Salutation à Marie
Photo de soeur Josepha Menendez
Salutation à Marie
Jésus déclara à Soeur Josefa Menéndez le 26 août 1923 : "Est-ce vrai que tu désires quelques mots qui puissent plaire à ma Mère ? Ecris ce que je vais te dire." :
Ô Mère tendre et aimante, Vierge très prudente qui êtes la Mère de mon Rédempteur, je viens Vous saluer en ce jour avec l'amour le plus filial dont puisse Vous aimer le coeur d'un enfant. Oui, je suis votre enfant et, parce que mon impuissance est si grande, je prendrai les ardeurs du Coeur de votre divin Fils ; Avec lui, je Vous saluerai comme la plus pure des créatures, car Vous avez été formée selon les désirs et les attraits du Dieu trois fois Saint !
Conçue sans la tache du péché originel, exempte de toute corruption, Vous avez été toujours fidèle aux mouvements de la grâce et votre âme accumulait ainsi de tels mérites, qu'elle s'est élevée au-dessus de toutes les créatures.
Choisie pour être la Mère de Jésus-Christ, Vous l'avez gardé comme en un sanctuaire très pur et celui qui venait donner la vie aux âmes, a pris lui-même la vie en Vous et à reçu de Vous son aliment. Ô Vierge incomparable ! Vierge immaculée ! Délices de la Trinité bienheureuse ! Admirée des anges et des saints, Vous êtes la joie des cieux ! Etoile du matin, rosier fleuri du printemps, Lys très blanc, iris svelte et gracieux, Violette parfumée. Jardin cultivé et réservé por les délices du Roi des cieux !
Vous êtes ma Mère, Vierge très prudente, Arche précieuse où s'enferment toutes les vertus ! Vous êtes ma Mère, Vierge très puissante, Vierge clémente, Vierge fidèle ! Vous êtes ma Mère, Refuge des pécheurs ! Je Vous salue et je me réjoui des dons que Vous a faits le Tout-Puissant et de tant de prérogatives dont Il Vous a couronnée.
Soyez bénie et louée, Mère de mon Rédemteur, Mère des pauvres pécheurs ! Ayez pitié den ous et couvrez-nous de votre maternelle protection. Je Vous salue au nom de tous les hommes, de tous les saints et de tous les anges. Je voudrais Vous aimer avec l'amour et les ardeurs des séraphins les plus embrasés, et comme c'est encore trop peu pour rassasier mes désirs, je Vous aime avec votre divin Fils qui est mon Père, mon Rédempteur, mon Sauveur.
Ô Vierge incomparable ! Bénissez-moi, puisque je suis votre enfant. Bénissez tous les hommes ! Protégez-les, priez pour eux. Celui qui est Tout-Puissant et qui ne peut rien Vous refusez, Adieu, Mère tendre et chérie ! Je vous salue jour et nuit, dans le temps et dans l'éternité ! Amen.
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6