Que demandez-vous à l'Eglise de Dieu : La foi
Image de la classe d'une école, pour situer le contexte dans lequel s'est déroulé l'événement rapporté dans cette publication.
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Dans la seconde partie du secret de Fatima, Notre Dame avait annoncé des persécutions contre l'Eglise (et ses fidèles). La consécration de la Russie pour empêcher ces persécutions, n'ayant pas été faite, beaucoup de pays furent touchés par ces attaques plus ou moins violentes contre la foi.
Dans le cadre de ces persécutions en Hongrie,eut lieu dans une école, un événement rapporté par la journaliste Maria Winowska dans son livre ‘' les voleurs de Dieu''. Ce récit est long mais en cette vigile de la fête de la Pentecôte, ou des milliers de pèlerins prieront Notre Dame pendant 3 jours, vous prendrez bien quelques minutes pour découvrir la force que la foi et la communion fréquente donnent à une enfant de l'âge de la petite Lucie de Fatima.
Nous avons abrégé la présentation de cet événement, mais rapporté en 3 parties tout le récit que la journaliste avait recueilli auprès du père Norbert, prêtre hongrois auquel elle avait demandé des nouvelles de la résistance spirituelle dans ce pays du temps de l'occupation communiste, ceux qui ont volé Dieu.
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I La situation dans l'école d'une petite bourgade de Hongrie
Cela s'est passé dans une petite bourgade de quelque 1500 âmes. L'institutrice de l'école communale était une athée militante. Tout son enseignement semblait axé sur ce postulat majeur qui exclut Dieu. Toutes occasions lui étaient bonnes pour dénigrer, ridiculiser, ou conspuer notre religion. Son programme scolaire était simple : former des petits sans-Dieu.
Intimidés, les enfants n'osaient se défendre. Et pourtant leurs familles étaient croyantes et profondément attachées à la foi et aux pratiques religieuses ! Curé de la paroisse, je réunissais mon petit monde à l'église, pour des leçons de catéchisme. En Hongrie, comme partout au-delà du rideau de fer, l'enseignement est scindé en deux. Comment voulez-vous que ces petits innocents s'y retrouvent ? Mais attention ! C'est ici qu'intervient la grâce, épaulée, s'il le faut, de singuliers secours.
Dans l'ensemble, nos petits ne se laissaient guère impressionner par les balivernes que leur débitait à jets continus Mlle Gertrude, c'était le nom de l'institutrice. Je faisais de mon mieux pour les équiper, en les habituant à fréquenter les sacrements. Chose curieuse : Mlle Gertrude semblait douée d'un flair mystérieux pour dépister les enfants qui avaient communié : elle s'acharnait, littéralement, à les rudoyer, c'étaient ses bêtes noires ! Il se peut, évidemment, qu'elle ait été avertie par quelque mouchard, mais là encore entrait en jeu le facteur temps. Grâce aux nouveaux règlements sur le jeûne eucharistique, les enfants pouvaient prendre quelque chose de chaud avant d'aller à l'église qui était sur le chemin de l'école. Certaines communiaient, d'autres pas. Or, Mlle Gertrude les discernait tout de suite, du premier coup d'œil, et dès la première leçon. Bien malin qui aurait réussi à les lui signaler dans un si bref intervalle ! Pour notre part, jamais nous n'avons admis cette hypothèse. La paroisse était unie, les enfants faisaient bloc.
Dans la quatrième classe A, il y avait une petite fille de dix ans, nommée Angèle. Très intelligente, très douée, elle était toujours la première. Ses compagnes ne la jalousaient pas, car elle avait un cœur d'or et s'ingéniait à leur rendre service à la moindre occasion.
Un beau jour, elle vint me demander la permission de la communion quotidienne. « Sais-tu à quoi tu t'exposes ? » lui demandai-je. Elle rit comme une gamine prête à jouer un tour : « Monsieur le curé, « elle » aura du mal à me prendre en faute, je vous l'assure ! Je travaillerai encore mieux... Ne me le refusez pas ! Les jours où je communie, je me sens plus forte. Or, vous me dites que je dois donner un bon exemple pour le faire, il me faut beaucoup de force ! »
Je dis oui, mais non point sans inquiétude.
A partir de ce moment, la quatrième A devint un petit enfer. Angèle avait beau savoir à merveille toutes ses leçons, l'institutrice la prit en grippe et l'accablait de brimades. L'enfant tenait bon, mais pâtissait à vue d'œil « Voyons Angèle, n'est-ce pas trop dur ? - Oh ! non, Monsieur le curé ! Jésus a souffert bien plus encore lorsqu'on crachait sur lui. Cela ne m'est pas encore arrivé, à moi ». Devant cette claire vaillance, je demeurai émerveillé. Ce n'est pas Angèle qui venait se plaindre du mauvais traitement qu'on lui infligeait. Ce sont ses compagnes de classe qui, en pleurant, me racontaient chaque jour les « attaques » de Mlle Gertrude. Ne pouvant pas s'en prendre aux leçons, elle s'ingéniait à démolir la foi de l'enfant.
