"Si tu confesses le Seigneur Jésus, tu seras sauvé"

Image de la publication

Mercredi 22 avril, 2ème Semaine du Temps Pascal, Année A

de la férie


“En ces jours-là, intervint le grand prêtre, ainsi que tout son entourage, c'est-à-dire le groupe des sadducéens, qui étaient remplis d'une ardeur jalouse pour la Loi. Ils mirent la main sur les Apôtres et les placèrent publiquement sous bonne garde. Mais, pendant la nuit, l'ange du Seigneur ouvrit les portes de la prison et les fit sortir.”


Frères et soeurs bien aimés, nous sommes véritablement dans cette dynamique de la Résurrection, dans cette dynamique Pascale qui redonne vie, qui régénère, qui vient me chercher là où j'en suis de mon itinéraire, de ma désespérance, de ma quête de sens, de vie, de lumière.

Et dire cela, ce n'est pas un vain mot! Les lectures de ce jour en témoignent qui nous rapportent l'emprisonnement de ces disciples, enfermés puis délivrés miraculeusement par le Seigneur.
Comment ce récit du livre des Actes des Apôtres ne nous rappellerait il pas la propre Résurrection du Seigneur Jésus, cette Résurrection dont nous avons dit qu'elle nous entraînait dans cette dynamique de vie?

Oui chers amis, nous ne pouvons que regarder le tombeau vide du Seigneur, comme ce signe qui atteste la réalité du message du Christ, comme ce signe qui ravive en nous l'espérance, qui fait de nous ses disciples, des disciples ébahis devant cette réalité:

 

“Nous avons trouvé le cachot parfaitement verrouillé, et les gardes en faction devant les portes ; mais, quand nous avons ouvert, nous n'avons trouvé personne à l'intérieur.” 


Les disciples absents de leur cachot, c'est aussi la Miséricorde du Seigneur pour nous dans nos vies qui éclate au grand jour, Miséricorde qui est puissance de Vie!


“Dieu a tellement aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé.”


Demeurons donc ancrés dans cet Amour du Seigneur pour nous, cette réalité du Christ Vivant à jamais dans le sein du Père, mais aussi du Christ qui se manifeste à moi dans ma vie, qui est présent dans mon âme.

A moi de venir à l'heure de midi, puiser à la source de vie, de venir le rencontrer au puit de toute Grâce. Le Seigneur est Celui qui n'a d'autre désir que de me rencontrer, de venir dans cet instant qui nous appartient alors, me rencontrer, ouvrir, le temps d'un instant, la porte de mon cœur, afin que nous puissions alors nous entretenir seul à seul.


“Tiens-toi à la porte de la maison du Seigneur, et là, tu proclameras cette parole, tu diras : Écoutez la parole du Seigneur, vous tous de Juda, vous qui entrez par ces portes pour vous prosterner devant le Seigneur.” Jr 7,2


Amen!



“ Derrière ce comportement se cachent le refus de l'éthique et le refus de Dieu. Habituellement, on regarde l'éthique avec un certain mépris narquois. On la considère contreproductive, trop humaine, parce qu'elle relativise l'argent et le pouvoir. On la perçoit comme une menace, puisqu'elle condamne la manipulation et la dégradation de la personne. En définitive, l'éthique renvoie à un Dieu qui attend une réponse exigeante, qui se situe hors des catégories du marché. Pour celles-ci, si elles sont absolutisées, Dieu est incontrôlable, non-manipulable, voire dangereux, parce qu'il appelle l'être humain à sa pleine réalisation et à l'indépendance de toute sorte d'esclavage. L'éthique – une éthique non idéologisée – permet de créer un équilibre et un ordre social plus humain. En ce sens, j'exhorte les experts financiers et les gouvernants des différents pays à considérer les paroles d'un sage de l'antiquité : « Ne pas faire participer les pauvres à ses propres biens, c'est les voler et leur enlever la vie. Ce ne sont pas nos biens que nous détenons, mais les leurs »(1)


(1)Jean-Paul II, Exhort. Apost. Postsynodale Ecclesia in Africa (14 septembre 1995), n. 52 : AAS 88 (1996), 32-33 ; Id., Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), n. 22 : AAS 80 (1988), 539. 


“La joie de l'Evangile”, Saint Père François, n° 57. Source Vaticane. 

Prière de la communauté

Acte d'amour du Curé d'Ars

Je vous aime, ô mon Dieu, Et mon seul désir est de vous aimer Jusqu’au dernier soupir de ma vie. Je vous aime, ô Dieu infiniment aimable, et j’aime mieux mourir en vous aimant que de vivre un seul instant sans vous aimer. Je vous aime, ô mon Dieu, et je ne désire le ciel que pour avoir le bonheur de vous aimer parfaitement. Je vous aime, ô mon dieu, Et je n’appréhende l’enfer que parce qu’on y aura jamais La douce consolation de vous aimer. Ô mon Dieu, Si ma langue ne peut dire à tout moment que je vous aime, Du moins, je veux que mon cœur Vous le répète autant de fois que je respire. Ah ! Faîtes-moi la grâce de souffrir en vous aimant, De vous aimer en souffrant, Et d’expirer un jour en vous aimant en sentant que je vous aime. Et plus j’approche de ma fin, Plus je vous conjure d’accroître mon amour et de le perfectionner. Ainsi soit-il.

Merci ! 21 personnes ont prié

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

loader

Soli Deo

Je m'inscris