10 mai, troisième mystère douloureux, le couronnement d’épines
En 1906, pendant le carême, soeur Élisabeth a les premiers symptômes de la maladie d’Addison, une insuffisance surrénalienne. Il n’existe pas à l’époque de remèdes contre cette maladie.
Lors du dimanche des Rameaux, Élisabeth tombe en syncope et reçoit l’onction des malades. Son état empire jusqu’au vendredi Saint, mais le samedi sa santé s’améliore. Elle écrit: « Je m’affaiblis de jour en jour et je sens que le Maître ne tardera plus beaucoup à venir me chercher. Je goûte, j’expérimente des joies inconnues: les joies de la douleur... avant de mourir. Je rêve d’être transformée en Jésus crucifié ».
Méditons le couronnement d’épines avec Sainte Élisabeth: quand viendra l’heure de l’humiliation, de l’anéantissement, elle se rappellera ce petit mot: « Jésus se taisait » et elle se taira, gardant, conservant toute se force au Seigneur, cette force que l’on puise dans le silence. (dernière retraite 39)
Notre Père, 10 je vous salue Marie, Gloire soit au Père. Amen
Ô Sainte Élisabeth, dans ton grand amour de Dieu, tu étais toujours si proche de tes amis. Maintenant que tu es au Ciel devant la Face du Seigneur, intercède auprès de Lui pour les intentions que nous te recommandons..... Apprends-nous, dans la foi et l’amour, à vivre avec la Sainte Trinité au plus profond de notre cœur. Enseigne-nous à rayonner l’amour de Dieu parmi les hommes dans notre vie de chaque jour pour être une louange de sa Gloire. Amen
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6