….Aidez-moi à vaincre les tentations qui me sollicitent au mal…1 / 2

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      Le titre de cette publication  est extrait de la prière de consécration au Cœur Immaculé de Marie qu'écrivit sœur Lucie le 29 octobre 1986.

 

     L'image est celle du père Olivier Barnay du groupement paroissial de Pont de Veyle, (diocèse de Belley-Ars) intronisant la statue de Notre Dame de Fatima dans le cadre de la consécration de sa paroisse au Cœur Immaculé de Marie qu'il fit pendant l'année du centenaire des apparitions de Fatima. Nous citerons un extrait de son bulletin paroissial de l'an dernier.

       - Demain commence une nouvelle année liturgique. Je souhaite que par la dévotion au Cœur Immaculé de Marie, vous puissiez connaître encore un peu plus  l'Amour du Christ qui surpasse toute connaissance.

       Essayons d'utiliser tous les premiers samedis du mois de cette nouvelle année liturgique, pour réparer le plus possible les offenses faites au Cœur Immaculé de Marie et, en récompense, assurer notre salut et celui de quelques âmes que Dieu aura ‘'mis sur notre route''. Cette année liturgique sera marquée par l'anniversaire des 100 ans de la réalisation d'une des prophéties de Notre Dame à Fatima : ‘' Je voudrais vous demander de nous emmener au Ciel ‘' avait demandé Lucie à Notre Dame le 13 juin 1917 et Elle avait répondu : ‘'.Oui, Jacinthe et François, je les emmènerai bientôt mais toi, tu resteras ici pendant un certain temps. Dieu veut se servir de toi.........'' François fut ‘'emmené'' le 4 avril 1919.

             - Nous sommes le premier samedi du mois de décembre. N'oublions pas notre communion réparatrice, notre quart d'heure de méditation pour tenir compagnie à Notre Dame en plus de notre chapelet. Si nous ne nous sommes pas encore confessé récemment dans le cadre de cette dévotion, programmons notre prochaine confession pour essayer de respecter le délai de 8 jours après cette communion réparatrice. N'oublions pas de préciser à notre confesseur que cette confession est pour réparer les offenses faites au Coeur Immaculé de Marie. 

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          Lors de ce premier samedi du mois de Noël, nous nous unirons à la communauté de Mazette  .......  qui par son ‘'grand rosaire'' réparera les offenses envers le  Cœur Immaculé de Marie de ceux qui ne croient pas à la virginité perpétuelle de Notre Dame. La naissance de Notre Seigneur à Bethléem fut en effet miraculeuse, nous y reviendrons.  

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            - Demain, nous fêterons aussi un anniversaire important : Pour les pays francophones, au premier dimanche de l'Avent 2017, entrait en vigueur la modification de la nouvelle traduction du ‘'Notre Père ‘'. Voici ce qu'en disait le père Barnay  à ses paroissiens dans son bulletin N° 186 de fin septembre 2017 : "   Nous passons donc d'une traduction hérétique ("ne nous soumets pas") à une traduction vague qui ne vaut pas le "ne nous laissez pas succomber…" mais comme nous sommes fils de l'Eglise, nous entrons dans l'obéissance de la Conférence des Evêques de France et nous prierons tous avec les mêmes mots : « ne nous laisse pas entrer en tentation ». Demeure intacte la prière du Pater Noster en latin... au moins, nous sommes sûrs de ne pas nous tromper !! "


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            Nous consacrerons 2 publications sur le '' Notre Père'' . Cette première reprendra un point de l''explication donnée par St Thomas d'Aquin sur la sixième demande du '' Pater'' . La publication suivante  donnera un éclairage général sur les évolutions introduites il y a un peu plus de 50 ans. 

