Vingt-deuxième Heure

Image de la publication

Image web

1)   Vingt-deuxième Heure : de 14h à 15h

  • Prions

Ô mon Seigneur Jésus-Christ, prosterné devant toi, je supplie ton Cœur infiniment amoureux de bien vouloir m’admettre à la méditation des Heures douloureuses de ta Passion durant lesquelles, par Amour pour nous, tu voulus souffrir dans ton Corps adorable et dans ton Âme infiniment sainte, jusqu’à mourir sur la Croix. Daigne me donner ton aide, ta grâce, ton amour, ainsi qu’une profonde compassion à ton endroit et une profonde compréhension de tes Souffrances, pendant que je méditerai sur la vingt-deuxième Heure.

Et pour les Heures sur lesquelles je ne pourrai pas méditer, c’est-à-dire celles pendant lesquelles je serai contraint(e) soit de m’appliquer à mes devoirs journaliers, soit de m’adonner au sommeil, je veux t’offrir la volonté que j’ai de méditer aussi sur elles.  Accepte, ô Seigneur miséricordieux, mon intention d’amour, et fais en sorte que ces heures me profitent et profitent à beaucoup d’autres comme si je les faisais effectivement et saintement.  Entre temps, je te rends grâce, ô Jésus, toi qui m’appelles à m’unir à toi dans la prière, et je me plonge dans tes pensées, tes paroles, ta Volonté et ton amour, en implorant l’aide de ta très sainte Mère et de mon ange gardien. Amen, Fiat.

 

Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour tous ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.

 

Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint Esprit, je Vous adore profondément et Vous offre le très précieux Corps, Sang, Âme et Divinité de Jésus-Christ, présent dans tous les tabernacles de la terre, en réparation des outrages, sacrilèges et indifférences par lesquels Lui-même est offensé. Et par les mérites infinis de son très Saint Cœur, et du Cœur Immaculé de Marie, je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs.

 

  • Troisième Heure d’Agonie sur la Croix

a)    Cinquième parole

« J'ai soif ! ».

Ô mon Crucifié moribond, alors que j'embrasse ta Croix, je ressens le feu qui brûle toute ta Personne infiniment sainte. Ton Cœur bat si fort que, te soulevant les Côtes, il te tourmente de manière déchirante et horrible. Toute ton Humanité infiniment sainte subit une transformation telle qu'elle te rend méconnaissable. L'Amour dont ton Cœur est enflammé, tu ne peux le contenir. Il te brûle et te dessèche tout entier.

Ton Tourment est non seulement celui de la soif corporelle causée par l'effusion de ton Sang, mais bien davantage celui de ta soif ardente du salut de nos âmes. Par l'eau que tu aimerais boire, tu voudrais nous mettre tous en sûreté à l'intérieur de toi. Rassemblant tes forces très affaiblies, tu cries: « J'ai soif ! » Ah ! cette Parole, tu la dis de tout ton divin Cœur: « J'ai soif de ta volonté, de tes affections, de tes désirs, de ton amour. Il n'y a pas d'eau plus fraîche et plus douce que tu puisses me donner que ton âme. De grâce, ne me laisse pas brûler. J'ai une soif ardente ! Non seulement je sens brûler ma Langue et ma Gorge, mais je sens aussi mon Cœur et mes Viscères se dessécher. Pitié pour ma soif, pitié ! » Et dans le délire de cette soif, tu t'abandonnes à la Volonté du Père.

Ah! mon cœur ne peut plus vivre en voyant la cruauté de tes ennemis qui, au lieu d'eau, te donnent du fiel et du vinaigre. Et toi, tu ne les refuses pas ! Ah ! je comprends, c'est le fiel de nos nombreuses fautes et le vinaigre de nos passions non maîtrisées que tu reçois, et qui, au lieu de te restaurer, te brûlent davantage. Ô mon Jésus, voici mon cœur, mes pensées, mes affections, tout mon être, afin que tu te désaltères et donnes un réconfort à ta Bouche brûlée et remplie d'amertume.

