Je suis le bon Pasteur

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"Jacob resta seul.Or, quelqu’un lutta avec lui jusqu’au lever de l’aurore."


Nous continuons d'avancer dans notre stage d'été en vie spirituelle. 

Le Seigneur nous donne ici de précieux conseils pour avancer sur notre chemin. 

Nous saisissons d'une part, qu'il y a une lutte avec notre adversaire le démon qui va et vient à la recherche de sa proie. 

Et nous saisissons aussi que nous devons lui résister avec la force de la foi car, si nous sommes physiquement seul, le Seigneur combat avec nous. Et il luttera jusqu'à la victoire. 


"Lorsque le démon eut été expulsé, le sourd-muet se mit à parler."


Nous voyons ici, comment concrètement dans nos vie, une fois obtenue la guérison, nous pouvons être physiquement libéré. 

La libération spirituelle entraîne une conséquence pratique dans ma vie de tous les jours, une conséquence dans mon comportement physiologique.

C'est une Bonne Nouvelle.

Jésus apporte la libération de nos corps et de nos âmes. 

Et cette Bonne Nouvelle, il nous faut l'annoncer :


"La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson."


Nous devons prendre conscience de l'urgence de la mission, de la nécessité de l'annonce de l'Évangile dans un monde replié sur lui-même, royaume de l'individualisme.

Nous devons annoncer ce message de Jésus qui nous envoie rencontrer nos frères, et non seulement les rencontrer, mais les aimer, partager leurs joies, leurs peines, être à leurs côtés source de réconfort. 


Prions donc chers amis, le Maître de la moisson, le Seigneur, de susciter de nombreuses vocations de missionnaires. 


Prions le Seigneur pour nos jeunes en discernement et leurs parents, afin que l'Esprit Saint leur inspire les orientations qui soient source d'épanouissement dans leur vie, à la lumière de l'Évangile. 


https://youtu.be/9PBqIYjOnco

Prière de la communauté

Acte d'amour du Curé d'Ars

Je vous aime, ô mon Dieu, Et mon seul désir est de vous aimer Jusqu’au dernier soupir de ma vie. Je vous aime, ô Dieu infiniment aimable, et j’aime mieux mourir en vous aimant que de vivre un seul instant sans vous aimer. Je vous aime, ô mon Dieu, et je ne désire le ciel que pour avoir le bonheur de vous aimer parfaitement. Je vous aime, ô mon dieu, Et je n’appréhende l’enfer que parce qu’on y aura jamais La douce consolation de vous aimer. Ô mon Dieu, Si ma langue ne peut dire à tout moment que je vous aime, Du moins, je veux que mon cœur Vous le répète autant de fois que je respire. Ah ! Faîtes-moi la grâce de souffrir en vous aimant, De vous aimer en souffrant, Et d’expirer un jour en vous aimant en sentant que je vous aime. Et plus j’approche de ma fin, Plus je vous conjure d’accroître mon amour et de le perfectionner. Ainsi soit-il.

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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Soli Deo

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