"A un certain moment du noviciat, lorsque la mère maîtresse me destina à la cuisine des enfants, je m'en affligeai grandement, car j'étais incapable de maîtriser les marmites parce qu'elles étaient énormes."
""Mes forces diminuaient de jour en jour, et à cause de ce manque de force, je m'écartais lorsque venait le moment de vider l'eau des pommes de terre. Mais les soeurs s'aperçurent que j'évitais ce travail et s'en étonnèrent beaucoup; elles ignoraient que malgré tous mes efforts et sans me ménager, je ne pouvais arriver à les aider.
A midi, pendant l'examen de conscience, je me plaignis à Dieu de mon manque de force. Alors j'entendis ces paroles dans mon âme: "A partir d'aujourd'hui, cela te viendra avec une grande facilité. Je vais accroître tes forces."
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6