« Celui qui sème le bon grain, c’est le Fils de l’homme »
Le Mariage d’Osée et Gomer, enluminure tirée de la Bible historiale (xive s.), Ms 21, fol 102, Pierre le Mangeur (xiie s.), Paris,
Bibliothèque Sainte-Geneviève. © akg-images / Jean-Claude Varga.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 13, 36-43
En ce temps-là, laissant les foules, Jésus vint à la maison. Ses disciples s’approchèrent et lui dirent : « Explique-nous clairement la parabole de l’ivraie dans le champ. » Il leur répondit : « Celui qui sème le bon grain, c’est le Fils de l’homme ; le champ, c’est le monde ; le bon grain, ce sont les fils du Royaume ; l’ivraie, ce sont les fils du Mauvais. L’ennemi qui l’a semée, c’est le diable ; la moisson, c’est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges. De même que l’on enlève l’ivraie pour la jeter au feu, ainsi en sera-t‑il à la fin du monde. Le Fils de l’homme enverra ses anges, et ils enlèveront de son Royaume toutes les causes de chute et ceux qui font le mal ; ils les jetteront dans la fournaise : là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Celui qui a des oreilles, qu’il entende ! »
Ignace, la violence pour le Royaume
La rudesse d’Ignace tranche même sur celle de ses contemporains.
Celui que Dieu a saisi découvre seulement, si l’on peut dire, un monde entièrement nouveau où les perspectives sont renversées. La seule force qui soit invincible y gît dans l’extrême faiblesse, qui vaut celle de Jésus en croix.
François Sureau
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6