"Vois-tu, passant, couler cette onde ... " Agrippa d'Aubigné
Bonjour à tous,
Bienvenus à tous ceux qui nous ont rejoint cette semaine !
"Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt renfort,
Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port. » Pas tout à fait, mais presque !
Après le long poème de Racine de la semaine dernière, en voilà un plus court mais qui va directement à l’essentiel ;
Agrippa d’Aubigné l’a écrit pour être inscrit sur une fontaine.
Vois-tu, passant, couler cette onde
Et s’écouler incontinent ?
Ainsi fuit la gloire du monde,
Et rien que Dieu n’est permanent.
Agrippa d’Aubigné (1552 – 1630)
Proposition de prière :
Comme cette fontaine, laissons couler un peu ce qui doit l’être et remettons au centre de notre vie, la pierre qui doit être notre socle.
« Que rien ne te trouble, que rien ne t’effraie. Tout passe, Dieu ne change pas. La patience obtient tout. A qui possède Dieu, rien ne manque. Dieu seul suffit. » Sainte Thérèse d’Avila
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6