Cœur de mon Jésus, que vous êtes bon de nous attirer avec tant de force, par tant de paroles et d’exemples, par l’exemple de vos trente ans de Nazareth, et vos quarante jours de désert, de vos fréquentes retraites pendant votre vie publique, par exemple de la vie entière de la Sainte Vierge et de saint Joseph, par celui de saint Jean-Baptiste et sainte Magdeleine si hautement approuvés par vous, à la vie la plus douce pour l’âme aimante, à la vie la plus sûre et la plus salutaire, à la vie de recueillement, de retraite, de solitude, de silence !

(Béni Abbès, méditation, 1905)

Cœur de Jésus, que vous êtes bon de ramener si fortement mon âme froide et infidèle à votre amour par les mystères si poignants de votre vie revenant périodiquement chaque année, et se partageant l’année à si peu d’intervalle, les uns si doux, d’autres si douloureux, tous si pleins d’amour, tous si propres à nous porter à vous rendre amour pour amour.

(Beni Abbès, méditation, 1905)

Fais peu à peu connaître la morale chrétienne et la religion, non par de longs discours, mais par de courtes paroles, sans sortir de la solitude, comme Marie chez Élisabeth, comme Jésus à Nazareth.

 (Tamanrasset, réflexion, 1905)