Les parties étaient bien inégales et l'épreuve cruelle ! Aux arguments massifs de Mlle Gertrude qui, oubliant le programme scolaire, déployait devant la classe tout l'arsenal des sans-Dieu, Angèle ne trouvait point de réponse. Elle restait là, debout, muette, tête basse, étouffant des sanglots. Sa foi demeurait inébranlable, mais comment la défendre ?
A partir de novembre, les leçons de la quatrième A se transformèrent en de véritables duels entre l'institutrice et cette enfant de dix ans. Apparemment, la première triomphait et avait toujours le dernier mot. Pourquoi alors tant de féroce résistance ? Le silence d'Angèle semblait la mettre hors de ses gonds. Terrifiées, ses compagnes m'appelèrent au secours. Que pouvais-je faire, sinon envenimer la situation ? Grâce à Dieu, Angèle tenait bon. Il ne restait qu'à prier, à prier de toutes nos forces.
L'affaire s'ébruita à travers la bourgade et dans les environs. Cependant, personne ne me blâma d'avoir permis à Angèle de communier tous les jours. Ce n'était un secret pour personne qu'en cette frêle petite fille, l'institutrice visait UN BIEN COMMUN, le trésor de la foi. Même les parents d'Angèle l'encourageaient. Du jour au lendemain, elle devint la vedette de la région. Tout le monde admirait son cran : elle seule ne s'en doutait pas, humiliée par son incapacité de se défendre et de trouver des arguments pour justifier sa foi.
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II Le piège tendu par l'institutrice à Angèle
Peu de jours avant Noël, le 17 décembre exactement, Mlle Gertrude inventa un jeu cruel qui devait, à son sens, porter un coup de grâce aux superstitions ancestrales qui infestaient l'école. La scène mérite d'être rapportée dans toute son ampleur !
Naturellement, Angèle est mise sur la sellette. D'une voix douce, l'institutrice l'interroge :
- Voyons, mon enfant, lorsque tes parents t'appellent, que fais-tu ?
- Je viens, répond l'enfant d'une petite voix timide.
- Parfaitement ! Tu les entends appeler et tu viens aussitôt, comme une petite fille bien sage. Et que se passe-t-il lorsque tes parents appellent le ramoneur ?
- Il vient, dit Angèle.
Son pauvre petit cœur bat fort, elle devine un piège, mais ne le perçoit pas.
En attendant, Mlle Gertrude poursuit son interrogatoire. (« Ses yeux brillaient comme ceux d'un chat qui s'amuse avec une souris, me dit plus tard un des petits témoins. Elle avait l'air méchant, méchant ! »)
- Très bien, mon enfant ! Le ramoneur vient parce qu'il existe.
Un instant de silence :
- Tu viens, parce que tu existes. Mais supposons que tes parents appellent ta grand-mère qui est morte. Viendra-t-elle ?
- Non, je ne le crois pas !
- Bravo ! Et s'ils appellent Barbe-Bleue ? Ou le Chaperon rouge ? Ou Peau-d‘âne ? Tu aimes bien les contes ? Voyons, que se passera-t-il ?
- Personne ne viendra, car ce sont des contes.
Angèle lève son regard limpide et le baisse aussitôt. « Ses yeux me faisaient mal ! » me dira-t-elle ingénument. Le dialogue continue.
- Parfait, parfait triomphe l'institutrice on dirait qu'aujourd'hui ton intelligence se délie. Vous voyez donc, mes enfants, que les vivants, ceux qui existent, répondent à l'appel. Par contre, ceux qui ne répondent pas, ne vivent pas ou ont cessé d'exister. C'est clair, n'est-ce pas ?
- Oui, répond la classe en chœur.
- Nous ferons tout de suite une petite expérience.
Puis, se tournant vers Angèle :
- Sors, mon enfant !
La fillette hésite, puis quitte le banc, La porte se referme lourdement sur sa chétive silhouette.
- Et maintenant, mes enfants, appelez-la !
- Angèle ! Angèle ! Crient à tue-tête trente petits gosiers
On finit vraiment par croire que ce n'est qu'un jeu.
Angèle rentre de plus en plus interdite. L'institutrice gradue, et savoure ses effets.