 

            Voici en 11 points la reproduction intégrale des pages 124 à 139 du livre ‘' Le Pater et l'Ave ‘' de St Thomas d'Aquin,  (Introduction et traduction par un moine de Fontgombault), Collection Docteur commun,  Nouvelles Editions Latines (Imprimatur 8 octobre 1966 Paulus Vignancour)  

Sixième demande :     '' Et ne nous laissez pas succomber à la tentation '' 

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      76 - Il existe des pécheurs désireux d'obtenir le pardon de leurs fautes ; ils se confessent et font pénitence; mais ils n'apportent pas toute l'application nécessaire pour ne pas retomber dans le péché. Ils sont vraiment inconséquents avec eux-mêmes. En effet, à certaines heures, ils pleurent leurs péchés et s'en repentent, et à d'autres heures ils retombent dans leurs fautes, et accumulent ainsi la matière de larmes futures. C'est la raison pour laquelle le Seigneur leur dit en Isaïe (1, 16) : Lavez-vous, purifiez-vous, retirez de ma vue vos pensées mauvaises, cessez de mal faire.

            Et c'est aussi pourquoi le Christ, comme nous l'avons dit, nous enseigne dans la demande précédente, à implorer le pardon de nos péchés (pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensé) et, dans celle-ci, nous apprend à demander la grâce de pouvoir éviter le péché, par ces paroles : Et ne nous laissez pas succomber à la tentation, car à la tentation il appartient précisément de nous faire tomber dans le péché.

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   77 - Le contenu de cette sixième demande de l'oraison dominicale nous invite à examiner :

  1. a) Ce qu'est la tentation,
  2.  b)  Comment et par qui l'homme est tenté,
  3.  c)  Comment il est délivré de la tentation.

   78 –  Qu'est-ce que la tentation ?

        Tenter ne signifie rien d'autre que mettre à l'essai ou éprouver. Ainsi, tenter un homme, c'est éprouver sa vertu.

      Sa vertu peut être mise à l'essai ou éprouvée de deux manières, dans la ligne des exigences de la vertu humaine. Il est requis d'une part que l'œuvre bonne soit accomplie d'une manière excellente et d'autre part que l'on se garde du mal. Ce qui est indiqué par le Psalmiste (Ps., 33, 15) : Evite le mal et fais le bien.

       La vertu de l'homme sera donc mise à l'épreuve tantôt au point de vue de l'excellence de son agir, tantôt au point de vue de son éloignement du mal.

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     79. - Si, en premier lieu, on vous éprouve pour savoir si vous êtes prompt à vous porter au bien, comme par exemple à jeûner, et si on vous trouve effectivement prompt au bien, ce sera le signe que votre vertu est grande.

            C'est de cette façon que Dieu éprouve parfois l'homme ; ce n'est pas qu'il ignore sa vertu, mais il veut la faire connaître à tous et à tous la donner en exemple. Dieu éprouva de cette manière Abraham (cf. Gen., 2) et Job. Souvent en effet le Seigneur envoie des tribulations aux Justes ; s'ils les supportent patiemment, leur vertu est manifestée et ils progressent dans la vertu. Le Seigneur vous tente, disait Moïse aux Hébreux (Deut., 13, 3) afin de faire apparaître au grand jour si oui ou non vous l'aimez. C'est donc de cette manière seulement que Dieu tente l'homme à savoir, en l'excitant à bien faire.

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    80 - En second lieu, pour éprouver la vertu de l'homme, on l'incitera au mal. S'il résiste fortement et ne consent pas, c'est l'indice de la grandeur de sa vertu ; mais s'il succombe à la tentation, sa vertu est manifestement inexistante.

Jamais Dieu ne tente qui que ce soit de cette manière ; car Dieu est incapable de tenter et de pousser personne au mal.

Sa propre chair, le diable et l'homme, voilà les tentateurs de l'homme.

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     81 - Comment et par qui l'homme est-il tenté ?

       1° La chair tente l'homme de deux manières.

        D'abord elle l'aiguillonne et le pousse au mal par la recherche incessante de ses délectations charnelles, occasions fréquentes de péché. Le fait de s'arrêter dans les délectations charnelles entraîne la négligence des choses spirituelles. Chacun, dit saint Jacques (1, 14), est tenté par sa propre convoitise, qui l'entraîne et le séduit.

         En second lieu, la chair nous tente en nous détournant du bien. L'esprit, de lui-même, se délecterait toujours dans les biens spirituels, mais la chair rend l'esprit lourd et l'entrave. Le corps, sujet à la corruption, dit la Sagesse (9, 15), appesantit l'âme ; et saint Paul écrivait aux Romains (7, 22) : L'homme intérieur en moi se délecte dans la loi de Dieu ; mais je vois dans mes membres une autre loi ; cette loi-là lutte contre la loi de ma raison ; elle me tient captif sous la loi du péché, qui est dans mes membres.