Tout ce que j'ai, tout ce que je suis, tout est pour toi, ô mon Jésus. Si mes peines étaient nécessaires pour pouvoir sauver ne serait-ce qu'une seule âme, me voici. Je suis prête à tout souffrir; à toi je m'offre intérieurement. Fais de moi ce qui te plaira davantage.

Je veux réparer la Douleur dont tu souffres à cause des âmes qui se perdent. Je veux réparer la Peine que te donnent les âmes que tu invites à partager ta Tristesse et ton Abandon et qui, au lieu de t'offrir ces souffrances comme soulagement pour ta soif cuisante, te tournent le dos et, ainsi, te font souffrir davantage.

b)   Sixième Parole:

« Tout est consommé ! »

Mon Bien, tu es sur le point de mourir. L'océan incommensurable de tes Peines, le feu qui te consume et, plus que tout, le Vouloir suprême du Père qui veut que tu meures, ne me font plus espérer que tu puisses continuer à vivre. Comment pourrai-je vivre sans toi ?

Les forces te manquent, tes Yeux se voilent, ton Visage se transforme et se couvre d'une pâleur mortelle, ta Bouche est entrouverte, ton Souffle est haletant et intermittent: il n'y a plus d'espoir que tu puisses te ranimer. Au feu qui te brûle, s'ajoute une sueur froide qui te baigne le Front. Tes Muscles et tes Nerfs se contractent de plus en plus à cause de l'âpreté de tes Douleurs et des Blessures des clous; tes Plaies se déchirent encore. Et moi, je tremble et me sens mourir. Je te regarde, ô mon Bien, et je vois descendre de tes Yeux tes dernières Larmes, signes avant-coureurs de ta mort, tandis qu'à grand-peine tu fais entendre encore une Parole: « Tout est consommé ! »

Ô mon Jésus, tu as déjà tout épuisé. Il ne te reste rien d'autre. L'Amour est parvenu à son terme. Et moi, me suis-je consumée tout entière par amour ? Quels remerciements ne devrais-je pas te faire, quelle ne devrait pas être ma gratitude envers toi ? Ô mon Jésus, je veux réparer pour tous, réparer nos manques de retour d'Amour et te consoler des affronts que tu reçois de la part des gens tandis que tu te consumes d'Amour sur la Croix.

c)    Septième Parole:

« Entre tes Mains, ô Père, je remets mon Esprit ! »

Mon Jésus crucifié, tu en es à tes dernières Respirations, ton Humanité infiniment sainte se raidit, ton Cœur ne semble plus battre. Avec Marie-Madeleine, j'embrasse tes Pieds et je voudrais, si c'était possible, donner ma vie pour ranimer la tienne.

Et je vois, ô Jésus, que tu ouvres tes Yeux moribonds et regardes autour de la Croix comme si tu voulais faire ton dernier adieu à tous. Tu regardes ta Maman mourante qui n'a plus de Mouvement ni de Voix, tant sont grandes ses Peines, et tu dis: « Adieu, Maman, moi je pars, mais je te garderai dans mon Cœur. Prends soin de nos enfants. » Tu regardes Marie-Madeleine qui pleure, le fidèle Jean et, par tes Regards, tu leur dis: « Adieu ! »

Avec Amour, tu regardes tes ennemis et, par tes Regards, tu leur dis: « Je vous pardonne, je vous donne le Baiser de paix. » À ton Regard, rien n'échappe. De tous, tu prends congé. Tu pardonnes à tous. Puis tu rassembles toutes tes forces et d'une Voix forte tu cries : « Père, entre tes Mains, je remets mon Esprit ! » Et, baissant la tête, tu expires.