- Nous sommes donc bien d'accord ? dit-elle. Lorsque vous appelez quelqu'un qui existe, il vient. Lorsque vous appelez quelqu'un qui n'existe pas, il ne vient pas et ne peut venir. Angèle est en chair et en os, elle vit, elle entend, lorsque vous l'appelez, elle vient. Supposons maintenant que vous appeliez l'Enfant-Jésus. Y en a-t-il parmi vous qui croient encore à l'Enfant-Jésus ?
Un instant de silence. Puis, quelques voix timides répondent :
- Oui, oui...
- Et toi, mon enfant, crois-tu encore que l'Enfant-Jésus entend lorsque tu l'appelles ?
Angèle se sent brusquent soulagée. Voici donc le piège dont elle n'arrivait pas à saisir ni le sens ni les dimensions. Elle répond avec une soudaine ferveur :
- Oui, je crois qu'il m'entend !
- Très bien ! Nous en ferons l'expérience. Vous avez vu tout à l'heure Angèle qui entrait, lorsque vous l'avez appelée ? Si l'Enfant-Jésus existe, il entendra votre appel. Criez donc toutes ensemble, bien fort : « Viens, Enfant-Jésus ! » Un, deux, trois, toutes ensemble !
Les fillettes baissent la tête. Dans le silence, lourd d'angoisse, éclate un rire sardonique :
- Voilà ou je voulais vous en faire venir ! Voilà ma preuve ! Vous n'osez pas l'appeler, car vous savez bien qu'il ne viendra pas, votre Enfant-Jésus ! Et s'il ne vous entend pas, c'est qu'il n'existe pas plus que Peau-d'âne ou Barbe-Bleue, c'est qu'il n'est qu'un mythe... une histoire pour bonnes femmes ronronnantes au coin du feu, que personne ne prend au sérieux, parce que ce n'est pas vrai !
Interdites, les petites filles continuent à se taire. L'argument grossier et massif les touche en plein cœur.
Il ne faut rien connaître à la psychologie enfantine pour ne pas jauger à leur juste valeur les arguties se réclamant d'une expérience concrète ! L'une ou l'autre - elles me l'ont avoué plus tard - commençaient à douter.
Eh, oui, s'il existe, pourquoi donc ne le voit-on pas ?
Angèle demeurait debout, pâle comme une morte. « J'avais peur qu'elle ne tombe », m'a dit une de ses compagnes. L'institutrice savourait visiblement le désarroi des enfants. Elle triomphait enfin. « Ecrasé, l'infâme ! »
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III Le dénouement raconté par les élèves de la classe
Tout d'un coup, il se produisit un incident absolument imprévu. D'un bond, Angèle s'élança au milieu de la classe. Les yeux pleins d'éclairs, elle s'écria :
- Eh bien, nous l'appellerons. Vous m'entendez ? Toutes ensembles : Viens, Enfant-Jésus !
En un clin d'œil, toutes les petites filles furent debout. Les mains jointes, le regard ardent, le cœur gonflé d'un immense espoir, elles s'écrièrent :
- Viens, Enfant-Jésus !
L'institutrice ne s'y attendait pas. Instinctivement elle recula, les yeux fixés sur Angèle. Un instant de silence lourd comme une agonie, puis, de nouveau, cette petite voix de cristal :
- Encore !
Ce fut un cri « à renverser les murs » m'a dit une des fillettes. Peur, impatience, doute momentanément jugulé, mais tout prêt à renaître, sens de solidarité brusquement en éveil sous l'impulsion de l'une d'elles, qui se révélait chef, tout y était, sauf l'attente d'un « miracle ». « Je criais, mais je ne m'attendais à rien d'extraordinaire », m'avoua Gisèle.
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- C'est alors que cela éclata. Permettez-moi de passer la parole aux enfants, que j'interrogeais une à une. Leurs expressions maladroites me semblent plus justes que nos interprétations d'adultes. Certaines phrases se sont gravées dans ma mémoire, d'une façon indélébile. Que voulez-vous ! Le pauvre aumônier que j'étais alors avait, lui aussi, bien besoin d'un signe, on est si souvent à bout de force là-bas !
