Mystères de la vie future : L’Enfer 6 sur 6

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Dans le rite extrordinaire, l'Eglise fête ce jour St Dominique.

           

               Pour nous en particulier, priant de cette communauté, c’est le premier samedi du mois de l’année consacré au Cœur Immaculé de Marie. Rappelons que c’est la raison d’être de ce groupement de fidèle de l’Eglise catholique, suivre les recommandations données par Notre Dame à Fatima, connaître, pratiquer, et répandre la communion réparatrice des 5 premiers samedis du mois.

        Saint Dominique est surtout connu pour avoir répandu la pratique du Rosaire qu’il a reçu de Notre Dame pour combattre l’hérésie des albigeois. Le chapelet est calqué sur le psautier qui comporte 150 psaumes. A Fatima Notre Dame s’est présentée comme Notre Dame du Rosaire et a demandé aux petits voyants, à chacune de ses 6 apparitions de réciter le chapelet tous les jours.

                    A qui récite le chapelet cinq mois de suite le premiers samedis, l’accompagne d’une communion ce jour précis, d’une méditation de 15 minutes sur les mystères du rosaire, précédé ou suivi d’une confession dans les 8 jours, le tout en esprit de réparation, Notre Dame, promet le salut (Pontevedra le 10 décembre 1925).

          La messe qui sera célébrée pour vous le 15 août prochain  dans l’Eglise du Rosaire à Mérigny, sur l’autel principal, a côté de la statue de Notre Dame de Fatima, vous donnera des grâces pour commencer, poursuivre, ou recommencer pour une autre âme en danger de se perdre, cette dévotion réparatrice. 

       En ce premier samedi du mois, je vous recommande la lettre de liaison N° 79 du site CAP Fatima 2017 avec le lien https://www.fatima100.fr/

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          Voici maintenant comment l'abbé Arminjon termine sa conférence sur l'Enfer qu'il a intitulée '' de l'éternité des peines et de la destrinée malheureuse'' . Nous termeinerons ces 6 exposés par quelques considérations générales sur ce lieu.

            [   ] La mort a mis le pécheur dans un état qui ne lui laisse plus de choix : il sait, il est certain d'une certitude qui accable son libre arbitre ; il reste confirmé dans une haine, dans un orgueil se grossissant de ses larmes et de son désespoir. Pour susciter en lui un regret salutaire et méritoire, il lui faudrait une grâce. Or, cette grâce, il ne la demande pas, il ne la désire pas, il ne la veut pas ; il déteste sa peine à la vérité, mais il hait souverainement Dieu, et en même temps les dons et les lumières qui émanent du Cœur de Dieu.

            Mais Dieu est-il juste et n'excède-t-il pas toutes proportions, en punissant d'une éternité de supplices une faute éphémère consommée en un seul instant ? - Ici le raisonnement est impuissant, car Dieu est le plus grand des mystères ; le péché est un mystère aussi insondable que la majesté de celui qu'il offense, et la peine due à sa malice est encore un mystère sans bornes que l'esprit humain ne parviendra jamais à scruter.

            Tout ce que nous pouvons dire, c'est que si l'on considère la personne de Dieu, l'injure qui lui est faite par le péché est une injure infinie ; or l'homme, à cause de sa nature bornée, ne pouvant subir une peine infinie en rigueur et en intensité, il est de toute justice qu'il subisse une peine infinie en durée. - La justice humaine est l'image et l'esquisse de la justice divine. [   ] Les tribunaux de la terre condamnent les crimes, non pas à cause de leur difformité intrinsèque et parce qu'ils offensent Dieu, mais parce qu'ils sont nuisibles et dommageables au bien et à la bonne ordonnance des sociétés humaines. Et cependant, ils ont le droit de punir d'une peine perpétuelle un meurtrier dont le crime n'a duré qu'un instant, de le supprimer à jamais de la société, parce qu'il a violé l'ordre moral et humain. A plus forte raison, Dieu a-t-il le droit de punir d'une peine perpétuelle et de bannir à jamais de la société céleste, celui qui a violé l'ordre universel et divin.

 

            [   ] Enfin, dirons-nous, l’amour est tout-puissant, il a des secrets des excès dont nos cœurs ne sauraient avoir le soupçon, et, quoi que l'on dise, il ne peut consentir à perdre éternellement la créature, œuvre de ses mains et rachetée de son sang. Ah ! L’amour nous pourrions l'opposer à la justice, si c'était la justice qui  punît; mais la justice s'est désarmée il y a dix-neuf siècles, sur le Calvaire; au pied de la croix elle a signé quittance à l’'humanité des dettes que celle-ci avait contractées par ses crimes, elle a brisé le glaive de ses rigueurs pour ne plus s'en ressaisir.