Mon Jésus, à ce cri, la nature est toute bouleversée et pleure ta mort, la mort de son Créateur ! La terre tremble et, par son tremblement, elle semble pleurer et vouloir secouer les âmes pour les amener à te reconnaître comme le vrai Dieu. Le voile du Temple se déchire, des morts ressuscitent, le soleil qui jusqu'ici a pleuré tes Peines, a retiré avec effroi sa lumière. À ce cri, tes ennemis s'agenouillent, se frappent la poitrine et disent: « Vraiment, celui-ci est le Fils de Dieu ! » Et ta Mère, pétrifiée et mourante, souffre des Peines plus dures que la mort.

Mon Jésus mort, par ce cri tu nous mets nous aussi entre les Mains du Père, pour qu'il ne nous rejette pas. Par conséquent, tu cries fort non seulement de ta Voix corporelle, mais par toutes tes Peines et tout ton Sang : « Père, entre tes Mains, je remets mon Esprit et toutes les âmes ! » Ô mon Jésus, avec toi, je m'abandonne aussi entre les mains du Père. Donne-moi la Grâce de mourir complètement dans ton Amour, dans ton Vouloir. Je te prie de ne jamais me permettre, ni en cette vie ni à ma mort, de quitter ta Volonté infiniment sainte.

Et je veux réparer pour tous ceux qui ne s'abandonnent pas parfaitement à ta Volonté infiniment sainte, perdant ainsi ou affaiblissant en eux le précieux fruit de ta Rédemption. Quelle n'est pas la Douleur de ton Cœur, ô mon Jésus, de voir tant de créatures qui s'enfuient de tes Bras et ne comptent que sur elles-mêmes ? Pitié pour tous, ô mon Jésus, pitié pour moi. Je baise ta Tête couronnée d'épines et je te demande pardon pour mes nombreuses pensées d'orgueil, d'ambition et d'amour propre, et je te promets que chaque fois qu'il me viendra une pensée qui ne soit pas toute pour toi ou que je me trouverai dans une occasion de t'offenser, je crierai immédiatement : « Jésus et Marie, je vous recommande mon âme ! »

Ô Jésus, je baise tes beaux Yeux encore baignés de Larmes et tout couverts de Sang coagulé, et je te demande pardon pour toutes les fois où je t'ai offensé par des regards mauvais ou immodestes. Je te promets que chaque fois que mes yeux seront portés à s'arrêter aux choses de la terre, je crierai immédiatement: « Jésus et Marie, je vous recommande mon âme ! »

Ô mon Jésus, je baise tes Oreilles infiniment sacrées, accablées par tant d'insultes et d'horribles blasphèmes, et je te demande pardon pour toutes les fois que j'ai écouté ou fait écouter des paroles qui éloignent de toi. Je te demande pardon également pour toutes les conversations mauvaises faites par les créatures. Je te promets que chaque fois que je me trouverai dans l'occasion d'entendre des conversations inconvenantes, je crierai immédiatement: « Jésus et Marie, je vous recommande mon âme ! »

Ô mon Jésus, je baise ton Visage infiniment saint, livide et ensanglanté, et je te demande pardon pour les nombreux mépris, affronts et insultes que tu reçois de nous, viles créatures pécheresses. Je te promets que chaque fois que me viendra la tentation de ne pas te donner toute la gloire, l'Amour et l'adoration qui te sont dus, je crierai immédiatement: « Jésus et Marie, je vous recommande mon âme ! »

Ô mon Jésus, je baise ta Bouche infiniment sacrée, desséchée et remplie d'amertume. Je te demande pardon pour toutes les fois que je t'ai offensé par mes conversations mauvaises, pour toutes les fois que j'ai contribué à te remplir d'amertume et à augmenter ta soif. Je promets que chaque fois que me viendra la pensée d'entretenir des conversations qui pourraient t'offenser, je crierai immédiatement: « Jésus et Marie, je vous recommande mon âme ! »

Ô mon Jésus, je baise ton Cou infiniment saint, où je vois encore les marques des chaînes et des cordes qui t'ont tyrannisé. Je te demande pardon pour nos nombreux attachements aux créatures, attachements qui ont augmenté les chaînes et les cordes autour de ton Cou infiniment sacré. Je te promets que chaque fois que je me sentirai troublée par des attachements, des désirs et des affections qui ne sont pas pour toi, je crierai immédiatement: « Jésus et Marie, je vous recommande mon âme ! »

