Je t'aime, Seigneur, ma force

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Je t'aime, Seigneur, ma force : Seigneur, mon roc, ma forteresse, Dieu mon libérateur, le rocher qui m'abrite, mon bouclier, mon fort, mon arme de victoire ! Louange à Dieu ! + Quand je fais appel au Seigneur, je suis sauvé de tous mes ennemis.Les liens de la mort m'entouraient, le torrent fatal m'épouvantait ; des liens infernaux m'étreignaient : j'étais pris aux pièges de la mort.Dans mon angoisse, j'appelai le Seigneur ; vers mon Dieu, je lançai un cri ; de son temple il entend ma voix : mon cri parvient à ses oreilles / il me délivre d'un puissant ennemi, d'adversaires plus forts que moi. Au jour de ma défaite ils m'attendaient, mais j'avais le Seigneur pour appui. Et lui m'a dégagé, mis au large, il m'a libéré, car il m'aime. Le Seigneur me traite selon ma justice, il me donne le salaire des mains pures, car j'ai gardé les chemins du Seigneur, jamais je n'ai trahi mon Dieu. Ses ordres sont tous devant moi, jamais je ne m'écarte de ses lois. Je suis sans reproche envers lui, je me garde loin du péché. Le Seigneur me donne selon ma justice, selon la pureté des mains que je lui tends. Tu es fidèle envers l'homme fidèle, sans reproche avec l'homme sans reproche ; envers qui est loyal, tu es loyal, tu ruses avec le pervers. Tu sauves le peuple des humbles ; les regards hautains, tu les rabaisses. Tu es la lumière de ma lampe, Seigneur mon Dieu, tu éclaires ma nuit. Grâce à toi, je saute le fossé, grâce à mon Dieu, je franchis la muraille. Ce Dieu a des chemins sans reproche, + la parole du Seigneur est sans alliage, il est un bouclier pour qui s'abrite en lui. Qui est Dieu, hormis le Seigneur ? le Rocher, sinon notre Dieu ? C'est le Dieu qui m'emplit de vaillance et m'indique un chemin sans reproche. Il me donne l'agilité du chamois, il me tient debout sur les hauteurs, il exerce mes mains à combattre et mon bras, à tendre l'arc. Par ton bouclier tu m'assures la victoire, ta droite me soutient, ta patience m'élève. C'est toi qui allonges ma foulée sans que faiblissent mes chevilles. Je poursuis mes ennemis, je les rejoins, je ne reviens qu'après leur défaite ;  je les abats : ils ne pourront se relever ; ils tombent : les voilà sous mes pieds. Pour le combat tu m'emplis de vaillance ; devant moi tu fais plier mes agresseurs. Tu me livres des ennemis en déroute ; j'anéantis mes adversaires. Ils appellent ? pas de sauveur ! le Seigneur ? pas de réponse ! J'en fais de la poussière pour le vent, de la boue qu'on enlève des rues. Tu me libères des querelles du peuple, tu me places à la tête des nations. Un peuple d'inconnus m'est asservi : au premier mot, ils m'obéissent. Ces fils d'étrangers se soumettent ; +ces fils d'étrangers capitulent : en tremblant ils quittent leurs bastions. Vive le Seigneur ! Béni soit mon Rocher ! Qu'il triomphe, le Dieu de ma victoire, ce Dieu qui m'accorde la revanche, qui soumet à mon pouvoir les nations ! Tu me délivres de tous mes ennemis, + tu me fais triompher de l'agresseur, tu m'arraches à la violence de l'homme. Aussi, je te rendrai grâce parmi les peuples, Seigneur, je fêterai ton nom. Il donne à son roi de grandes victoires, * il se montre fidèle à son messie, à David et sa descendance, pour toujours. Ps 18 1-7, 18-51

Prions pour que l'Esprit Saint nous apprenne à aimer le Seigneur plus que tout, et à le lui exprimer tous les jours. En cette période de Noël, exprimons notre amour à la sainte trinité.


Méditation :


Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. mat 22,37


Pour aller plus loin :

Cher Yeshoua,

[...]

Je t'aime d'un amour d'Agapè, de l'amour pour l'amour, de l'amour de Dieu pour Dieu, de Toi pour Toi, de l'amour par gratitude, pour m'avoir donné la vie, et non pour hériter de la vie éternelle. Dussé-je ne rien hériter du tout, me fondre dans le néant, ou aller en enfer, je continuerai à t'aimer. Je t'aime pour le don de la vie, pour le don de Ta Vie, et ces quelques dons dont tu m'as gratifié, et aussi le don de te rendre grâce.


Je t'aime aussi parce que rien ne t'obligeait, toi Dieu le Fils, à te faire chair, encore moins à souffrir dans ta chair pour mon Salut et celui de mon genre. Tu n'étais pas obligé de descendre du haut de ton Ciel pour te faire supplicier et me sauver si je me suis perdu par ma propre faute. Je n'avais qu'à user de la faculté de discernement, de la raison et de la volonté que tu m'as gracieusement données. Tu n'avais pas à venir réparer mes erreurs, et pourtant tu l'as fait, et de quelle façon !

Je t'aime aussi parce que toi, le Seigneur, tu n'as même pas demandé d'être adoré, mais aimé, « de tout mon cœur, de toute mon âme et de toute ma pensée », et d'aimer mon prochain (ce qui est moins facile, j'en conviens).