            Ecoutons saint Paul : « Quel est celui qui accusera devant les élus de Dieu ? Le Dieu qui justifie. Quel est celui qui condamne ? Le Christ Jésus, celui qui est mort, qui est ressuscité, qui est assis à la droite de Dieu et qui ne cesse d'interpeller pour nous »

            Or, c'est parce que la malédiction vient de l'amour qu'il ne saurait y avoir de rédemption.

            Si c'était la justice qui punît, l'amour pourrait s'interposer encore une fois sur la montagne et dire : Grâce, pitié, mon Père, épargnez l’homme, et agréez en échange de la mort qui lui est due, l’hommage de ma chair et de mon sang !...

            Mais, lorsque c'est celui-là même, qui est pour nous plus qu'un frère, plus qu'un ami le plus  tendre... qui resserre ce cœur dévoré de tendresse, et le convertit en un foyer inépuisable de haine, comment l’ingratitude de l’homme qui a opéré cette transformation, d'autant plus épouvantable qu'elle est plus contre nature, oserait-elle se promettre une espérance et un abri ?

            O vous, qui une fois ou l'autre, sur cette terre, avez aimé d’un amour sincère, brûlant, illimité, vous connaissez les exigences et les lois de l’amour... L'amour s'offre longtemps, il s'offre avec insistance et avec excès, il souffre, il se dévoue sans réserve, il s'abaisse, il se fait petit... Mais il est une chose qui le rend implacable et qu'il ne pardonne jamais, c'est le mépris qui s'obstine, le mépris jusqu'à la fin.

            Allez donc, maudits, dira le Sauveur au jour de son jugement. J'avais tout fait pour vous, je vous avais donné ma vie, mon sang, ma divinité, mon être; et en échange de mes libéralités infinies, je ne vous demandais que cette simple parole : Je t'obéis, je t'aime. Vous m'avez constamment dédaigné, et vous n'avez répondu à mes avances, que par ces paroles : Va, je te préfère mes grossiers intérêts et mes brutales voluptés...

            Soyez vous-mêmes vos juges, ajoutera le Sauveur : Quelle sentence porteriez-vous contre l'être le plus chéri et le plus adoré, qui vous aurait opposé la même indifférence et la même dureté ?

            Ce n'est pas moi qui vous réprouve, c'est vous-mêmes qui vous êtes maudits. Vous avez choisi, de votre plein gré, la cité ou l'égoïsme, la haine, la révolte ont assis leur empire. Je retourne dans le Ciel ou sont mes anges, et j'y reporte ce Cœur, objet de vos insultes et de vos dédains. Soyez les fils de votre choix, restez avec vous-mêmes, avec ce ver qui ne meurt pas, avec ce feu qui ne s'éteint pas.

            Tremblons, mais aussi soyons saisis d'une vive et inébranlable confiance ! La damnation est l'œuvre de l'amour. C'est la miséricorde incarnée qui fixera notre sort et portera l'éternelle sentence. Il est donc aisé de la conjurer pendant le temps que dure la vie présente. L'amour, ici-bas, n'exige pas une parité parfaite entre la faute et la peine. Il se contente de peu, d'un soupir, d'un bon vouloir... Jésus-Christ nous ouvre son Cœur, nous sommes le prix de son sang et sa conquête; il nous destine l'éternité, non pas une éternité de larmes et de souffrances, mais une éternité de béatitude que nous posséderons avec lui, dans le sein de son Père, en union avec l'Esprit-Saint et au foyer même de sa gloire.

 Ainsi soit-il.

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           Complétons cette conférence en citant Maria Simma dont nous avons parlé le 30 juin dernier :

                Dans la nuit de la Toussaint une âme lui dit : « Aujourd’hui, jour de la Toussaint, mourront dans ce village deux personnes qui sont en danger de damnation. Elles ne peuvent être sauvées que si l’on prie avec insistance pour elle. »

                Maria Simma pria ; elle fut aidée par d’autres personnes encore. La nuit suivante une âme lui dit que les deux avaient échappé à l’Enfer et étaient arrivé en Purgatoire. L’un des deux malades s’était fait administrer les derniers sacrements ; l’autre les avait refusés. Selon les dires des âmes du Purgatoire, beaucoup iraient en enfer parce qu’on prie trop peu pour eux. (Comme l’a dit Notre Dame à Fatima le 19 aout 1917 !)

                Si, matin et soir, on récitait cette prière indulgenciée et trois Ave Maria, pour ceux qui vont mourir le jour même : on pourrait sauver beaucoup d’âmes de l’Enfer.

           Voici cette prière « Ô très miséricordieux Jésus, vous qui brûlez d’un si ardent amour pour les âmes, je vous en conjure par l’agonie de votre très Saint Cœur, et par les douleurs de votre Mère Immaculée, purifiez de votre sang tous les pécheurs de la terre qui sont à l’agonie et qui aujourd’hui même doivent mourir. Cœur agonisant de Jésus ayez pitié des mourants »

                Maria Simma vit un jour des âmes nombreuses sur la balance, entre l’Enfer et le Purgatoire.