Mon Jésus, je baise tes Épaules infiniment saintes et je te demande pardon pour les nombreuses satisfactions illicites, les nombreux péchés commis avec les cinq sens de mon corps. Je te promets que chaque fois que me viendra la pensée de me procurer des plaisirs ou satisfactions qui ne soient pas pour ta Gloire, je crierai immédiatement: « Jésus et Marie, je vous recommande mon âme ! »

Mon Jésus je baise ta Poitrine infiniment sainte et je te demande pardon pour les nombreuses froideurs, indifférences, tiédeurs et ingratitudes que tu reçois des créatures. Je te promets que chaque fois que je sentirai se refroidir mon amour pour toi, je crierai immédiatement: «Jésus et Marie, je vous recommande mon âme!»

Mon Jésus, je baise tes Mains infiniment sacrées. Je te demande pardon pour toutes nos œuvres mauvaises ou indifférentes, nos nombreuses actions guidées par l'amour propre, la vanité ou le respect humain. Je te promets que chaque fois que me viendra la pensée de ne pas agir seulement par amour pour toi, je crierai immédiatement: « Jésus et Marie, je vous recommande mon âme ! »

Ô mon Jésus je baise tes Pieds infiniment saints et je te demande pardon pour les nombreux pas faits sans intention droite, les nombreuses rues fréquentées pour faire le mal. Pardon pour les nombreuses âmes qui s'éloignent de toi pour aller à la recherche des plaisirs terrestres. Je te promets que chaque fois que me viendra la pensée de m'éloigner de toi, je crierai immédiatement: « Jésus et Marie, je vous recommande mon âme ! »

Ô Jésus, je baise ton Coeur infiniment sacré. Je veux m'enfermer en lui et y enfermer toutes les âmes rachetées par toi, pour que toutes soient sauvées, sans aucune exception.

Ô Jésus, enferme-moi dans ton Coeur et fermes-en les portes, de sorte que je ne puisse voir que toi. Je te promets que chaque fois que me viendra la pensée de vouloir sortir de ce Cœur, je crierai immédiatement: « Jésus et Marie, à vous je donne mon coeur et mon âme ! »

  • Troisième Heure d’Agonie sur la Croix – Réflexions et pratiques

Jésus brûle de soif. Et nous, brûlons-nous d'amour pour lui ? Nos pensées et nos affections ont-elles toujours pour but d'étancher sa soif ardente ?

Jésus assoiffé, ne pouvant supporter la soif qui le brûle, dit: « Tout est consommé!! » Jésus s'est sacrifié tout entier pour nous. Et nous, en toute chose, nous efforçons-nous d'être continuellement consumés d'amour pour lui ? Toutes les Actions, Paroles et Pensées de Jésus le portaient vers le sacrifice total de lui-même. Et nous, chacune de nos actions, paroles et pensées nous poussent-elles à nous consumer d'amour pour lui ?

Ô Jésus, ma douce Vie, que ton Haleine moribonde pénètre dans mon pauvre cœur pour que je puisse recevoir l'empreinte de ton Sacrifice total.

Sur la Croix, Jésus accomplit en toute chose la Volonté du Père et expire dans un Acte de parfait abandon à cette Volonté infiniment sainte. Et nous, accomplissons-nous en toute chose la Volonté de Dieu ? Nous abandonnons-nous parfaitement à son Vouloir sans nous demander s'il nous en vient du bien ou du mal, contents de seulement nous trouver abandonnés dans ses Bras infiniment saints ? Sommes-nous toujours disposés à mourir à nous-mêmes par amour pour Jésus ?