         Cette tentation de la chair est extrêmement forte, à cause de notre union intime à notre ennemie, la chair. « Aucune peste, dit Boèce, n'est plus nuisible qu'un ennemi familier » Il faut donc veiller sur les assauts de notre chair. Veillez et priez, dit Jésus, (Mt., 26, 41), pour ne pas entrer en tentation.

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    82 - 2° La chair, une fois domptée, un autre ennemi surgit, le diable. Il nous tente très fortement et il nous faut lutter contre lui avec vigueur. Nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, dit saint Paul (Eph., 6, 12), mais contre les Principautés et contre les Puissances, contre les Maîtres de ce monde de ténèbres, contre les Esprits répandus dans les airs. Aussi le diable est-il expressément appelé le tentateur, comme le montrent ces paroles de saint Paul (1 Thess., 3, 5) : Pourvu que le tentateur ne vous ait pas tentés.

            Dans ses tentations, le diable se montre consommé en ruse. Semblable à un habile chef d'armée, occupé à assiéger une forteresse, il considère les points faibles de l'homme qu'il veut attaquer et fait alors porter l'effort de la tentation là où il constate que son adversaire est plus désarmé. Ainsi il tente les hommes, vainqueurs de leur chair, du côté des vices auxquels ils sont le plus enclins, comme la colère, l'orgueil et les autres maladies de l'esprit. Votre adversaire, le diable, dit saint Pierre (1 ép., 5, 8), comme un lion rugissant, rôde autour de vous ; il cherche qui dévorer.

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   83 - Le démon, dans ses tentations, emploie une double tactique.

         D'abord, il ne propose pas aussitôt à l'homme, au moment de la tentation, un mal manifeste, mais un bien apparent. Ainsi, au début, il ne détourne que légèrement l'homme de son orientation générale antérieure, mais suffisamment pour ensuite l'amener plus facilement à pécher. A ce sujet, l'Apôtre écrit aux Corinthiens (2 ép., 11, 14) : Rien d'étonnant (si de faux apôtres se camouflent en apôtres du Christ), Satan lui-même se déguise bien, lui, en ange de lumière.

Après avoir amené l'homme à pécher, Satan l'enchaîne ensuite pour l'empêcher de se relever de ses fautes.

Ainsi donc le démon fait deux choses : il trompe l'homme et il maintient l'homme trompé dans son péché.

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      84  - 3° Le monde, de son côté, nous tente de deux manières.

       Il nous tente, en premier lieu, par un désir excessif et immodéré des choses temporelles. La cupidité, dit l'Apôtre (1 Tim., 6, 10), est la racine de tous les maux.

            En second lieu, le monde nous incite au mal par les frayeurs que nous inspirent les persécuteurs et les tyrans. De ce fait, nous sommes enveloppés de ténèbres, dit Jacob (37, 19), Tous ceux qui veulent vivre avec piété dans le Christ Jésus, écrit saint Paul (2 Tim., 3, 12) souffriront persécution. Et à ce propos, le Seigneur a fait cette recommandation à ses disciples (Mt., 10, 2(1) : Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et ne peuvent tuer l'âme.

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      85 - Nous avons montré ce qu'est la tentation, comment et par quoi l'homme est tenté. Examinons maintenant de quelle manière l'homme est délivré de la tentation.

            A ce sujet, il faut remarquer ceci : le Christ nous enseigne à demander au Père NON PAS LA GRACE DE NE PAS ETRE TENTES, mais bien celle d'EVITER DE NOUS ETABLIR PASSIVEMENT dans l'état où nous met la tentation. C'est en effet en surmontant et en dominant la tentation que l'homme MERITE la couronne de gloire incorruptible (cf. 1 Cor., 9, 25 ; 1 Pier., 5, 4). C'est pourquoi saint Jacques (1, 2) déclare : Tenez pour une joie parfaite, mes frères, d'être en butte à toutes sortes d'épreuves. Et l'Ecclésiastique nous avertit (2, 1) : Mon fils, en entrant au service du Seigneur, préparez votre âme à l'épreuve. Saint Jacques déclare encore (1, 12) : Heureux l'homme qui supporte la tentation : sa valeur une fois reconnue, il recevra la couronne de vie. Ainsi donc, Jésus nous enseigne à demander au Père de ne pas nous laisser succomber à la tentation, EN LUI DONNANT NOTRE CONSENTEMENT.  Aucune tentation, dit saint Paul (1 Cor.. 10, 13), ne nous est survenue, qui passât la mesure humaine. Que l'homme soit tenté en effet est chose normale, mais qu'il consente à la tentation et s'y abandonne cela ne l'est pas, mais lui vient du diable.

