François Marto: Le consolateur des Cœurs de Jésus et de Marie 1 / 3

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            Comme annoncé le 9 mars dernier, nous honorerons le petit François Marto que Notre Dame est venu chercher il y aura cent ans, le 4 avril prochain.

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            En 3 publications, nous retracerons sa vie décrite par sa cousine sœur Lucie  dans son quatrième mémoire qu'elle a terminé le 8 décembre 1941. (C'est en fin de ce mémoire qu'elle rédigera pour la seconde fois, la première et la seconde partie du secret et rajoutera  à la seconde partie de ce secret, les termes '' Au Portugal se conservera toujours le dogme de la foi, etc.'' C'est le troisième mémoire, terminé le 31 août 1941,  qui a été cité dans les documents remis à la presse le 26 juin 2000 lors de la révélation de la troisième partie du secret ).  Nous avons illustré quelques attitudes de François et utilisant des illustrations enfantines de Mercés Gil qui ont été extraites du petit fascicule consacré à François,  publié le 4 avril 1980 par ‘’ La vice-postulation des petits bergers P-2496 Fatima Apartado 6’’.   

            Sœur Lucie terminera la partie consacrée dans ce mémoire à son cousin, avec cette remarque sur sa  disparition : ‘’Ma peine ne peut se décrire. C’est une triste épine qui me perce encore le cœur après tant d’années. C’est le souvenir du passé qui résonne toujours dans l’éternité.’'’ En l’accompagnant du petit poème qui suit. 

     Il faisait nuit… et paisiblement je rêvais

     Qu’en ce jour de fête si désiré,

     Une union céleste en grande pompe

     Entre nous et les anges se déroulait !


     Quelle couronne d’or, si belle soit-elle, 

     Des plus belles fleurs que la terre produit, 

     Pourrait égaler celle que le Ciel offrait

     A l’angélique fraîcheur que son souvenir laissait.


     Des lèvres maternelles… la joie, le sourire !

     Dans le céleste paradis… Il vit en Dieu !

     D’amour enchanté, de joies souveraines,

     Il passa ses années… si brèves… Adieu !!!

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            Né le 11 juin 1908, et baptisé le 29, François avait donc neuf ans au moment des apparitions de Notre-Dame. De visage toujours joyeux, il était gentil et accommodant avec tous, même au prix de gros sacrifices : «  Si d’autres enfants insistaient pour lui prendre quelque chose qui lui appartenait, il disait : “ Garde-le, ça m’est égal ! ” Aux jeux il était assez animé, mais peu d’enfants aimaient jouer avec lui, parce qu’il perdait toujours… Et lorsqu’il avait gagné, si quelqu’un cherchait à le priver de ses droits, il cédait sans résistance, se limitant à dire : “ Tu crois avoir gagné  ? Alors, très bien, cela ne me fait rien à moi. ”  » (…)

             Il ne faudrait pas croire pour autant qu’il fut sans énergie ou de volonté faible. «  Il n’était pas peureux du tout, raconte Lucie. Le soir, il se rendait seul dans n’importe quel endroit obscur, sans difficulté. (…) Il se glissait dans les grottes à la recherche de terriers de renards, de lapins, de genettes, etc.  » (…)

 Quand il demanda avec beaucoup d’insistance à sa mère de le laisser venir avec son troupeau pour rester avec moi, c’était beaucoup plus pour faire plaisir à Jacinthe qui le préférait à son frère Jean. Un jour que sa mère, déjà mécontente, lui refusait cette permission, il répondit avec sa paix naturelle : 

  • Cela ne me fait rien à moi, maman, c’est Jacinthe qui veut que j’aille.
  • A une autre occasion, devant un refus analogue de sa mère, il dira : « Pour moi, cela ne me fait rien, mais c’est Jacinthe qui aura le plus de peine. »

 

             Dieu a mis à part le petit François dés les apparitions de l’ange en 1916. François voyait, mais n’entendait pas. C’était un peu notre modèle, nous qui n’avons ni vu, ni entendu, mais seulement pris connaissance des paroles de Notre Dame par ce qu’en ont dit ou écrit sa sœur Jacinthe et sa cousine Lucie.

