« Peut-être donnera-t-il du fruit à l'avenir »  Luc 13, 9

La culture écologique ne peut pas se réduire à une série de réponses urgentes et partielles aux problèmes qui sont en train d'apparaître par rapport à la dégradation de l'environnement, à l'épuisement des réserves naturelles et à la pollution. Elle devrait être un regard différent, une pensée, une politique, un programme éducatif, un style de vie et une spiritualité qui constitueraient une résistance face à l'avancée du paradigme technocratique. Autrement, même les meilleures initiatives écologiques peuvent finir par s'enfermer dans la même logique globalisée. Chercher seulement un remède technique à chaque problème environnemental qui surgit, c'est isoler des choses qui sont entrelacées dans la réalité, et c'est se cacher les vraies et plus profondes questions du système mondial.

Encyclique Laudato si' – 111

Si l'homme intervient sur la nature sans en abuser et sans la détériorer, on peut dire qu'il intervient non pour la modifier, mais pour l'aider à s'épanouir dans sa ligne : celle de la Création, celle voulue par Dieu. 

Compendium de la doctrine sociale de l'église  – 460 

Seigneur, je veux vivre chaque jour nouveau avec Toi.

Aide moi Seigneur à relire les moments de ma vie où comme le figuier je ne donne pas de fruit et où avec patience Tu es venu à mon secours.

J'écoute la méditation ...