforme à la Très Sainte Volonté de Dieu ; la grâce d'éviter tout péché délibéré, même véniel, et de RESISTER  sur-le-champ à toutes les tentations ; la grâce de réaliser avec pureté d'intention tout le bien que je puis et dois réaliser, de supporter avec patience et même avec joie toutes les peines et souffrances, de m'efforcer d'avancer toujours dans le chemin de la perfection, de suivre les exemples des saints du ciel et des âmes particulièrement justes qui sont sur la terre ; enfin la santé de l'âme et du corps, les forces nécessaires pour travailler à glorifier Dieu et à sauver les âmes ; la grâce de n'avoir jamais besoin d'être opéré et celle de conserver jusqu'au bout un jugement sain, me permettant de vous aimer beaucoup jusqu'à mon dernier soupir et d'être l'instrument de la Bonté divine pour faire beaucoup de bien durant ma vie, à ma mort et après ma mort. Enfin daignez, du haut du ciel, bénir tous ceux que je bénis sur la terre. »

 

             « Travaillons, travaillons sans cesse, répétait-il aux prêtres. Satan ne se repose ni jour, ni nuit. Notre devoir est de confesser tant qu'il y a des pénitents ; de prêcher, dès qu'il y a des auditeurs ; de prier à n'en pouvoir plus. » 


          Pour nous, simple laïcs, souvenons nous de la dernière parole de l'ange à l'été 1916:  '' Surtout, acceptez et supportez avec soumission les souffrances que le Seigneur vous enverra."



Prière de la communauté

La dévotion au Cœur Immaculé de Marie

L'objectif final est de pratiquer la dévotion au Cœur Immaculé de Marie, telle que Notre Dame nous l'a annoncée à Fatima puis explicité quelques années plus tard à Pontevedra. Suivant notre progression dans cette dévotion, notre prière sera plus ou moins fervente, occupera notre esprit et notre cœur plus ou moins longtemps, pour arriver finalement à satisfaire totalement la demande centrale de cette dévotion : la communion réparatrice des 5 premiers samedis du mois. A notre réveil : Notre prière d'offrande de la journée Divin Cœur de Jésus, je vous offre, par le Cœur Immaculé de Marie, les prières les œuvres et les souffrances de cette journée, en réparation de nos offenses et à toutes les intentions pour lesquelles vous vous immolez continuellement sur l'autel. Je vous les offres en particulier, aux intentions du Souverain Pontife et pour les besoins de votre Sainte Eglise. . Puis tout au long de la journée, l'offrande de tous les sacrifices de la vie quotidienne en récitant si possible à chaque fois, la première prière qu'elle enseigna le 13 juillet 1917 : « Ô mon Jésus, c'est par amour pour vous, pour la conversion des pécheurs et en réparation des outrages commis envers le Cœur Immaculé de Marie » . Nous réciterons notre chapelet tous les jours, en ajoutant après chaque dizaine la deuxième prière enseignée le 13 juillet : « Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l'enfer. Conduisez au Ciel toutes les âmes, spécialement celles qui en ont le plus besoin. ») . Suivant les exigences de Notre Dame, la dévotion réparatrice des premiers samedis du mois consiste en la participation particulière à la prière par excellence de l'Eglise, le saint sacrifice de la Messe, le premier samedi de 5 mois consécutifs, en y ajoutant, avec une intention réparatrice : - La communion en état de grâce. - La récitation du chapelet. - La méditation pendant 15 minutes d'un mystère du rosaire. (Pour tenir compagnie à Notre Dame) - La confession, avec l'intention réparatrice dans les 8 jours qui précédent ou qui suivent cette communion. Il se peut que tenir compagnie à Notre Dame pendant 15 minutes soit difficile au début. Pour commencer, on peut fractionner ces 15 minutes en 5 fois 3 minutes au début de chaque dizaine. . Intention réparatrice : Nous personnaliserons notre réparation envers le Cœur Immaculé de Marie en attribuant à chaque premier samedi une intention particulière, comme Jésus l'a précisé à sœur Lucie. Ainsi nous aurons l'intention de réparer : Premier samedi : Les blasphèmes contre l'Immaculée Conception. Second samedi : Les blasphèmes contre la virginité de Marie Troisième samedi : Les blasphèmes contre sa Maternité divine Quatrième samedi : Les blasphèmes de ceux qui mettent dans le cœur des enfants la haine de cette Mère Immaculée Cinquième samedi : Les offenses contre les saintes images de Marie. . Remarques : Avant et après cette communion réparatrice, on peut dire la prière enseignée par l'ange au cours de sa dernière apparition : (Les prières suivantes n'ont rien d'obligatoire dans le cadre de cette communion) Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, je vous adore profondément et je Vous offre les très précieux Corps, Sang, Âme et Divinité de Jésus-Christ, présent dans tous les tabernacles du monde, en réparation des outrages, sacrilèges et indifférences par lesquels Il est Lui-même offensé. Par les mérites infinis de son Très Saint Cœur et du Cœur Immaculé de Marie, je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs. . Profitons de la présence de ‘'Jésus caché'' dans notre cœur pour lui dire aussi, en reprenant la première prière de l'ange : ‘'Mon Dieu, je crois, j'adore, j'espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n'adorent pas, qui n'espèrent pas, qui ne Vous aiment pas.'' . Nous pouvons aussi nous adresser à Notre Dame avec la prière de consécration que sœur Lucie avait composée le 29 octobre 1986 ‘'Ô Vierge, Mère de Dieu et notre Mère, je me consacre entièrement à votre Cœur Immaculé, avec tout ce que je suis et tout ce que je possède. Prenez-moi sous votre maternelle protection, défendez-moi des périls, aidez-moi à vaincre les tentations qui me sollicitent au mal, et à conserver la pureté de l'âme et du corps. Que votre Cœur Immaculé soit mon refuge et le chemin qui me conduise à Dieu. Accordez-moi la grâce de prier et de me sacrifier pour l'amour de Jésus, pour la conversion des pécheurs et en réparation des péchés commis contre votre Cœur Immaculé. Par votre médiation et en union avec le Cœur de votre divin Fils, je veux vivre pour la Très Sainte Trinité, en qui je crois et j'espère, que j'adore et que j'aime.'' ( Cette prière est une bonne façon de se remémorer la position de St Thomas d'Aquin vis à vis de la tentation )

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8 commentaires

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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Fatima 100 ans et + Mon Cœur Immaculé sera ton refuge...

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