LE SACRIFICE DE LA CÉLÉBRATION EUCHARISTIQUE

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Aujourd’hui, plusieurs personnes remplacent la réalité du Sacrifice de la messe par la réalité d’un repas.  De quoi se faire revenir saint Padre Pio et plusieurs saints aujourd’hui !

Cette tendance rejoint immédiatement celle qui concerne la Présence réelle : s’il n’y a plus de sacrifice, il n’y a plus besoin de victime. La victime est présente en vue du sacrifice. Faire de la messe un repas mémorial, un repas fraternel est normalement l’erreur des protestants.

  

Pour nous catholique, la messe, ce n’est pas cela. Ce n’est pas la continuation d’un repas semblable à celui auquel Notre-Seigneur convia saint Pierre et quelques disciples un matin, sur le bord du lac, après Sa résurrection : « Quand ils furent descendus à terre, ils virent qu’il y avait là un feu de braise avec du poisson dessus, et du pain… Jésus leur dit : Venez déjeuner. Aucun des disciples, sachant que c’était le Seigneur, n’osait Lui demander : Qui êtes-Vous ? Jésus arrive, prend le pain, le leur donne, et pareillement du poisson » (Jean XXI, 9-13).

 

La communion du prêtre et des fidèles est une communion à la Victime qui s’est offerte sur l’autel du sacrifice. Celui-ci est la pierre de l’autel, qui est une pierre sacrificielle. On y a incrusté les reliques des martyrs, parce qu’ils ont offert leur sang pour leur Maître. Cette communion du Sang de Notre-Seigneur avec le sang des martyrs nous encourage à offrir nous aussi nos vies.

 

La messe n’est pas un repas partagé ensemble chez notre grand-mère qui nous accueille ! Comme j’ai déjà entendu dans une homélie pour la première communion… (Je me vois encore rougir de honte en entendant cela… de plus l’homélie était faite par une agente de pastorale en la présence d’un prêtre 😢) La messe est un sacrifice s’offre à Dieu.

 

Trois conditions indispensables existent pour qu’elle soit la continuation du Sacrifice de la Croix :

–  l’oblation de la victime,

la transsubstantiation qui rend celle-ci présente effectivement et non symboliquement,

la célébration par un prêtre tenant la place du Prêtre principal qu’est Notre-Seigneur, et qui doit être consacré par son sacerdoce.

 

Ainsi la messe peut pourvoir à la rémission des péchés. Un simple mémorial, un récit de l’institution accompagné d’un repas serait loin d’y suffire. Toute la vertu surnaturelle de la messe vient de sa relation au Sacrifice de la Croix. Si on ne croit plus à cela, on ne croit plus à rien de la sainte Église, Sinon, l’Église n’a plus de raison d’être, il ne faut plus prétendre être catholique. Luther avait très bien compris que la messe est le cœur, l’âme de l’Église. Il disait : « Détruisons la messe et nous détruirons l’Église ».

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Dans le Coeru de Jésus

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Prière de la communauté

Communautée fermée

Nous t'adorons et nous te bénissons, Ô très saint Seigneur Jésus Christ, ici et dans toutes les églises du monde entier. Nous te remercions d'avoir racheté le monde par ta sainte Croix.

Merci ! 72 personnes ont prié

8 commentaires

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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