"Vers la fin de la première année du noviciat, mon âme commença à s'assombrir. Je ne ressens aucune consolation dans l'oraison, et la méditation me vient avec beaucoup de difficultés, la peur commence à s'emparer de moi."
Je rentre plus profondément en moi-même et je ne vois qu'une grande misère. Je vois aussi clairement l'immense sainteté de Dieu, je n'ose lever les yeux vers Lui, mais je me jette à Ses pieds, dans la poussière, et je mendie Sa miséricorde."
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6