Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l'argent.

Image de la publication

"Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent."


Frères bien aimés, Jésus vient aujourd'hui nous donner un cours d'économie révolutionnaire !


Jésus vient en effet bousculer nos idées reçues d'une économie toute entière vouée au seul profit économique, sans considération première de la personne et surtout, de Dieu, créateur et source de tous biens.


Oui, Jésus vient remettre les pendules à l'heure, en nous rappelant que nous ne pouvons servir Dieu et l'argent. 


Une fois cette Parole proclamée , comment la concrétisons nous dans nos vies, comment faisons de Jésus notre objectif de vie, et de l'argent, un moyen de le servir, dans l'Église, dans nos frères, dans mille manières de concrétiser activement l'Évangile ?


Et si, au-delà de l'argent, Jésus nous invitait à identifier également, tous ces petits attachements, qui nous handicapent dans notre liberté d'enfants de Dieu, liberté à être totalement disponibles pour Dieu et pour nos frères ?


Prions les uns pour les autres, afin que nous grandissions dans cette petite voie de la sainteté, à l'école de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, qui aimait à dire que, "aimer cest tout donner, et se donner soi-même. "


Prions aussi pour nos dirigeants, comme nous y invite Saint Paul, afin qu'ils tracent, pour nos sociétés, de nouvelles voies, sources de réel épanouissement pour l'homme, dans le respect de la vie, des plus pauvres, et de la liberté religieuse. 


Bon dimanche. 


https://youtu.be/j_3-9OHoOh0


Je partage ci-après, la méditation du Père Yanick Soufflé, prêtre à Notre-dame des Champs. 


Amos 8, 4-7 ; Psaume 112 ; Saint Paul apôtre à Timothée 2, 1-8 ; Luc 16, 1-13


Les chefs d’État et ceux qui exercent l’autorité


J‘encourage, avant tout, à faire des demandes, des prières, des intercessions et des actions de grâce pour tous les hommes, pour les chefs d’État et tous ceux qui exercent l’autorité […] Cette prière est bonne et agréable à Dieu notre Sauveur ». Voilà ce qu’écrit saint Paul à Timothée dans la 2e lecture d’aujourd’hui.


Il semble que dans bien des domaines notre caractère français nous porte facilement à la critique, particulièrement lorsqu’il s’agit des responsables publics. Lundi dernier, en commentant ce passage avec son franc-parler, le pape François a interpelé ceux qui l’écoutaient à la Maison Sainte-Marthe : « Les gouvernants reçoivent soit de l’adulation de la part de leurs favoris, soit des insultes ». Et il remarquait que, même si « certains [...] méritent » les critiques, c’est désormais comme « une habitude ». Alors nous pouvons nous interroger : quelle est notre responsabilité d’enfants de Dieu, de chrétiens, vis-à-vis de ceux qui ont reçu la charge de gouverner ?


Paul VI affirmait que la politique est une des formes les plus élevées de la Charité. Elle est au service du bien commun, mais très exigeante et ardue, exposée à bien des embûches. Le pape François rappelle que celui qui est au gouvernement « a la responsabilité de conduire le pays ». Et nous, « nous le laissons seul, sans demander que Dieu le bénisse ? […] Qui d’entre nous a prié pour les gouvernants ? Qui d’entre nous a prié pour les parlementaires, pour qu’ils puissent se mettre d’accord et faire avancer la patrie ? »


Notre pays traverse une période houleuse qui le fragilise. Qu’allons-nous faire ? Une chose est sûre et toujours bonne : « qu’en tout lieu les hommes prient en élevant les mains, saintement, sans colère ni dispute » conseille saint Paul.


P. Yannick Soufflet +

Prière de la communauté

Acte d'amour du Curé d'Ars

Je vous aime, ô mon Dieu, Et mon seul désir est de vous aimer Jusqu’au dernier soupir de ma vie. Je vous aime, ô Dieu infiniment aimable, et j’aime mieux mourir en vous aimant que de vivre un seul instant sans vous aimer. Je vous aime, ô mon Dieu, et je ne désire le ciel que pour avoir le bonheur de vous aimer parfaitement. Je vous aime, ô mon dieu, Et je n’appréhende l’enfer que parce qu’on y aura jamais La douce consolation de vous aimer. Ô mon Dieu, Si ma langue ne peut dire à tout moment que je vous aime, Du moins, je veux que mon cœur Vous le répète autant de fois que je respire. Ah ! Faîtes-moi la grâce de souffrir en vous aimant, De vous aimer en souffrant, Et d’expirer un jour en vous aimant en sentant que je vous aime. Et plus j’approche de ma fin, Plus je vous conjure d’accroître mon amour et de le perfectionner. Ainsi soit-il.

Merci ! 9 personnes ont prié

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

loader

Soli Deo

Je m'inscris