« Quand l'âme est obéissante, nous sommes tous les deux plus sécurisés et … » T1

  • Prions

« Abba, par le Pouvoir de l’Esprit-Saint, que ta Volonté révélée par Jésus, règne en moi par Marie. Amen. Fiat. »

« Très Sainte-Trinité, avec Marie, je renonce à ma volonté et je Vous la donne, veuillez en échange me donner la Vôtre qui est Divine, que son Soleil se lève sur moi et anime mon agir. Amen. Fiat. »

« Ô mon Jésus, fais-Toi honneur, et en tout ce que je ferai aujourd’hui, mets-y l’empreinte de ton Pouvoir, de ton Amour et de ta Gloire. Amen. Fiat. »

« Dans votre Divin Vouloir, je T’aime Abba avec tout l’Amour de ton Fils et de l’Esprit-Saint ; je T’aime Jésus avec l’Amour Infini de Abba et de l’Esprit-Saint ; je T’aime Esprit-Saint avec l’Amour Parfait d’Abba et du Fils. Amen. Fiat. »

« Viens, ô Divine Volonté avec tous les Saints Anges et tous les Saints du Ciel, spécialement ma très chère Maman, la Très Sainte Vierge Marie et son époux Saint Joseph, mettre le Sceau de ton Esprit-Saint et infuser en moi ta Divine Lumière pour que je puisse comprendre ces vérités, le bien que contiennent ces écrits et ces prières. Amen. Fiat ! »

  • Consécration à la Divine Volonté

Ô Divine Volonté, je demande que vous renouveliez la Consécration avec laquelle vous m’avez consacrée à Vous dans le Baptême en répétant avec Marie notre Sainte Mère : « Qu’il me soit fait selon votre Parole. »

Et avec Jésus au moment de l’Incarnation : « Me voici Père, je viens faire Ta Volonté. » Et dans le jardin des Oliviers : « Non pas ma Volonté, mais la Tienne. »

Je place ma faiblesse dans votre force, mon néant en Vous et mon ignorance en votre Sagesse. Venez régner en moi et faites de moi un instrument de votre Gloire.

Ô Divine Volonté soyez ma Vie, ma Nourriture et mon Tout. Amen. FIAT.

  • « Quand l’âme est obéissante, nous sommes tous les deux plus sécurisés et tranquilles… »

Alors que mon cœur avait toujours été fermé à mon autre confesseur, je l’ai ouvert à ce ministre de Dieu proposé par Jésus et accepté par moi. Malgré ses pressions et son insistance, mon cœur restait fermé à l’autre confesseur et, par conséquent, je ne pouvais pas me libérer intérieurement. Il essayait de toutes les manières de me faire parler, mais la simple pensée d’avoir à dire à un autre ce qui se passait entre Jésus et moi produisait en moi tant d’embarras et d’aversion que c’était comme si j’avais eu à confesser le plus affreux péché, lequel, merci à Dieu, je ne suis pas consciente d’avoir commis et pour lequel je n’ai ailleurs pas de penchant. À ce confesseur, cependant, et en de multiples occasions, j’ai fait connaître mon âme dans les menus détails, même si je le faisais sans aucun ordre.

Si on me demandait pourquoi je ne voulais pas de l’autre confesseur pour me réanimer, ma réponse serait que je me sentais incapable de lui expliquer ce qui m’arrivait. Ce n’était pas sa faute à lui, parce qu’il était bon et avisé et qu’il m’aurait écouté patiemment. Il aurait pris grand soin de mon âme si je lui avais dit ce qui se passait entre Jésus et moi. Il veillait néanmoins à ce que je demeure dans les chemins de la vertu. Quant à moi, je ressentais une très grande pesanteur en mon âme, de laquelle j’aurais bien voulu être soulagée en m’exprimant à quelqu’un d’autre, avec le désir de connaître son opinion.

Cependant, je le répète, il m’était impossible de le faire. Je crois que la raison pour laquelle mon premier confesseur ne pouvait pas me faire parler était le bon vouloir divin, tout simplement. Je dois ajouter que mon nouveau confesseur avait un talent spécial pour pénétrer dans mon intérieur. Avec lui, je prenais graduellement courage et je sentais en moi la volonté et la patience de m’exprimer. Petit à petit, je lui ouvris mon âme et je le laissai lire en moi comme dans un livre, page par page, même mot par mot, incluant les grâces spéciales que m’avait accordées le Seigneur. C’était comme si mon bon Jésus se donnait la peine de me rappeler tout ce qu’il m’avait déjà dit et tout ce qui m’était arrivé. Quelquefois, quand je ressentais de la répugnance à ui révéler quelque chose, il me réprimandait beaucoup et même menaçait de me quitter. La peur qu’il m’abandonne me faisait atrocement souffrir. Cependant, j’arrivais à surmonter les difficultés. J’étais très dure pour moi-même.

