"J'ai commencé à souffrir la faim et la nostalgie de Dieu, mais je voyais toute mon impuissance."
J'essayais de lire lentement, phrase par phrase, et de méditer de cette façon, mais cela aussi était vain. Je ne comprenais rien de ce que j'avais lu. L'abîme de ma misère était sans cesse présent dans mon âme."
9 commentaires
Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6