Ce Dieu de la rencontre
Cette venue de Dieu à la rencontre de l'être humain est toujours aussi belle, plus grandiose ! Plus mystérieuse ! Plus scandeule aussi. « L'amour descend », disait Bossuet. Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus disait que « le propre de l'Amour est de s'abaisser ». Il descend toujours plus bas. Le Bien-Aimé et la Bien-Aimée du cantique disent tous deux: « le suis malade d'amour » (Ct 2,5). Pour Dieu, cette « maladie » c'est de languir de ne pas pouvoir se donner entièrement à cause du refus de l'être humain. Pour l'humanité, c'est la misère de vivre dans l'amour de Dieu, car « hors de Lui nous ne pouvons rien faire » (Jn 15,5). Le Bien-Aimé vient donc, « sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines» (Ct 2,8). Il vient épouser l'humanité.
L'Eucharistie est le Sacrement des noces de l'Agneau. «Notre bien-Aimé nous pose, comme un sceau sur son coeur »(Ct 8,6). L'Eucharistie, c'est le Sacrement d'une présence, de la présence de l'être aimé.
Ô Jésus mon Amour,
tu veux épouser mon âme
et à chaque jour tu m'invites
dans ton Sacrement d'amour Eucharistique.
Je t'épouse mon Jésus parce que je t'aime
et que mon besoin de t'aimer est plus fort que mon humanité !
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6