Celui qui aime son frère, demeure dans la lumière.

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"Mais pourquoi ne jugez-vous pas par vous-mêmes de ce qui est juste?"


Frères bien aimés, le Seigneur nous invite aujourd'hui à discerner. 

Le Seigneur nous appelle à faire preuve de discernement non seulement s'agissant des éléments extérieurs à nos vies, mais avant tout dans nos vies !


Oui, le Seigneur nous invite à regarder nos vies, il nous invite à nouveau à les évaluer au regard de l'Évangile. 

Et le Seigneur nous propose notamment de nous "évaluer" sur le pardon que nous avons su donner, ou au contraire, que nous avons refusé. 


"Ainsi , quand tu vas avec ton adversaire devant le magistrat, tâche, en chemin, d'en finir avec lui, de peur qu`il ne te traîne devant le juge, que le juge ne te livre à l`exécuteur, et que l'exécuteur ne te jette en prison."


Je me souviens cette personne essuyant une larme, lorsque je lui designais l'adversaire à qui elle devait accorder son pardon.


Oui, nous avons peut-être des larmes à verser, car le pardon n'est pas toujours facile !

Mais comme il est libérateur !

Le chemin du pardon, c'est ce chemin escarpé dans lequel nous hésitons à nous engager.

Le chemin du pardon, c'est notre calvaire pour rompre avec le péché, cet adversaire qui rôde à la recherche de sa proie !


Frères bien aimés résistons au péché avec la force de la foi, et avec la force de cette même foi, et avec la force de l'Esprit Saint, discernons les autres terrains sur lesquels nous pourrons progresser. 


Le changement, c'est maintenant !


Amen. 


https://youtu.be/UmGZSzc27Pk

Prière de la communauté

Acte d'amour du Curé d'Ars

Je vous aime, ô mon Dieu, Et mon seul désir est de vous aimer Jusqu’au dernier soupir de ma vie. Je vous aime, ô Dieu infiniment aimable, et j’aime mieux mourir en vous aimant que de vivre un seul instant sans vous aimer. Je vous aime, ô mon Dieu, et je ne désire le ciel que pour avoir le bonheur de vous aimer parfaitement. Je vous aime, ô mon dieu, Et je n’appréhende l’enfer que parce qu’on y aura jamais La douce consolation de vous aimer. Ô mon Dieu, Si ma langue ne peut dire à tout moment que je vous aime, Du moins, je veux que mon cœur Vous le répète autant de fois que je respire. Ah ! Faîtes-moi la grâce de souffrir en vous aimant, De vous aimer en souffrant, Et d’expirer un jour en vous aimant en sentant que je vous aime. Et plus j’approche de ma fin, Plus je vous conjure d’accroître mon amour et de le perfectionner. Ainsi soit-il.

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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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