        Et pour que l'âme d'un de nos proches ne soit pas dans cette situation critique, commençons ce jour, pour elle, si nous le pouvons, notre série de 5 communions réparatrice des premiers samedis du mois. Elle sera préservée de l'Enfer, Notre Dame l'a garanti, mais pas du Purgatoire . 

 

            Conclusion de ces 6 présentations sur l'Enfer:

            Notre Dame à Fatima nous a mis en garde contre le danger de cette perte éternelle. Elle a provoqué une frayeur presque mortelle chez les petits voyants en leur montrant l’Enfer sous son aspect le plus terrible:  son feu. 

            Jacinthe en a été très marquée et en parlait souvent, regrettant que sa cousine n’ait pas demandé à Notre Dame de montrer l’Enfer à la foule qui les entourait. Le 13 octobre 1917, Notre Dame a montré à cette foule un feu terrifiant (Les gens ont cru que la chute du soleil était la fin du monde), puis un feu bienfaisant (Une douce chaleur a séché leurs vêtements).

            Familièrement parlant, ce 13 octobre, Notre Dame avait utilisé ‘’la carotte et le bâton’’, mais c’est ‘’ le bâton ‘’ avec toute sa force qu’Elle avait montré aux enfants et avait voulu que nous retenions, en mettant cette vision en début du secret en 3 parties.  

            Au moment des apparitions, de Fatima, l’Eglise définissait l’Enfer comme Notre Dame l’avait montré aux enfants (Catéchisme de St Pie X, N° 46 ),  c’est-à-dire en reprenant la réalité du ''bâton'' : « Un lieu de tourments auxquelles sont condamnées tous ceux qui par leurs crimes se sont révoltés contre l’ordre de la Providence ou de la prédestination et ont été fixé dans ces crimes de façon à n’en convertir jamais [   ] Les peines et les tourments qu’ils méritent en raison de leurs crimes dureront toujours et ne finiront jamais [   ] Ces peines sont de deux sortes ; savoir : la peine du dans et la peine du sens. [   ] Le feu doit s’entendre au sens d’un feu matériel ; car il désigne proprement la peine du sens »

      (La dernière parole de l’ange du Portugal à l’automne 1916 avait été : Prenez et buvez le Corps et !e Sang de Jésus-Christ, horriblement outragé par les hommes ingrats. Réparez leurs crimes et consolez votre Dieu.")

            La définition actuelle (catéchisme de l’Eglise catholique, 15 août 1997, N° 1035, précise : « .[   ] Les âmes de ceux qui meurent en état de péché mortel descendent immédiatement après la mort dans les enfers, ou elles souffrent les peines de l’enfer, ‘’le feu éternel’’ [   ] La peine principale de l’enfer consiste en la séparation éternelle d’avec Dieu en qui seul l’homme peut avoir la vie et le bonheur pour lesquels il a été créé et auxquels il aspire.»

            Suivons les commandements de Dieu et de l’Eglise, à défaut de les suivre ‘’par amour de ce que le Christ à fait pour nous’’, suivons les au moins par crainte de l’Enfer. (Que l'on n'offense pas davantage Dieu, Notre-Seigneur, car Il est déjà trop offensé) ont été les dernières paroles de Notre Dame à Fatima.

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       N’oublions pas la prière à St Michel Archange que le pape Léon XIII avait demandé de réciter à la fin de chaque messe basse. Elle nous rappelait ce danger permanent auquel nous sommes toujours exposés. Notre Dame à son tour, quelques années plus tard, 5 fois par chapelet nous a demandé de prier son Fils, pour nous d'abord : ‘’Préserver nous du feu de l’Enfer’’ et pour les autres ensuite : ‘’ conduisez au Ciel toutes les âmes’’. Ce n’est pas par la séparation d’avec Dieu qu’Elle a présenté l’Enfer, mais bien par son feu. Car c’est une peine que chacun conçoit bien, en effet nous avons tous éprouvé cette douleur, si intense, à un moment ou l’autre de notre vie.

            Dans nos paroisses, à défaut de prières adressées par le prêtre à St Michel Archange, faisons en sorte que lorsqu’un chapelet est organisé, la demande que Notre Dame a formulée juste après la communication du secret en 3 parties ne soit pas oubliée.  '' O Mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez nous du feu de l'enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, secourant surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde "

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            Saint Michel archange, défendez-nous dans le combat : soyez notre secours contre la méchanceté et les embûches du démon. Que Dieu lui commande, nous le demandons en suppliant : et vous, prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la puissance divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde EN VUE DE PERDRE LES ÂMES.