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         A l’apparition de l’ange il se prosterna comme sa sœur et moi-même, mû par une force surnaturelle qui nous y poussait. Mais la prière, il l’apprit en nous entendant la répéter car il disait n’avoir rien entendu des paroles de l’Ange.…

                À la seconde apparition de l’Ange  au puits, il me demanda après quelques instants :

  • Tu as parlé avec l’Ange, qu’est-ce qu’il t’a dit ? - Tu ne l’as pas entendu ? -  Non j’ai vu qu’il te parlait et j’ai entendu ce que tu lui as répondu, mais je ne sais pas ce qu’il t’a dit.       

        Comme l’atmosphère de surnaturelle dans laquelle l’Ange nous laissait ne s’était pas complètement dissipée, je lui dis de me le demander le lendemain ou de le demander à Jacinthe.

  • Jacinthe, raconte-moi,  toi, ce que l’Ange a dit. - Je te dirai demain, aujourd’hui je ne peux pas parler.

Le lendemain, lorsqu’il arriva près de moi il me demanda :

  • As-tu dormi cette nuit ? Moi j’ai toujours pensé à l’Ange et à ce qu’il a pu dire.

        Je lui racontais alors tout ce que l’ange avait dit lors de la première et de la seconde apparition. Mais il ne semblait pas avoir saisi la signification des paroles et demanda :

  • Qui est le Très Haut ? Que veut dire les Cœurs de Jésus et de Marie sont attentifs aux voix de vos supplications, etc.… Lorsqu’il obtenait la réponse il demeurait pensif et aussitôt posait une autre question. Mais mon esprit n’était pas encore complètement libre et je lui dis d’attendre le lendemain car ce jour-là je ne pouvais pas parler. Il attendit, satisfait, mais il ne laissa pas perdre la première occasion pour poser bientôt de nouvelles questions, ce qui fit dire à Jacinthe : « Ecoute, ne parle pas trop de ces choses ! » 
  • Lorsque nous parlions de l’Ange, je ne sais ce que nous éprouvions. Jacinthe disait ''je ne sais ce que je ressens, je ne peux pas parler, ni chanter, ni jouer et je n’ai plus de force pour rien.''
  • Moi non plus, répondit François, mais qu’importe ! , l’Ange est plus beau que tout cela. Nous devons penser à lui.

                Dans la troisième apparition, la présence du surnaturel fut encore beaucoup plus intense. Pendant plusieurs jours, même François n’osait pas parler. Il disait plus tard :

  • J’aime beaucoup voir l’Ange, mais le pire, c’est que, après, nous sommes incapables de faire quoi que ce soit. Je ne pouvais même plus marcher, je ne sais pas ce que j’avais !

Malgré tout, ce fut lui qui se rendit compte, après la troisième apparition de l’ange, que la nuit approchait. Ce fut lui qui nous en avertit et qui pensa à reconduire notre troupeau à la maison.

                Après quelques jours, et lorsque nous eûmes retrouvé notre état normal, François demanda :

  • L’Ange a donné, à toi, la sainte communion ; mais a moi et a Jacinthe, qu’est-ce qu’il a donné ?

                C’est aussi la sainte communion, répondit Jacinthe, avec un bonheur indescriptible. N’as-tu pas vu que c’était le sang qui tombait de l’hostie ?

  • Je sentais que Dieu était en moi, mais je ne savais pas comment cela s’était fait.

                Se prosternant à terre, il resta ainsi très longtemps avec sa sœur, répétant la prière de l’Ange : « Très Sainte Trinité, etc... » Peu à peu cette atmosphère de surnaturelle disparue, et le 13 mai, nous jouions déjà presque avec le même entrain et la même liberté d’esprit.

