"Fatiguée par toutes les difficultés soulevées par le fait que Jésus me parlait et me demandait de peindre ce tableau, je décidai fermement de demander au Père Andrasz avant mes voeux perpétuels de me délivrer de ces inspirations intérieures et de me dispenser de peindre ce tableau."
"Après avoir écouté ma confession, le Père Andrasz me répondit ainsi: "Je ne vous dispense de rien, et il ne vous est pas permis de vous soustraire à ces inspirations intérieures, mais vous devez absolument parler de tout à votre confesseur, absolument, autrement vous tomberez dans l'erreur, malgré les grandes grâces de Dieu.
Pour le moment, c'est à moi que vous vous confessez, mais sachez que vous devez avoir un confesseur permanent, c'est à dire un directeur de conscience."
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6