Jeanne d'Arc 6e jours

Prières quotidiennes

Sixième jour de la neuvaine : Jeanne, chef de guerre

1 Jean 5,4 : « Parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde ; et la victoire qui triomphe du monde, c'est notre foi. »

Celle que l'on surnomma la Pucelle partit pour Orléans vêtue d'une armure et d'une épée. Elle envoya une missive aux Anglais pour les prévenir de sa venue et leur demander de quitter Orléans. Les Anglais refusèrent. Ils voyaient en cette femme une sorcière, une personne maléfique. De son côté, Jeanne, poussée par sa foi, redonnait confiance aux troupes de soldats désespérés. Dans la nuit du 7 au 8 mai 1429, Jeanne remporte la victoire contre les Anglais et la nouvelle se répand dans toute la France. Elle poursuit son chemin en remontant vers Reims, soumettant de gré ou de force chacune des villes sur son passage. 

Le 17 juillet 1429, Charles est couronné roi de France, selon un rituel traditionnel vieux de quatre siècles, dans la cathédrale de Reims en présence de Jeanne et prend le nom de Charles VII.

Jeanne se tient à côté du roi avec son étendard sur lequel figurent le Christ en majesté et les mots Jhesus Maria. « Il avait été à la peine, c'était bien raison qu'il fût à l'honneur », déclarera-t-elle plus tard. Derrière elle, son écuyer le fidèle Jean d'Aulon, son aumonier frère Pasquerel et sa famille, invitée pour l'occasion. 

Après le sacre, fondant en larmes, elle tombe aux pieds du souverain : « O gentil roi, maintenant est fait le plaisir de Dieu, qui voulait que je fisse lever le siège d'Orléans et que je vous amenasse en votre cité de Reims recevoir votre saint sacre, montrant que vous êtes vrai roi, et qu'à vous doit appartenir le royaume de France »

Jeanne d'Arc a rempli la moitié de sa mission. Il lui restait à marcher sur Paris.

Prions le Seigneur de nous aider dans les batailles d'aujourd'hui.

Prière de la communauté

Prière à l'esprit après première prière

Au nom du père et du fils et du saint esprit amen Qui es tu douce lumière qui me remplis et illumines la tenebre de mon cœur ? Comme la main d'une mère tu me conduis et si tu me lachais je ne saurais faire un pas de plus. Tu es l'espace enveloppant mon être et labritant en toi. Le rejetterais tu, il coulerait à pic dans l'abîme du néant d'où tu le tiras pour l'élever vers la lumière. Toi qui m'est plus proche que je ne le suis moi même, qui m'es plus intérieur que mon propre cœur, et pourtant insaisissable, inconcevable, au delà de tout nom, saint esprit éternel amour !.

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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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