15 juillet, troisième mystère joyeux: La Nativité
Conrad de Parzham, à la porte de son monastère entrait en contact avec les attraits et la misère du monde extérieur. Il avait parfois peur de perdre l’esprit de prière, mais ne douta jamais de l’authenticité de sa vocation. Il écrit à sa famille: « Ce fut la volonté de Dieu que j’ai donné tout ce que je possédais et aimé. Je devais suivre ma vocation. Je ne pouvais pas faire quoi que ce soit d’autre. Je suis heureux de ne pas être dans le monde. »
Toutes les catégories de personnes venaient sonner à la porte: des enfants, des vieillards, des mères de famille, des jeunes , des travailleurs, des pauvres, des agriculteurs, des malades, des désespérés... quand la cloche sonnait, Conrad ouvrait la porte, souriait et ouvrait son cœur. Il ne jugeait personne, il donnait tout ce qu’il pouvait. Il écoutait les gens se plaindre, donnant du pain, des articles de piété, ou des herbes médicinales aux agriculteurs pour leurs animaux.
Notre Père, 10 je vous salue Marie, Gloire soit au Père. Amen
Dieu de bonté, par le ministère de saint Conrad de Parzham, tu as ouvert aux croyants la porte de ta miséricorde; à sa prière, ouvre-nous l’esprit de pauvreté et l’humilité du cœur au service de nos frères. Par Jésus le Christ, notre Seigneur ainsi soit-il.
Priez pour nous, Saint Conrad de Parzham. Amen
Merci ! 69 personnes ont prié
1 commentaire
Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6