Je t'aime aussi parce que, contrairement à mes employeurs, tu ne réclames pas mon temps, mon énergie, mon labeur, ma douleur, ma peine, mon intelligence, mes connaissances, mes compétences, ma servitude en contrepartie d'un salaire périssable, à renouveler par la même corvée,   et ceci pour pouvoir vivre ou survivre, mais juste ma reconnaissance et mon amour en contrepartie d'un Trésor éternel, impérissable. Tandis que le monde m'oblige à gagner mon pain, au prix fort, toi tu m'offres ton Pain, Vivant, gratuitement, à chaque Eucharistie. Je ne peux dénombrer les raisons qui me poussent à t'aimer…

Je t'aime aussi pour ta discrétion, ton humilité, ta présence non envahissante, qui me permettent de jouir de la vie, de vaquer aux petits plaisirs du quotidien sans me sentir oppressé par ton Regard, par ta Pureté.

Je t'aime parce que tu ne m'imposes pas cette « redevabilité », cette « dette » à ton égard. Tu me donnes la possibilité de l'éprouver, à mon rythme, à ma convenance, ou ne pas l'éprouver, avec le moins de risques et de périls, compte tenu de ton infinie Miséricorde.

Je t'aime pour ta conception du Rachat, qui me donne la possibilité de me racheter en « achetant » pour le Ciel des âmes vendues, perdues, ici-bas, par mes prières et mes bonnes œuvres, et même des âmes de l'autre côté de l'au-delà.

Je t'aime parce que tu m'as donné le pouvoir de faire des miracles, par la magie de l'amour et les vertus de la foi : de pardonner, même l'impardonnable, d'aimer le moins aimable, et même mon ennemi, de secourir, de réconforter, de soulager, de soigner, de guérir…

Je t'aime de m'avoir fourni, par la potion magique de ta Parole, l'antidote contre le regret, la nostalgie, le remords, le péché, le désespoir… De m'avoir permis de ressusciter de mille maux, de mille morts, en cette vie, avant de ressusciter d'entre les morts, le moment venu.

Je t'aime de m'insuffler ton Esprit saint lorsque ma foi, ma force, mon intelligence et ma raison sont à bout de souffle, même lorsque je suis trop faible ou trop égaré pour t'en faire la demande.

Je t'aime de me rappeler, à chaque mauvaise nouvelle, ta Bonne Nouvelle, à chaque injustice, ta Justice, à chaque trahison, ta Fidélité, à chaque déception, ta Promesse.

Je t'aime d'avoir dissipé, dès notre première rencontre, mes ténèbres par ta Lumière, d'avoir remplacé la fausseté par ta Vérité, d'avoir tracé dans nos déserts ton Chemin verdoyant, menant vers ton Océan d'Amour.

Je t'aime pour ta générosité, ton abnégation, pour n'avoir pas voulu tout prendre pour toi, pour avoir laissé de la place aux autres : à ces saints qui ont mérité une vénération et un rôle d'intercession, une place de choix dans ton Sacré-Cœur, pour t'avoir tant aimé et glorifié. Voici que tu les glorifies en retour.

Je t'aime pour ces anges que tu nous as envoyés, pour cet ange gardien, invisible, qui accompagne chacun de nous, qui peut-être me lit au moment où je t'écris, mais aussi pour ces anges visibles, humains, que tu places sur notre chemin, et surtout lors des difficultés, qui viennent nous soutenir, au moment propice, et nous faire parler de Providence, quand d'autres parlent, à tort, de coïncidence.

Je t'aime pour cette Mère que tu nous as donnée, ta Mère, alors que chacun de nous prend sa mère pour soi. Toi, tu as bien voulu partager sa Maternité avec nous, nous recouvrir de son voile protecteur, enchanteur, nous offrir son Cœur Immaculé avec la possibilité de s'y blottir, s'y consacrer et d'accumuler les Grâces.

Je t'aime pour ce Père que tu nous as révélé, pour en avoir fait « Notre Père » à tous, et pas seulement à toi, pour nous avoir invités à nous adresser à Lui, directement, comme des fils, faisant de nous des frères à toi ; pour nous avoir montré un Père Miséricordieux, et nous avoir demandé d'être à Son image : miséricordieux comme Lui.

Je t'aime pour tout ce Merveilleux, ce conte de fée réel que tu nous as offert : cette Incarnation, cette Rédemption, cette incroyable Résurrection, cette Espérance sans laquelle cette vie serait si désespérante, si vaine, si triste, si absurde.

Comme tu vois, les raisons de t'aimer sont innombrables. Et pour toutes ces raisons, non seulement je t'aime, mais je t'adore, même si tu ne l'as pas demandé, et même si je n'y trouve pas mon compte.

C'est de moi à Toi, pour Toi, et non pour moi.

https://fr.aleteia.org/2017/07/12/voila-pourquoi-je-taime-jesus/

N'hésitons pas à partager dans cette communauté ce que nous mettons en place au quotidien pour (re)donner à Dieu la première place.

Soyons sources d'encouragement les uns pour les autres

Prière de la communauté

Lettre aux Ephésiens 5, 8-11

Autrefois, vous étiez ténèbres ; maintenant, dans le Seigneur, vous êtes lumière ; conduisez-vous comme des enfants de lumière – or la lumière a pour fruit tout ce qui est bonté, justice et vérité – et sachez reconnaître ce qui est capable de plaire au Seigneur. Ne prenez aucune part aux activités des ténèbres, elles ne produisent rien de bon ;

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7 commentaires

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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