17 juillet, troisième mystère glorieux: la Pentecôte
Conrad était toujours occupé mais n’était jamais anxieux ou tendu. Son bonheur sur terre était d’aider les démunis. À l’heure du repas, les pauvres, jeunes, vieux et enfants, les malades et estropiés arrivaient pour demander un bol de soupe, le visage de frère Conrad rayonnait de joie, abandonnant son bol, il courait à la cuisine dire au cuisinier: « Soulever le couvercle un peu pour que je puisse prendre quelques boulettes de viande pour les pauvres. » Grâce à la Divine providence, ils ne manquèrent jamais de rien.
Bien sûr Conrad mangeait presque toujours froid, comme il était le dernier à finir son repas, il se rendait à la cuisine pour voir s’il pouvait récupérer quoi que ce soit pour les pauvres.
Notre Père, 10 je vous salue Marie, Gloire soit au Père. Amen
Prions: Dieu de bonté, par le ministère de Saint Conrad de Parzham, tu as ouvert aux croyants la porte de ta miséricorde; à sa prière, ouvre-nous l’esprit de pauvreté et l’humilité du cœur au service de nos frères. Par Jésus le Christ notre Seigneur. Ainsi soit-il.
Priez pour nous , Saint Conrad de Parzham. Amen
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6