Elles ne regardaient pas la porte, elles regardaient le mur en face et sur ce fond blanc, la figure d'Angèle. C'est la porte, cependant, qui s'ouvrit sans bruit. Elles s'en aperçurent, car « toute la lumière du jour s'enfuit soudain vers la porte ». Cette lumière grandissait, grandissait, puis devint un globe de feu ». Alors, « elles eurent peur », mais cela dura si peu « qu'elles n'eurent même pas le temps de crier ». Le globe s'entrouvrit et, dans ce globe, parut un enfant « ravissant comme jamais encore elles n'en avaient vu » Cet enfant leur souriait sans proférer une parole. Sa présence « était d'une immense douceur ». Elles n'avaient plus peur, « il n'y avait que de la joie ». Cela dura… un instant ? Un quart d'heure ? Une heure ? Sur ce point, curieusement, les témoignages différaient. Le fait est que l'événement ne déborda pas la durée de la leçon. L'enfant « était vêtu de blanc et ressemblait à un petit soleil ». C'est lui qui « produisait de la lumière ». L'éclat du jour « semblait noir à côté ». Certaines fillettes en étaient éblouies et en avaient « mal aux yeux », d'autres contemplaient le petit Enfant sans peine. Il ne dit rien, il ne faisait que sourire, puis, il disparut dans le globe de lumière qui « se fondit » peu à peu. La porte se referma doucement, « toute seule ». Ravies, le cœur « inondé de joie », les fillettes ne pouvaient proférer un mot.
Soudain, un cri strident déchira ce silence. Hagarde, « les yeux sortant des orbites », l'institutrice hurlait : « Il est venu ! Il est venu ! » Puis, « elle s'enfuit » en claquant la porte.
Angèle « semblait sortir d'un rêve ». Elle dit simplement :
- Vous voyez ? IL EXISTE. Et, maintenant, disons merci. Sagement, toutes s'agenouillèrent et dirent un « Pater », un « Ave » et un « Gloria ». Puis, elles quittèrent la classe, car on venait de sonner et c'était l'heure de la récréation.
L'affaire s'ébruita, naturellement. Les parents vinrent me voir, j'interrogeai les fillettes une à une. Eh bien, je peux déclarer sous la foi du serment que, dans leurs récits, je n'ai pu surprendre la moindre contradiction. Ce qui m'a frappé surtout, c'est que, après coup, l'événement ne leur paraissait nullement extraordinaire. « Puisqu'on était en panne, m'a dit une fillette, il fallait bien que l'Enfant-Jésus vint nous dépanner. »
- Et l'institutrice ? Demandai-je.
- C'est vrai, je vous dois l'épilogue. Mlle Gertrude a dû être mise dans un asile. Le corps enseignant étouffa l'affaire. Il paraît qu'elle ne cessait de hurler : « Il est venu, il est venu ! » Vous comprenez que, dans ces conditions, on ne pouvait la garder. J'ai essayé d'aller la voir : en vain. Refus catégorique du laisser-passer pour les prêtres dans cet établissement pour aliénés. Notez que les « cas » d'obsession religieuse y fourmillent. Les profanateurs de nos églises, par exemple, finissent presque tous fous. N'empêche : tous les jours, à la messe, je prie pour Mlle Gertrude.
- Et Angèle ?
- Elle a fini ses classes et aide sa maman. Car, j'oubliais de vous dire qu'elle est l'aînée d'une famille nombreuse. Je crois qu'elle couve une vocation mais, naturellement, depuis mon départ précipité, je l'ai perdue de vue.
Le Père Norbert aspira sa cigarette, puis, d'une voix légèrement moqueuse :
Je ne sais pas, Madame, si vous croyez à mon histoire, mais je parie que vous n'oserez pas la publier !
- Et si je relève le gant ?
- D'accord !
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Notre Seigneur avait dit à ses apôtres lui rapportant l'impossibilité de chasser un démon ‘'Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne: Transporte-toi d'ici là, et elle se transporterait; rien ne vous serait impossible.‘'
Ce ‘'démon'' qui habitait Mlle Gertrude lui faisait détecter ces cœurs purs qui trouvaient leur force dans la communion quotidienne, dans la réception chaque jour du Corps, du Sang, de l'Ame et de la Divinité de Notre Seigneur présent dans l'Eucharistie, présence réelle, comme l'avait rappelé l'Ange de Fatima à sa dernière apparition à l'automne 1916.
La petite Angèle avait dit ‘' Les jours où je communie, je me sens plus forte. ‘'
Notre Dame à l'Ile Bouchard s'était adressée aux enfants en ces termes. ‘'Dites aux petits enfants de prier ‘' Ces prières des enfants ont fait que le communisme n'avait pas pris le pouvoir dans le royaume de France dont Dieu avait remis la commande à son souverain quelques siècles plus tôt, comme nous le verrons bientôt.
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La fête de la Pentecôte marque la fin du temps Pascal. C'est le moment de prier 3 fois par jour, non plus le ‘' Regina Cœli''(
, mais l'Angelus : )
Unissons nos prières avec les milliers de pèlerins qui pendant 3 jours sur les routes de Chartres prieront Notre Dame.
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‘'En octobre, Je dirai qui Je suis, ce que Je veux, et Je ferai un miracle que tous pourront voir pour croire'' Notre Dame à Fatima le 13 Juillet 1917.
Merci ! 134 personnes ont prié
10 commentaires
Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6