Merci !

Chers priants,

Nous voici parvenus au terme de notre neuvaine de prière. Pourtant, l'aventure ne fait que commencer... 


La prière pour les prêtres, ça continue !

Que dans l'été qui s'ouvre, notre attention pour les prêtres, éveillée par ces quelques jours de prière, demeure vive. Gardons au cœur cette prière pour les prêtres et pour les vocations. Profitons des jours privilégiés qui nous seront donnés pour prier Dieu d'appeler des ouvriers pour la moisson et de soutenir dans leur ministère les prêtres qu'il nous donne. Pourquoi ne pas participer aussi aux ordinations sacerdotales qui approchent dans nos diocèses ?

La fête de saint Jean-Marie Vianney, le 4 août, est un autre temps fort de cette prière. Et tout autre jour où nous déciderons, si nous le pouvons, d'aller à la messe et d'offrir notre communion pour tel ou tel prêtre. 

N'hésitez pas à venir en pèlerinage à la Basilique Notre-Dame des Victoires pour confier un prêtre à la Mère des prêtres !

Nous vous invitons enfin à découvrir le site internet du petit groupe qui a porté cette retraite, la « Mission Marie Mère des Prêtres » : une belle façon de s'engager pour soutenir la sainteté des prêtres et des séminaristes ! Cliquez ici pour en savoir plus ! 

La neuvaine s'achève, mais la prière pour les prêtres, ça continue !

Très Sainte Vierge Marie, Notre-Dame des Victoires, Mère des Prêtres, vous qui veillez avec une maternelle sollicitude sur les prêtres du monde entier, intercédez pour eux, portez notre prière à votre Fils. Amen.

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Une dernière vidéo : la veillée "Vocations" à Notre-Dame des Victoires, animée par le P. Duteurtre, supérieur du séminaire de Paris

Prière de la communauté

Acte d'Amour du Saint Curé d'Ars

Je vous aime, ô mon Dieu, et mon seul désir est de vous aimer jusqu'au dernier soupir de ma vie. Je vous aime, ô Dieu infiniment aimable, et j'aime mieux mourir en vous aimant que de vivre un seul instant sans vous aimer. Je vous aime, ô mon Dieu, et je ne désire le ciel que pour avoir le bonheur de vous aimer parfaitement. Je vous aime, ô mon Dieu et je n'appréhende l'enfer que parce qu'on y aura jamais la douce consolation de vous aimer. Ô mon Dieu, si ma langue ne peut dire à tout moment que je vous aime, du moins je veux que mon cœur vous le répète autant de fois que je respire. Ah ! Faites-moi la grâce de souffrir en vous aimant, de vous aimer en souffrant, et d'expirer un jour en vous aimant et en sentant que je vous aime. Et plus j'approche de ma fin, plus je vous conjure d'accroître mon amour et de le perfectionner. Ainsi soit il.

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8 commentaires

Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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Neuvaine pour les prêtres

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