Pouvons-nous dire que bien que nous vivions, nous ne vivons pas par nous-mêmes, c'est-à-dire que nous sommes morts à tout pour ne vivre que de la Vie de Jésus ? Est-ce que tout ce que nous faisons, pensons, désirons, aimons, attire en nous la Vie de Jésus pour que meurent en lui nos paroles, nos pas, nos désirs, nos pensées ?

Ô mon Jésus, que ma vie soit une mort continuelle par amour pour toi, et que toute mort que je subis soit une vie que je donne à toutes les âmes.

  • Remerciements et offrandes

Mon aimable Jésus, tu m’as appelé durant cette Heure de la Passion à te tenir compagnie, et je suis venu.  Il m’a semblé te voir prier, réparer et souffrir et, avec les Paroles les plus tendres, plaider pour le salut des âmes.  J’ai cherché à te suivre en tout.  Avant de te laisser, je veux te dire un « MERCI » et un « SOIS BÉNI ».  Oui, ô Jésus, merci mille fois.  Je te loue et te bénis pour tout ce que tu as fait et souffert pour moi et pour tous.  Je te dis merci et je te bénis pour chaque goutte de ton Sang et chacune de tes Larmes versées, pour chacune de tes Respirations, chaque Battement de ton Cœur, chacun de tes Pas, de tes Paroles et de tes Regards, et pour chaque offense que tu as supportée pour nous.  De grâce, fais en sorte, ô mon Jésus, que tout mon être t’envoie un flot continue de remerciements et de bénédictions, de sorte que cela attire sur moi et sur toutes les créatures les flots de tes Grâces et de tes Bénédictions.

Ô Jésus, serre-moi sur ton Cœur avec tes Mains infiniment saintes :  marque toutes les parcelles de mon être de ton « je te bénis », de sorte que rien ne sorte de moi sauf un hymne d’amour ininterrompu pour toi!  Je m’abandonne à toi et je veux te suivre en tout.  Je laisse mes pensées en toi pour qu’elles te défendent de tes ennemis; mes respirations pour qu’elles te servent de cortège et te tiennent compagnie; les battements de mon cœur pour te dire sans cesse « je t’aime » et pour te dédommager de l’amour que ne te donnent pas les autres créatures; les gouttes de mon sang en offrande de réparation et pour te restituer les hommes et l’estime dont te privent tes ennemis; finalement tout mon être pour te garder.

MON DOUX AMOUR, bien que je doive vaquer à mes affaires, je reste dans ton Cœur et je crains d’en sortir.  Tu me garderas en toi, n’est-ce pas?  Nos battements de cœur s’entendront l’un l’autre et se confondront, de sorte qu’ils me donneront vie, amour, et union étroite et inséparable avec toi.  Mon Jésus, si tu vois que je suis sur le point de te fuir, que tes Battements de Cœur s’accélèrent dans mon cœur, que tes Mains me pressent plus fortement sur ton Cœur, que tes Yeux me regardent et me jettent des flèches de feu, afin que, te ressentant, je me laisse tout de suite gagner à rester avec toi.

Je t’en prie, ô mon Jésus, donne-moi le Baiser de l’Amour divin et bénis-moi.  Et moi, je baise ton Cœur infiniment doux et je reste en toi.

Que la bénédiction de Dieu, le Tout-Puissant, Père et Fils et Esprit-Saint, descende sur moi et y demeure à jamais. AMEN.

Prière de la communauté

Mon Père, je m’abandonne à Vous (Bx Charles de Foucauld)

Mon Père, je m’abandonne à Vous, faites de moi tout ce qu’il vous plaira. Quoique vous fassiez de moi, je vous remercie. Je suis prêt à tout. J’accepte tout, pourvu que votre volonté se fasse en moi, en toutes vos créatures ; je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre vos mains, je vous la donne, ô mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je vous aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre vos mains, sans mesure, avec une infinie confiance car vous êtes mon Père !

Merci ! 24 personnes ont prié

2 commentaires

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

loader

Les 24 Heures de la Passion de Notre Seigneur Jésus

Je m'inscris