                 Ce qui impressionna François lors des apparitions, rapporte Lucie, «  c’était Dieu, la Très Sainte Trinité, dans cette lumière immense qui nous pénétrait au plus profond de l’âme. Ensuite, il disait : «  Nous brûlions dans cette lumière qui est Dieu et nous ne nous consumions pas. Comment est Dieu ? On ne peut pas l’expliquer ! Oui vraiment, personne ne pourra jamais le dire ! Mais ça fait  de la peine qu’Il soit si triste ! Si seulement je pouvais Le consoler ! » (…) Aussi lorsque François, apprit de Lucie que Notre-Dame lui promettait de l’emmener au Ciel à condition qu’il récite beaucoup de chapelets, il s’écria en croisant les mains sur sa poitrine  : «  Ô ma Notre-Dame  ! Des chapelets, j’en réciterai autant que vous voudrez!  »

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à condition qu’il récite beaucoup de chapelets

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            Il trouva ainsi dans cette dévotion le moyen de consoler la Vierge Marie et Dieu lui-même infiniment tristes à cause de tant de péchés. Depuis le 13 mai et sa première vision en Dieu il a trouvé sa vocation propre, le but de toute sa vie : consoler Dieu, consoler Notre-Dame. (…) «  C’est en prononçant ces dernières paroles (la grâce de Dieu, etc.) que Notre-Dame ouvrit les mains pour la première fois et nous communiqua, comme par un reflet qui émanait d’elles, une lumière si intense que, pénétrant notre cœur et jusqu’au plus profond de notre âme, elle nous faisait nous voir nous-mêmes en Dieu, qui était cette lumière, plus clairement que nous nous voyons dans le meilleur des miroirs. » 


comme par un reflet qui émanait d’elle

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      Quelques jours après la première apparition de Notre-Dame, en arrivant au pâturage, il  grimpa sur un rocher élevé et nous dit :

  • Vous autres, ne venez pas ici ; laissez-moi rester seul.  - C’est bien.

         Je me suis mis avec Jacinthe à courir après les papillons, que nous attrapions, pour faire aussi le sacrifice de les laisser partir,  ayant complètement oublié François.  L’heure du goûter  arrivée, nous nous rendîmes  compte de son absence et j’allais l’appeler :

  • François ne veux-tu pas venir prendre le goûter ? - Non. Vous autres, mangez.  - Et dire le chapelet ? J’irai après pour prier. Rappelez-moi.

    Lorsque je suis retournée l’appeler, il me dit : « Venez ici, vous autres, prier près de moi ».

                Nous sommes montés au sommet du rocher où nous avions du mal à nous tenir tous les trois agenouillés, et lui demandai : Mais qu’est-ce que tu fais ici depuis si longtemps ?

            Je pense à Dieu qui est si triste à cause de tant de péchés !  Ah si j’étais capable de lui faire plaisir !

          Quelques semaines après la dernière apparition, Lucie demanda à son cousin :
— « Qu'est-ce qui te plaît le plus, consoler Notre-Seigneur ou convertir les pécheurs pour que les âmes n'aillent plus en enfer ? »
— « A choisir, j'aimerais mieux consoler Notre-Seigneur. N'as-tu pas remarqué comment la Sainte Vierge, encore le mois dernier, devint si triste lorsqu'elle demanda que l'on n'offense plus Notre-Seigneur qui est tant offensé ? Je voudrais aussi ensuite convertir les pécheurs pour que les âmes n'aillent pas en enfer. ».Dès lors, François se sentait poussé par la grâce et recherchait toujours la solitude pour prier et offrir ses sacrifices, lui qui savait qu'il aurait beaucoup à souffrir pour réparer tant de péchés qui offensent Notre Seigneur.

        Il était triste, non pas de souffrir pour le Bon Dieu, mais parce qu'il savait Notre Seigneur bien triste à cause des offenses des hommes. (Qu'elle leçon de catéchisme si nous avons oublié que le péché est d'abord une offense à Dieu ! )

               Pour prier, François recherchait la solitude : «  Il parlait peu, raconte Lucie, et pour faire sa prière et offrir ses sacrifices, il aimait se cacher, même de Jacinthe et de moi… De temps en temps, il s’éloignait de nous sans que nous nous en rendions compte. Lorsque nous nous apercevions de son absence, nous nous mettions à sa recherche en l’appelant. Il nous répondait de derrière un petit mur, un arbuste ou un buisson… II s’était retiré là, à genoux, pour prier et penser à Notre-Seigneur, si triste à cause de tant de péchés, comme il disait… Si je lui demandais :

– François, pourquoi ne me dis-tu pas de prier avec toi et aussi avec Jacinthe ?

