Comment l'Église peut reconnaître la souffrance des victimes ?
C'est d'abord à l'Église de France de reconnaître sa responsabilité. « Nous attendons de sa part un geste d'humilité, une parole par laquelle elle dirait : nous avons failli et nous demandons pardon mais cela ne vient toujours pas », soupire Véronique Garnier, qui rêve aussi à la construction d'un monument du souvenir, quelque part en France.
« Ce qui nous a plombés, c'est le silence ; ce qui nous sauvera, c'est la parole. Il y a tant de combats encore à mener : comment rendre l'Église sûre ? Comment éduquer à la juste distance entre adultes et jeunes ? L'argent ne fait pas tout. » [Véronique Garnier]
Merci ! 8 personnes ont prié
1 commentaire
Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6