Jour 2 - « Bakhita, religieuse des Filles de la Charité Canossienne »
Joséphine Bakhita a passé presque la totalité de sa vie religieuse Canossienne au Couvent de Schio, près de Vicence, où elle a été pendant 20 ans cuisinière, puis sacristine et portière.
On l'appelait « la Madre moretta » (ce qui d'une manière affectueuse signifie la Mère brunette). Au début, la population la découvrit avec curiosité, et pour les enfants même avec crainte, mais très vite sa gentillesse et son humour les séduisirent tous (des enfants lui ont même léchés les mains pour savoir si elles avaient un goût de chocolat).
De Joséphine Bakhita sont souvent soulignés son extrême humilité, sa désarmante simplicité, et sa grande bonté : c'est ce qui la caractérise le plus.
Elle suscita un nombre impressionnant de vocations religieuses et sacerdotales.
Voici quelques propos tenus par Joséphine à des consœurs :
N'est pas beau, ce qui parait beau, mais c'est ce qui plait au Seigneur.
Moi, je suis un pauvre gnocco, je suis une ignorante
Oh, je ne sais pas combien (de chapelets j'ai prié) , mais je suis certaine que la Madone les aura tous comptés, et s'il Elle n'a pu les compter tous, mon Patron l'aura sans aucun doute aidée (à une consœur qui lui demandait - elle était alors sur une chaise roulante -combien de Rosaires elle avait prié dans la journée)
Non, non. Je ne suis jamais seule, j'ai ici Jésus, la Madone, Saint Joseph, mon ange gardien, et je parle avec eux. Ne vous en faites pas pour moi (à des consœurs à qui ça déplaisait de devoir la laisser seule sur sa chaise roulante)
Méditons la vie et le message de Sainte Joséphine Bakhita, et concluons avec la prière de la Neuvaine en cliquant sur le bouton « je prie »
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6