"L'Eglise, une famille ?" Patrick Giros, Lettre aux Amis, décembre 1993.

"Une très belle tradition donne à la famille la vocation d'être une petite Eglise dans l'Eglise : les parents et les enfants, bien sûr, mais aussi les grands-parents, les oncles et les tantes, les parrains et les marraines ... Dans la rue, on retrouve les regrets, les souffrances, mais aussi les bons souvenirs de ces temps familiaux. Les ruptures familiales sont souvent à l'origine des plus grandes chutes. Le groupe des Captifs assure le lien entre l'Eglise et ceux qui n'ont pas, qui n'ont plus de famille. Nous voulons rappeler aux solitaires, aux mal-aimés que la famille n'est pas la seule cellule où l'on puisse se reconnaître et être reconnus. Nous voulons rappeler à L'Eglise que les petits, les pauvres ont reçu ont reçu leur place, leur identité de Dieu lui-même dans le Christ ; l'Eglise ne peut pas grandir sans les petits, sans les pauvres. Si nous nous reconnaissons captifs avec les gens de la rue, nous laisserons Dieu conduire nos libertés en appelant la ville tout entière à quitter ses folies pour entrer dans la conversion". Patrick Giros, Lettre aux Amis, décembre 1993.

Photo : Patrick Giros, accompagné de personnes de la rue, 1995.

Prière de la communauté

Notre Père

Notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous du Mal. Amen

Merci ! 4 personnes ont prié

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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Aux captifs, la libération

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