J’aime mieux prier tout seul, afin de penser, et de consoler Notre-Seigneur qui est si triste  !  »


Il aimait prier tout seul

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Lors de la seconde apparition, François fut très impressionné par la communication du reflet de lumière qui, eu lieu au moment où Notre Dame disait : « Mon Cœur immaculé sera ton refuge, et le chemin qui te conduira jusqu’à Dieu ».

 Sur le moment, il ne parut pas comprendre ce qui se passait, peut-être parce qu’il ne lui était pas donné d’entendre les paroles qui accompagnaient le geste de Notre-Dame. Aussi il me demanda ensuite : « Notre-Dame avait-elle un cœur dans la main, répandant sur le monde cette lumière si grande, qui est Dieu ? Tu te trouvais avec Notre-Dame dans la lumière qui descendait vers la terre, et Jacinthe et moi dans celle qui montait vers le ciel ».

– C’est que, lui répondis-je, toi et Jacinthe vous irez bientôt au ciel, et moi je resterai avec le Cœur Immaculé de Marie quelques temps encore sur la terre.

– Combien d’année resteras-tu ici ? Demanda-t-il. – Je ne sais pas, beaucoup d’années. – C’est Notre-Dame qui te l’a dit ? – Oui c’est elle et je l’ai vu dans cette lumière qu’elle nous mettait dans la poitrine. Jacinthe confirma ce qu’elle disait en déclarant ou c’est bien ainsi ! Moi je l’ai vu ainsi ! 

Après l’apparition du 13 juin la mère de Lucie alla trouver le curé de Fatima pour essayer ‘’de la détromper’’.  Par prudence il souleva l’hypothèse que ce soit le démon qui leur apparaissait.  A partir de ce moment Lucie décida de ne plus retourner à la Cova da Iria, ce qui attrista beaucoup ses petits cousins. 

Mais comment peux-tu penser que c’est le démon ? N’as-tu pas vu Notre-Dame et Dieu dans cette lumière si grande ? Comment partirons-nous sans toi, si c’est toi qui dois parler ?

            Après le souper, il faisait déjà nuit, il revint encore chez moi, et m’appela dans la vieille aire (la cour dernière la maison)   – Écoute, tu viens demain ? (Ce ''demain'' était le 13 juillet, l'apparition centrale de Fatima avec la communication  du secret en 3 parties) 

  • Je n’irai plus, je t’ai déjà dit que je n’y retournerai plus. 
  • Mais que c’est triste ! Pourquoi penses-tu comme ça maintenant ? Tu ne vois pas que ce ne peut pas être le démon ? Dieu est déjà si triste avec tant de péché, et maintenant, si tu ne viens, il sera encore plus triste ! Allons, viens !
  • Je t’ai déjà dit que je n’irai pas, c’est inutile d’insister. Et je rentrais brusquement à la maison.

            Quelques jours après, et me dit : Cette nuit-là, je n’ai pas dormi du tout, je l’ai passée tout entière à pleurer et à prier.  

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''Je pense à Dieu qui est si triste à cause de tant de péchés !  Ah si j’étais capable de lui faire plaisir !''

