LES PLUS PETITS
LES PLUS PETITS
Le Frère Charles a été hanté toute sa vie par la recherche de la dernière place, et aussi par la recherche des plus pauvres. « Où faut-il aller ? Là où irait Jésus, à la brebis égarée, aux plus délaissés. Il faut aller non là où la terre est la plus sainte, mais où les âmes sont dans le plus grand besoin.» « Mes retraites m’ont montré que cette vie de Nazareth, il fallait la mener non pas en terre sainte, mais parmi les brebis les plus délaissées. Ce divin banquet dont je devenais le ministre, il fallait le présenter, non aux parents, aux voisins riches, mais aux boiteux, aux aveugles, aux âmes manquant de prêtres » ...
Tout missionnaire qui quitte son pays, sa famille, est attiré pas ces populations innombrables qui vivent dans l’ignorance de la foi, loin de l’Église, mais aussi dans des conditions matérielles et humaines misérables. Et ce monde est bien plus près de chacun de vous... Il est immense ce monde des pauvres, ils sont partout dans le monde, méconnus, ignorés, méprisés, rejetés, au cœur même des civilisations modernes ; minorités dont la place n’est pas reconnue, difficilement assimilables dans les pays où ils se trouvent...
« Il faut vous tourner vers ces populations pour répondre à l’appel du Christ. Plus vous avancerez, et plus vous vous rendrez compte de l’importance de votre présence au milieu d’eux si difficiles à atteindre, mais qui ont droit autant que les autres à la sollicitude de l’Église ».
Se consacrer aux plus pauvres, à la suite du Frère Charles, entraine un certain nombre de tâches liées à l’Évangélisation, et aussi une certaine attitude d’âme qui doit marquer nos rapports avec les autres tout remplis d’Amour et d’Amitié...
PRIONS
Demandons-lui de nous donner la grâce d’aller vers les plus petits dans le besoin et de toujours rechercher la dernière place. Amen
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6