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      86 - Mais objectera-t-on, puisque le Christ dit très précisément : Ne nous induisez pas en tentation, c'est-à-dire, ne soyez pas cause d'un entraînement et d'une entrée fatale dans la tentation, ne faut-il pas comprendre que c'est Dieu lui-même, plutôt que le diable, qui nous entraîne activement au mal ?

       Je réponds ceci :

            C'est uniquement en permettant le mal et en n'y mettant pas d'obstacle que Dieu, si on peut dire, achemine l'homme au mal. Ainsi Dieu sera dit INDUIRE UN HOMME EN TENTATION, LORSQU'IL RETIRERA SA GRACE, à cause des nombreux péchés de cet homme ; ce qui aura pour effet de faire tomber celui-ci dans le péché. C'est pour être préservé d'un tel malheur, que le Psalmiste demande à Dieu dans sa prière (Ps. 70, 9) : Lorsque mes forces déclineront, Seigneur, ne, m'abandonnez pas.

            Par contre, grâce à la ferveur de la charité qu'il lui donne, Dieu conduit l'homme de telle manière qu'il ne soit pas induit en tentation, au sens que nous avons expliqué plus haut (n° 82, 83). La charité en effet, si minime soit-elle, peut résister à n'importe quel péché. Car les grandes eaux (de la tentation) n'ont pu éteindre l'amour, dit le Cantique des Cantiques (8, 7).

            De même le Seigneur nous dirige par la lumière de l'intelligence ; par elle, il nous montre les œuvres que nous devons accomplir. D'après le Philosophe Aristote, en effet, tout pécheur est un ignorant. - Cette lumière pour bien agir, David la demandait par ces paroles (Ps. 31, 8) : Seigneur, illuminez mes yeux, que je ne m'endorme pas dans la mort. Que mon ennemi ne dise Pas : j'ai triomphé de lui.

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   87 - Cette lumière nous vient par le don d'intelligence.

            Si nous refusons notre consentement à la tentation, nous gardons cette pureté du cœur béatifiée par Jésus, en ces termes (Mt., 5, 8) : Bienheureux les cœurs purs, car ils verront Dieu ; et nous parviendrons à la vision de Dieu.

            Que Dieu nous y conduise effectivement ! (conclue St Thomas d'Aquin)

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        Ce même St Thomas d'Aquin a précisé: '' Il est plus beau d'éclairer que de briller seulement ; de même il est plus beau de transmettre aux autres ce qu'on a contemplé que de contempler seulement. '' Somme théologique (Iia - IIae, q. 188, a. 6 '' Pour connaître un peu plus sa pensée, aller sur le site ........

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     ''  Demeure intacte la prière du Pater Noster en latin... au moins, nous sommes sûrs de ne pas nous tromper !! ''(Père  Olivier Barnay, curé de Pont de Veyle)  