Prière de la communauté

La dévotion au Cœur Immaculé de Marie

L'objectif final est de pratiquer la dévotion au Cœur Immaculé de Marie, telle que Notre Dame nous l'a annoncée à Fatima puis explicité quelques années plus tard à Pontevedra. Suivant notre progression dans cette dévotion, notre prière sera plus ou moins fervente, occupera notre esprit et notre cœur plus ou moins longtemps, pour arriver finalement à satisfaire totalement la demande centrale de cette dévotion : la communion réparatrice des 5 premiers samedis du mois. A notre réveil : Notre prière d'offrande de la journée Divin Cœur de Jésus, je vous offre, par le Cœur Immaculé de Marie, les prières les œuvres et les souffrances de cette journée, en réparation de nos offenses et à toutes les intentions pour lesquelles vous vous immolez continuellement sur l'autel. Je vous les offres en particulier, aux intentions du Souverain Pontife et pour les besoins de votre Sainte Eglise. . Puis tout au long de la journée, l'offrande de tous les sacrifices de la vie quotidienne en récitant si possible à chaque fois, la première prière qu'elle enseigna le 13 juillet 1917 : « Ô mon Jésus, c'est par amour pour vous, pour la conversion des pécheurs et en réparation des outrages commis envers le Cœur Immaculé de Marie » . Nous réciterons notre chapelet tous les jours, en ajoutant après chaque dizaine la deuxième prière enseignée le 13 juillet : « Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l'enfer. Conduisez au Ciel toutes les âmes, spécialement celles qui en ont le plus besoin. ») . Suivant les exigences de Notre Dame, la dévotion réparatrice des premiers samedis du mois consiste en la participation particulière à la prière par excellence de l'Eglise, le saint sacrifice de la Messe, le premier samedi de 5 mois consécutifs, en y ajoutant, avec une intention réparatrice : - La communion en état de grâce. - La récitation du chapelet. - La méditation pendant 15 minutes d'un mystère du rosaire. (Pour tenir compagnie à Notre Dame) - La confession, avec l'intention réparatrice dans les 8 jours qui précédent ou qui suivent cette communion. Il se peut que tenir compagnie à Notre Dame pendant 15 minutes soit difficile au début. Pour commencer, on peut fractionner ces 15 minutes en 5 fois 3 minutes au début de chaque dizaine. . Intention réparatrice : Nous personnaliserons notre réparation envers le Cœur Immaculé de Marie en attribuant à chaque premier samedi une intention particulière, comme Jésus l'a précisé à sœur Lucie. Ainsi nous aurons l'intention de réparer : Premier samedi : Les blasphèmes contre l'Immaculée Conception. Second samedi : Les blasphèmes contre la virginité de Marie Troisième samedi : Les blasphèmes contre sa Maternité divine Quatrième samedi : Les blasphèmes de ceux qui mettent dans le cœur des enfants la haine de cette Mère Immaculée Cinquième samedi : Les offenses contre les saintes images de Marie. . Remarques : Avant et après cette communion réparatrice, on peut dire la prière enseignée par l'ange au cours de sa dernière apparition : (Les prières suivantes n'ont rien d'obligatoire dans le cadre de cette communion) Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, je vous adore profondément et je Vous offre les très précieux Corps, Sang, Âme et Divinité de Jésus-Christ, présent dans tous les tabernacles du monde, en réparation des outrages, sacrilèges et indifférences par lesquels Il est Lui-même offensé. Par les mérites infinis de son Très Saint Cœur et du Cœur Immaculé de Marie, je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs. . Profitons de la présence de ‘'Jésus caché'' dans notre cœur pour lui dire aussi, en reprenant la première prière de l'ange : ‘'Mon Dieu, je crois, j'adore, j'espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n'adorent pas, qui n'espèrent pas, qui ne Vous aiment pas.'' . Nous pouvons aussi nous adresser à Notre Dame avec la prière de consécration que sœur Lucie avait composée le 29 octobre 1986 ‘'Ô Vierge, Mère de Dieu et notre Mère, je me consacre entièrement à votre Cœur Immaculé, avec tout ce que je suis et tout ce que je possède. Prenez-moi sous votre maternelle protection, défendez-moi des périls, aidez-moi à vaincre les tentations qui me sollicitent au mal, et à conserver la pureté de l'âme et du corps. Que votre Cœur Immaculé soit mon refuge et le chemin qui me conduise à Dieu. Accordez-moi la grâce de prier et de me sacrifier pour l'amour de Jésus, pour la conversion des pécheurs et en réparation des péchés commis contre votre Cœur Immaculé. Par votre médiation et en union avec le Cœur de votre divin Fils, je veux vivre pour la Très Sainte Trinité, en qui je crois et j'espère, que j'adore et que j'aime.'' ( Cette prière est une bonne façon de se remémorer la position de St Thomas d'Aquin vis à vis de la tentation )

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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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Fatima 100 ans et + Mon Cœur Immaculé sera ton refuge...

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