Vers la fête de l'Immaculée conception... (2)
Ecoutons aujourd'hui le père Wilfried nous inviter à la fidélité à l'Angélus :
Les chrétiens l’ont toujours su : de tous les instants de l’Histoire, celui de l’Annonciation est le plus important. À l’instant où Marie dit oui, le Verbe se fait chair. Depuis des siècles, les croyants ont voulu faire mémoire de cet événement décisif en priant l’angélus. Même en Suède, pays protestant, la cloche de certaines églises sonne encore à l’heure de midi. La plupart des gens ne savent pas que c’est là un vestige de l’époque catholique. Prier l’angélus, c’est actualiser l’annonce de l’Ange à Marie, avec sa structure en trois parties, structure fondamentale de la relation entre l’homme et Dieu : l’invitation de Dieu, la réponse de l’homme, et le fruit – Dieu qui devient réalité concrète et tangible en l’homme. Dans son exhortation apostolique Marialis Cultus (1974), Paul VI, parmi les nombreuses pratiques de dévotion nées au cours des siècles en l’honneur de Marie, ne retient que deux exercices : l’angélus et le rosaire. Le Pape est d’avis que « l’angélus… à des siècles de distance, conserve inaltérée sa valeur et intacte sa fraîcheur 2. » Peut-on imaginer, en effet, moyen plus fructueux pour sanctifier les moments les plus importants de la journée – matin, midi et soir – que la récitation de cette prière toute simple ? p.27
Récitons aujourd'hui l'angelus, matin, midi et soir, en pensant avec foi et amour au sens des paroles que nous récitons.
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6