Je peux dire la même chose pour mon autre confesseur, qui continuait à me demander une chose et ensuite une autre. Parfois il me demandait ce qui causait mes léthargies et quels en étaient les effets. Quelquefois, quand il voyait mon entêtement, il me commandait au nom de l’obéissance de lui répondre ; et il plaçait devant moi la peur d’une grande illusion diabolique. Ensuite il ajoutait : « Quand l’âme est obéissante, nous sommes tous les deux plus sécurisés et tranquilles, parce que le Seigneur ne permettrait pas que son ministre, qui veut agir correctement dans la quête de la vérité, soit dans l’erreur. »

À ce sujet, il m’a souvent semblé que les deux, Jésus et le confesseur, savaient tout de la question, parce que avant que Jésus me soumette à quelque souffrance, je remarquais que le confesseur connaissait la vérité. Je me disais en moi-même : « Il vaut mieux tout lui dire tout de suite que de garder le silence, puisque déjà il sait tout ; et si je garde le silence, qui sait s’il ne sera pas alors amené à changer sa façon de faire. »

Tout cela n’arrivait pas avec mes confesseurs des années précédentes, qui non seulement ne m’ont jamais questionnée ni n’ont essayé de chercher la vérité sur mes états de pétrification – par exemple si ça provenait de Dieu ou des démons, ou si c’était causé par une maladie corporelle. Bref, ils ne demandaient rien et ne disaient rien. Toutefois, j’étais très désireuse de savoir si j’étais oui ou non ajustée à la Volonté de Dieu quand je portas la croix qu’il m’envoyait. Je souffrais beaucoup quand j’étais incapable de trouver la patience de la porter.

D’autre part, quand le second confesseur apprit que le Seigneur se montrait à moi et qu’il me demandait si je voulais remplir le rôle de victime, il me dit que je devrais dire à Jésus : « Seigneur, je ne peux pas et je ne devrais pas accepter la souffrance à laquelle tu veux me soumettre jusqu’à ce que j’aie la permission de mon confesseur. Si tu désires que je sois victime, va en premier lieu à lui pour lui demander son consentement, afin qu’il n’ait pas de ressentiment envers moi. »

  • Prière finale

« Gloire soit à Dieu, le Père Créateur, au Fils Ressuscité des morts et à l’Esprit Consolateur, maintenant et dans tous les siècles. Amen. Fiat. »

Prière de la communauté

Prière d'infusion dans la Divine Volonté

« Je ne suis rien ! Dieu est Tout… Abba je T'aime ! Ô Divine Volonté, viens penser par mon esprit, Ô Divine Volonté, viens circuler dans mon sang, Ô Divine Volonté, viens respirer par mon souffle, Ô Divine Volonté, viens battre dans mon cœur, Ô Divine Volonté, viens regarder par mes yeux, Ô Divine Volonté, viens écouter par mes oreilles, Ô Divine Volonté, viens parler par ma voix, Ô Divine Volonté, viens bouger à travers mes mouvements, Ô Divine Volonté, viens veiller sur mon sommeil et m'instruire pendant celui-ci, Ô Divine Volonté, viens souffrir à travers mes souffrances de telle manière que mon âme consumée et fusionnée en Toi, soit un crucifix vivant pour la Gloire de Abba, Ô Divine Volonté, viens prier en moi et recevoir cette prière comme étant la mienne. Ajoutes-y les prières de tout le monde pour donner à Abba la Gloire que toutes les créatures Lui doivent, Ô Divine Volonté, viens infuser en moi la foi de Marie Très Sainte pour que je puisse croire en Toi comme Elle, Ô Divine Volonté, viens infuser en moi l'espérance de Marie Très Sainte pour que j'espère en Toi comme Elle, Ô Divine Volonté, viens infuser en moi la charité de Marie Très Sainte pour que je T'aime comme Elle, Ô Divine Volonté, viens prier et adorer comme Jésus en sa Divine Humanité. Viens, ô Divine Volonté, Toi qui sait multiplier nos actions à l'infini, viens offrir en moi le Saint Sacrifice de la Croix, comme si tout le monde y avait assisté. Viens distribuer à tous, les fruits de ce Divin Sacrifice pour accorder ainsi le salut à tous. Amen. FIAT. »

Merci ! 22 personnes ont prié

1 commentaire

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

loader

Prions avec Luisa Piccarreta

Je m'inscris