"Je me blottis contre le Coeur de Dieu comme un nourrisson contre le sein de sa mère. Je vois tout avec un autre regard."
"Je suis consciente de ce que le Seigneur a achevé d'un mot en mon âme, je vis de cela. Au souvenir du supplice passé, un frisson me saisit. Je n'aurais pas cru qu'on pût tant souffrir si je n'étais pas moi-même passée par là. C'est une souffrance purement spirituelle."
Merci ! 63 personnes ont prié
16 commentaires
Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6