Prière de la communauté

La dévotion au Cœur Immaculé de Marie

L'objectif final est de pratiquer la dévotion au Cœur Immaculé de Marie, telle que Notre Dame nous l'a annoncée à Fatima puis explicité quelques années plus tard à Pontevedra. Suivant notre progression dans cette dévotion, notre prière sera plus ou moins fervente, occupera notre esprit et notre cœur plus ou moins longtemps, pour arriver finalement à satisfaire totalement la demande centrale de cette dévotion : la communion réparatrice des 5 premiers samedis du mois. A notre réveil : Notre prière d'offrande de la journée Divin Cœur de Jésus, je vous offre, par le Cœur Immaculé de Marie, les prières les œuvres et les souffrances de cette journée, en réparation de nos offenses et à toutes les intentions pour lesquelles vous vous immolez continuellement sur l'autel. Je vous les offres en particulier, aux intentions du Souverain Pontife et pour les besoins de votre Sainte Eglise. . Puis tout au long de la journée, l'offrande de tous les sacrifices de la vie quotidienne en récitant si possible à chaque fois, la première prière qu'elle enseigna le 13 juillet 1917 : « Ô mon Jésus, c'est par amour pour vous, pour la conversion des pécheurs et en réparation des outrages commis envers le Cœur Immaculé de Marie » . Nous réciterons notre chapelet tous les jours, en ajoutant après chaque dizaine la deuxième prière enseignée le 13 juillet : « Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l'enfer. Conduisez au Ciel toutes les âmes, spécialement celles qui en ont le plus besoin. ») . Suivant les exigences de Notre Dame, la dévotion réparatrice des premiers samedis du mois consiste en la participation particulière à la prière par excellence de l'Eglise, le saint sacrifice de la Messe, le premier samedi de 5 mois consécutifs, en y ajoutant, avec une intention réparatrice : - La communion en état de grâce. - La récitation du chapelet. - La méditation pendant 15 minutes d'un mystère du rosaire. (Pour tenir compagnie à Notre Dame) - La confession, avec l'intention réparatrice dans les 8 jours qui précédent ou qui suivent cette communion. Il se peut que tenir compagnie à Notre Dame pendant 15 minutes soit difficile au début. Pour commencer, on peut fractionner ces 15 minutes en 5 fois 3 minutes au début de chaque dizaine. . Intention réparatrice : Nous personnaliserons notre réparation envers le Cœur Immaculé de Marie en attribuant à chaque premier samedi une intention particulière, comme Jésus l'a précisé à sœur Lucie. Ainsi nous aurons l'intention de réparer : Premier samedi : Les blasphèmes contre l'Immaculée Conception. Second samedi : Les blasphèmes contre la virginité de Marie Troisième samedi : Les blasphèmes contre sa Maternité divine Quatrième samedi : Les blasphèmes de ceux qui mettent dans le cœur des enfants la haine de cette Mère Immaculée Cinquième samedi : Les offenses contre les saintes images de Marie. . Remarques : Avant et après cette communion réparatrice, on peut dire la prière enseignée par l'ange au cours de sa dernière apparition : (Les prières suivantes n'ont rien d'obligatoire dans le cadre de cette communion) Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, je vous adore profondément et je Vous offre les très précieux Corps, Sang, Âme et Divinité de Jésus-Christ, présent dans tous les tabernacles du monde, en réparation des outrages, sacrilèges et indifférences par lesquels Il est Lui-même offensé. Par les mérites infinis de son Très Saint Cœur et du Cœur Immaculé de Marie, je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs. . Profitons de la présence de ‘'Jésus caché'' dans notre cœur pour lui dire aussi, en reprenant la première prière de l'ange : ‘'Mon Dieu, je crois, j'adore, j'espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n'adorent pas, qui n'espèrent pas, qui ne Vous aiment pas.'' . Nous pouvons aussi nous adresser à Notre Dame avec la prière de consécration que sœur Lucie avait composée le 29 octobre 1986 ‘'Ô Vierge, Mère de Dieu et notre Mère, je me consacre entièrement à votre Cœur Immaculé, avec tout ce que je suis et tout ce que je possède. Prenez-moi sous votre maternelle protection, défendez-moi des périls, aidez-moi à vaincre les tentations qui me sollicitent au mal, et à conserver la pureté de l'âme et du corps. Que votre Cœur Immaculé soit mon refuge et le chemin qui me conduise à Dieu. Accordez-moi la grâce de prier et de me sacrifier pour l'amour de Jésus, pour la conversion des pécheurs et en réparation des péchés commis contre votre Cœur Immaculé. Par votre médiation et en union avec le Cœur de votre divin Fils, je veux vivre pour la Très Sainte Trinité, en qui je crois et j'espère, que j'adore et que j'aime.'' ( Cette prière est une bonne façon de se remémorer la position de St Thomas d'Aquin vis à vis de la tentation )

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9 commentaires

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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