Prière de la communauté

La dévotion au Cœur Immaculé de Marie

L'objectif final est de pratiquer la dévotion au Cœur Immaculé de Marie, telle que Notre Dame nous l'a annoncée à Fatima puis explicité quelques années plus tard à Pontevedra. Suivant notre progression dans cette dévotion, notre prière sera plus ou moins fervente, occupera notre esprit et notre cœur plus ou moins longtemps, pour arriver finalement à satisfaire totalement la demande centrale de cette dévotion : la communion réparatrice des 5 premiers samedis du mois. A notre réveil : Notre prière d'offrande de la journée Divin Cœur de Jésus, je vous offre, par le Cœur Immaculé de Marie, les prières les œuvres et les souffrances de cette journée, en réparation de nos offenses et à toutes les intentions pour lesquelles vous vous immolez continuellement sur l'autel. Je vous les offres en particulier, aux intentions du Souverain Pontife et pour les besoins de votre Sainte Eglise. . Puis tout au long de la journée, l'offrande de tous les sacrifices de la vie quotidienne en récitant si possible à chaque fois, la première prière qu'elle enseigna le 13 juillet 1917 : « Ô mon Jésus, c'est par amour pour vous, pour la conversion des pécheurs et en réparation des outrages commis envers le Cœur Immaculé de Marie » . Nous réciterons notre chapelet tous les jours, en ajoutant après chaque dizaine la deuxième prière enseignée le 13 juillet : « Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l'enfer. Conduisez au Ciel toutes les âmes, spécialement celles qui en ont le plus besoin. ») . Suivant les exigences de Notre Dame, la dévotion réparatrice des premiers samedis du mois consiste en la participation particulière à la prière par excellence de l'Eglise, le saint sacrifice de la Messe, le premier samedi de 5 mois consécutifs, en y ajoutant, avec une intention réparatrice : - La communion en état de grâce. - La récitation du chapelet. - La méditation pendant 15 minutes d'un mystère du rosaire. (Pour tenir compagnie à Notre Dame) - La confession, avec l'intention réparatrice dans les 8 jours qui précédent ou qui suivent cette communion. Il se peut que tenir compagnie à Notre Dame pendant 15 minutes soit difficile au début. Pour commencer, on peut fractionner ces 15 minutes en 5 fois 3 minutes au début de chaque dizaine. . Intention réparatrice : Nous personnaliserons notre réparation envers le Cœur Immaculé de Marie en attribuant à chaque premier samedi une intention particulière, comme Jésus l'a précisé à sœur Lucie. Ainsi nous aurons l'intention de réparer : Premier samedi : Les blasphèmes contre l'Immaculée Conception. Second samedi : Les blasphèmes contre la virginité de Marie Troisième samedi : Les blasphèmes contre sa Maternité divine Quatrième samedi : Les blasphèmes de ceux qui mettent dans le cœur des enfants la haine de cette Mère Immaculée Cinquième samedi : Les offenses contre les saintes images de Marie. . Remarques : Avant et après cette communion réparatrice, on peut dire la prière enseignée par l'ange au cours de sa dernière apparition : (Les prières suivantes n'ont rien d'obligatoire dans le cadre de cette communion) Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, je vous adore profondément et je Vous offre les très précieux Corps, Sang, Âme et Divinité de Jésus-Christ, présent dans tous les tabernacles du monde, en réparation des outrages, sacrilèges et indifférences par lesquels Il est Lui-même offensé. Par les mérites infinis de son Très Saint Cœur et du Cœur Immaculé de Marie, je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs. . Profitons de la présence de ‘'Jésus caché'' dans notre cœur pour lui dire aussi, en reprenant la première prière de l'ange : ‘'Mon Dieu, je crois, j'adore, j'espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n'adorent pas, qui n'espèrent pas, qui ne Vous aiment pas.'' . Nous pouvons aussi nous adresser à Notre Dame avec la prière de consécration que sœur Lucie avait composée le 29 octobre 1986 ‘'Ô Vierge, Mère de Dieu et notre Mère, je me consacre entièrement à votre Cœur Immaculé, avec tout ce que je suis et tout ce que je possède. Prenez-moi sous votre maternelle protection, défendez-moi des périls, aidez-moi à vaincre les tentations qui me sollicitent au mal, et à conserver la pureté de l'âme et du corps. Que votre Cœur Immaculé soit mon refuge et le chemin qui me conduise à Dieu. Accordez-moi la grâce de prier et de me sacrifier pour l'amour de Jésus, pour la conversion des pécheurs et en réparation des péchés commis contre votre Cœur Immaculé. Par votre médiation et en union avec le Cœur de votre divin Fils, je veux vivre pour la Très Sainte Trinité, en qui je crois et j'espère, que j'adore et que j'aime.'' ( Cette prière est une bonne façon de se remémorer la position de St Thomas d'Aquin vis à vis de la tentation )

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6 commentaires

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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